Terminologie Juridique

qualifient les égyptiens comme la première société arabe civilisée, (Awwal muğtama‘ ‘Arabī tataqafa). Ce sujet a une importance particulière, parce que, il touche non seulement le début de relation franco-égyptienne qui a favorisé l’apparition de l’arabe juridique moderne à trévère l’école al-Alsun au Caire en 1834, mais aussi il traite un sujet vierge qui n’a pas attiré l’attention de chercheur pour des raisons dont nous ignorons. On va certainement répondre des importantes questions qui représentent la problématique

............................................5 BACCOUCHE Taïeb : "Pour une méthodologie d’un dictionnaire bilingue (français-arabe) des droits de l’Homme "..............................................................8 BEN AMOR Thouraya :"La terminologie dans le discours oral informel : Le cas de la mécanique auto"..........................................................................................14 BOUHLEL Ezzedine : "La fonction sujet et les paradigmes afférents en français et en arabe"

SOMMAIRE Introduction Section 1 : Généralités sur les accords internationaux I- Terminologie et Typologie des accords internationaux A- Terminologie B- Typologie des accords internationaux II- Conclusion et entrée en vigueur des accords internationaux A- Principes de conclusion des accords B- Procédure C- Les réserves et déclarations interprétatives Section 2 : les accords internationaux relatifs aux pays en voie de développement I- Les accords de stabilisation

La formation du traducteur juridique L’étude des éléments formant la base notionnelle du traducteur ou de ses compétences essentielles donne lieu aux conclusions les plus variées. Les spécialistes de la question invoquent bien entendu très souvent les compétences qui ont trait à la maîtrise des langues et à la connaissance des divers domaines de spécialisation. Au pôle opposé, on retrouve, même parmi les gens du métier, ceux qui prétendent que les compétences linguistiques et la connaissance des

française traduite et officieuse avec celle officielle rédigée originellement en anglais nous donne un aperçu sur le bilinguisme juridique au Canada (le bijuridisme) et sur la limite de ce dernier. En effet, au Canada, la Loi sur les langues officielle promulguée en 1969 stipule que tous les textes législatifs soient rédigés dans les deux langues et donne une valeur juridique égale aux deux versions. La corédaction validée par des comités d’experts est avancée comme solution face aux problèmes de traduction

un sens commun en comptabilité qui signifie ensemble de biens et avoirs dont dispose l’entreprise ou l’organisation. Au sens large Actif, « Asset » en langue anglaise se traduit également par atouts, Actif renvoie à la fois à un signal de confort juridique « avoirs et biens » et à une notion de puissance économique « atout. » Par opposition Passif se définit dans le langage courant comme l’ensemble des dettes ou des charges qui pèsent sur l’entreprise. Le mot anglais « Liabilities » se traduit également

faire apparaître la date à laquelle le projet devra impérativement être terminé. Idéalement des jalons seront précisés afin d'éviter un « effet tunnel ». Clauses juridiques Un cahier des charges étant un document contractuel, cosigné par la maîtrise d'œuvre et la maîtrise d'ouvrage, possède généralement un certain nombre de clauses juridiques permettant par exemple de définir à qui revient la propriété intellectuelle de l'ouvrage, les pénalités en cas de non-respect des délais ou encore les tribunaux

que l'on regroupe souvent sous le terme de "front-office", ceci par opposition aux outils de "back-office" que sont les progiciels de gestion intégrés (ou ERP). » Une terminologie critiquée La terminologie gestion de la relation client est critiquée pour sa syntaxe jugée incorrecte. En France, la Commission générale de terminologie et de néologie du ministère de la culture a opté pour le rétablissement d'une syntaxe correcte : Gestion des relations avec les clients[réf. souhaitée]. FranceTerme dispose

de conclure ou non : celui qui s’engage est le promettant, l’autre est le bénéficiaire et le choix qui lui est conféré s’appelle une option. Dire que ces promesses sont « unilatérales » est incontestablement exact d’un point de vue strictement juridique, mais crée néanmoins une double ambigüité : 1- La promesse unilatérale n’est pas un acte unilatéral, mais un véritable contrat issu d’un accord de volontés, qui se distingue ainsi d’une simple offre de vente. 2- La promesse unilatérale n’est

investigation de la notion de fondamentalité. I. Diversité terminologique La difficulté vient de la profusion des termes employés dans les textes constitutionnels et internationaux. A. Dans les textes constitutionnels Ils n'usent pas d'une terminologie unique. On trouve une Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789. Le Préambule de la Constitution de 1946 vise les principes fondamentaux reconnus par les lois de la République, et dans son alinéa 2 les principes politiques, économiques