Texte Freud Metaphysique

quoi consiste le problème du sujet. 2. Rappelez la définition philosophique de la notion de sujet. 3. Rappelez également les enjeux d’un tel problème. I. Critique du sujet conçu comme présomption (Überheblichkeit) humaine. Analyse d’un texte de Freud extrait des Vorlesungungen zur Einführung in der Psychoanalyse (1916). Dans le cours des siècles, la science a infligé à l'égoïsme naïf de l'humanité deux graves démentis. La première fois, ce fut lorsqu'elle a montré que la Terre, loin d'être

autre sans explications directes. Elle mêle des thèmes typiques surréalistes comme le refus de la raison logique, la magie, la liberté sans limites, le fantastique et l’impossible. Ce mix est renforcé par l’utilisation de photos qui remplacent le texte. 3. Quel est le ton du livre? (Par exemple : émotionnel, distant, comique, tragique, satirique, ironique, réaliste.) Expliquez bien votre réponse. Le récit est très triste voir tragique car finalement Nadja sombre dans la folie et décède par la suite

adjectifs différents. La raison peut aussi être assimilée à ce qui justifie l’existence d’un phénomène, d’une réalité : définir la raison d’être d’une chose. Outils de travail : I. Les preuves métaphysiques de l’existence de Dieu par Descartes : Dans ses Méditations métaphysiques, Descartes a proposé deux preuves de l’existence de Dieu. En ce sens, la raison peut servir la foi. N.B. il faut distinguer ici preuve de démonstration. Une démonstration (voir les démonstrations mathématiques)

ou expulser Gregor de la maison » ; tout le monde est d’accord, car ils pensent qu’ils ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour lui. Gregor se laisse mourir car il est désespéré. La famille s'en réjouit et fait des projets d'avenir. Analyse Ce texte est l'aboutissement d'une réflexion initiée dans la Lettre au père, réquisitoire adressé à son géniteur à propos de leur relation paradoxale, qui mêlait méprise et admiration, bons et mauvais sentiments, répulsion et attirance. En hypothèse l'auteur

avons une capacité de raisonnement à voir les conséquences. Sagesse c’est la capacité d’agir après réflexion. Celui qui est totalement enfoui sous ses passions est esclave de ses désirs. Est libre celui qui ne désir que se qui dépend de lui. Texte 2 : La liberté et ses contraintes (page 142) Question 2. Nécessité est nécessaire ce dont le contraire est inconcevable. Nos capacités naturelles sont limitées et dépendent des lois de la nature. Par exemple : nous sommes incapable avec notre seul

l’eudémonisme, l’ascétisme ? Les avis divergent selon les individus, les philosophies, les religions… « L’homme est incapable de déterminer selon un principe avec une complète certitude ce qui le rendrait vraiment heureux », Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs. La définition du bonheur est vague, générale, indéterminée. C’est un idéal flottant, mouvant car les moyens qu’on peut se donner pour l’atteindre sont toujours incertains. Il n’y a pas de définition objective, rationnelle du bonheur

sur dieu, des questions métaphysiques (ex: pourquoi le monde existe t-il? Ou l'homme possède t-il une âme ?), ces questions ne peuvent être résolu par l'expérience scientifique, on ne peut formuler à leur égard que des hypothèses. Pour PASCAL, la condition de l'homme, de l'univers, n'est pas facile, il est confronté à plusieurs problèmes ( ex la mort), toujours partagé entre deux états : ignorance et connaissance. Conscience et inconscience, les théories de FREUD Il est le fondateur de

et ignorant des causes qui les déterminent. L'inconscient est défini par Freud comme le lieu des désirs et des représentations refoulées, des pulsions innées. Aristote: l'homme est un animal raisonnable. Pour Descartes, l'introspection et la réflexion permettent la connaissance de soi. 3) Question de l'identité Moi substantiel Critique du moi substantiel Le moi est un objet métaphysique "je" = réalité stable et unique. Hume, définit: le moi comme un amas ou

ci-dessus est également connu sous le nom de De la proposition). L’interprétation est expression, manifestation du logos. Au Moyen-Âge, Thomas d’Aquin définit l’interprétation comme la découverte de la signification cachée d’un texte. Cette conception, qui prédomine au Moyen-Âge, est bien entendu liée à l’exégèse des Saintes Écritures, de la Bible. Se pose par exemple la question de savoir si les évènements décrits dans l’Ancien Testament, puis dans le Nouveau Testament, sont des

parvenir. Ils montraient des antihéros aux prises avec leur misère métaphysique, des êtres errant sans repères, prisonniers de forces invisibles dans un univers hostile (Parodie d'Adamov, 1949; les Bonnes de Genet, 1947; la Cantatrice chauve de Ionesco, 1950). Par des processus de distanciation et de dépersonnalisation, ces pièces, démontent les structures de la conscience, de la logique et du langage. Nouvelle dramaturgie Nourris de Freud, ces auteurs dramatiques créèrent des personnages marqués par