Te Deum

4 « raison suffisante » : raisonnement non acceptable mais c’est celui des militaires, ironie _ Ligne 16 « théâtre de la guerre » : guerre comparée à un théâtre (divertissement des dirigeants) Il se moque aussi des religieux : _ Ligne 7 « Te Deum chacun dans son camp » : Dieu ne peut être des deux côtés, Voltaire dénonce l’instrumentalisation de la religion. B) …. de la théorie de Leibniz et des philosophes qui y croient _ Lignes 5-6 « tremblait comme un philosophe » (comparaison)

il est raccompagné au château, dans l'enthousiasme général. Au début de l'après-midi, députation de 60 députés à I'Hôtel-de-Ville de Paris, pour annoncer la démarche du roi ; Bailly proclamé maire et La Fayette commandant de la milice; le soir, Te Deum d'action de grâce à Notre-Dame. Au Havre la population armée s’empare de la tour François 1er. 16. Jeudi. Heurt à l'Assemblée entre Mirabeau et Mounier, à propos d'un projet d'adresse du premier pour demander au roi le renvoi des ministres ; le

« exterminer son prochain » L.3 ==> OXYMORE car exterminer (tuer, anéantir) ==> on extermine toujours ce qui nous dégoute et son prochain = domaine religieux (tu aimera ton prochain) Supposition : langue inconnue à tous ceux qui ont combattu = Te Deum Le chef meurtrier fait appel à la religion et remercie dieu d'être de leur coté dans les massacres. V insiste sur la cruauté des actes de l'Eglise pour que lecteur se rende compte de culpabilité de Eglise. Mm action de grâce chantée pour décès mariage

cherchant d’attirer l’attention sur des autres sujet comme l’impureté au d’autre vertus cardinales. L'Église alors se compromet en acceptant la Guerre et elle disqualifie la religion quelle est censée servir. Même dans Candide (chapitre 3) le « te Deum » (chant d'action de grâces destinées à remercier Dieu) témoigne que la religion n'est pas digne de foi puisqu’elle se fait partout de l'infamie; elle apporte en outre une caution facile à toutes les horreurs de la guerre; en la justifiant par la logique

sont une pure merveille, étrangement sonores après l‘exposé d‘œuvres picturales, comme si toute expression artistique se résumait à un même cri. Ces malédictions, ces blasphèmes, ces plaintes Ces extases, ces cris, ces pleurs, ces Te Deum, Sont un écho redit par mille labyrinthes C’est pour les cœurs mortels un divin opium ! C’est un cri répété par mille sentinelles Un ordre renvoyé par mille porte-voix C’est un phare allumé sur mille citadelles

supposés ‘’héros’’ commettent des maux de la sorte. Par la suite, Voltaire divulgue la cruauté des deux rois, qui exprime de l’indifférence face à l’entre tuage de leurs armées, définis à travers l’extrait «  Les deux rois faisaient chanter des Te Deum, chacun dans son camp. » présentant l’ironie de ces deux ci qui chacun dans son camps chante l’action de grâce pour remercier Dieu pour la victoire, sachant que le combat se déroule encore. Cela dit, Voltaire démontre l’horreur de la guerre en décrivant

infectieuse. * de même antiphrase avec le mot « héros » * Leibniz ruine sa théorie. * Indice de l’ironie: que le mot « brulé » détruit le droit (l.12) c) La dénonciation du rôle des puissants * inefficacité des rois qui font chanter des Te Deum (prière) qui sert de caution. * L’avertissement de la religion . La religion sert de caution. * L’inefficacité des philosophes : _ (l.7) les philosophes sont des peureux incapables d’agir _ allusions ironiques à Leibniz (philosophe)

marbréesAux nocturnes rayons qui percent les volets?Sentant ta bourse à sec autant que ton palais,Récolteras-tu l'or des voûtes azurées? Il te faut, pour gagner ton pain de chaque soir,Comme un enfant de choeur, jouer de l'encensoir,Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère, Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appasEt ton rire trempé de pleurs qu'on ne voit pas,Pour faire épanouir la rate du vulgaire. À une dame créoleAu pays parfumé que le soleil caresse,J'ai connu, sous un dais d'arbres

l’ironie devient simple horreur : « demi-brulé », « cervelles ». B. La religion comme facteur de guerre On peut observer, dans un second temps, que la religion est définie comme facteur de guerre avec les deux rois qui chantent des Te Deum qui sont des chant latin de louanges et action de grâce envers Dieu, mais c’est absurde car dans les deux camps des guerriers les deux rois s’approprient Dieu. C.La philosophie face au Mal Enfin dans un troisième sous point, on voit

dans cette extrait où le nombre des morts « pouvait bien se monter à une trentaine de mille âmes » Souvent quand on voit la mort de près et la fin de ces jours arrivés on se réfugie dans la miséricorde divine « les deux rois faisaient chanter des Te Deum chacun dans son camp ».les soldats ayant conscience de sa culpabilité dans cette massacre font l’usage de la prière et la demande de clémence cherchant échapper au châtiment éternel .C’est une séance typique d’une évènement dantesque. Souvent quand