Tf1 Glem 2003


 
 
 
 Communication
Corporate
 REP
4
EVE
3
 Février
 2011
 
 
 Les
détracteurs
du
secteur
audiovisuel
 SOMMAIRE
 
 1. Les
détracteurs
 
 2. Le
monde
de
l’audiovisuel
 3. Focus
sur
TF1
 4. Les
détracteurs
de
l’audiovisuel
 a. b. c. d. e. Les
sites
luttant
contre
la
violence
des
programmes
 Les
sites
luttant
contre
la
maltraitance
des
animaux
à
l’écran
 Les
sites
luttant
contre
l’invasion
et
la
saturation
publicitaire
 Les
sites
luttant
contre
la
télé‐réalité
 Quant
les
politiques
s’en
mêlent…


LEADER [pic] : [pic][pic] [pic][pic] [pic] [pic] [pic] Le 14 mai 1986, la décision de privatiser TF1 est rendue publique. Première chaîne du paysage télévisuel français, son rachat par le groupe Bouygues le 16 avril 1987 constitue un virage stratégique important pour le leader français du BTP. En un peu plus de vingt ans, Bouygues l’a transformée en un acteur majeur de l’audiovisuel. TF1 a développé son portefeuille d’activités par rachat, alliance ou croissance interne. Son métier a évolué

qui l'ont initiée. L'audience ne cesse de grimper (14 millions de téléspectateurs lors de la finale de la Star Aca¬demy 2) et la presse, qui dans un premier temps avait contribué au succès de ces programmes, en récolte aujourd'hui les fruits. En 2002-2003, l'émission Star Academy squatte plus de 150 « Une» à elle seule. Pourquoi? «L 'année dernière, nous avons fait plus de couvertures avec des candidats de la télé-réalité parce que c 'est plus vendeur que des stars de cinéma », explique Patrick Mahé

qui l'ont initiée. L'audience ne cesse de grimper (14 millions de téléspectateurs lors de la finale de la Star Academy 2) et la presse, qui dans un premier temps avait contribué au succès de ces programmes, en récolte aujourd'hui les fruits. En 2002-2003, l'émission Star Academy squatte plus de 150 « Une» à elle seule. Pourquoi? «L 'année dernière, nous avons fait plus de couvertures avec des candidats de la télé-réalité parce que c 'est plus vendeur que des stars de cinéma », explique Patrick Mahé

qui l'ont initiée. L'audience ne cesse de grimper (14 millions de téléspectateurs lors de la nale de la Star Academy 2) et la presse, qui dans un premier temps avait contribué au succès de ces programmes, en récolte aujourd'hui les fruits. En 2002/2003, l'émission Star Academy squatte plus de 150 « Une» à elle seule. Pourquoi? « L'année dernière, nous avons fait plus de couvertures avec des candidats de la télé-réalité parce que c'est plus vendeur que des stars de cinéma », explique Patrick Mahé

au-delà des frontières habituelles du salariat. Il s’agissait de personnes ayant consenti, en signant un acte intitulé « règlement participants », à participer, dans un hôtel thaïlandais, au tournage de la saison 2003 de « L’île de la tentation », émission produite pour TF1 par la société Glem, dont le concept était ainsi défini « Quatre couples non mariés et non pacsés, sans enfant, testent leurs sentiments réciproques lors d’un séjour d’une durée de douze jours sur une île exotique, séjour pendant

d’avoir maintenu le redressement au titre des compléments de retraite. Dans le second arrêt de la chambre sociale de la cour de Cassation en date du 3 juin 2009, trois participants de la saison 2003 de l’émission de télé-réalité « l’Ile de la Tentation » - produite par la société Glem devenue TF1 productions – ont saisi le conseil de prud’hommes pour obtenir la requalification du « règlement participants » en un contrat à durée déterminée. De plus, il souhaitait obtenir le paiement de leur salaire

selon les arrêts attaqués, que Mme X..., M. Y... et M. Z... (les participants) ont consenti, en signant un acte intitulé " règlement participants " à participer du 14 au 28 mars 2003, dans un hôtel thaïlandais du golfe du Siam, au tournage de l'émission " l'Ile de la tentation ", saison 2003, produite pour TF1 par la société Glem, dont le concept est défini comme suit : " quatre couples non mariés et non pacsés, sans enfant, testent leurs sentiments réciproques lors d'un séjour d'une durée de douze jours

Quelques éléments sur les sources et les méthodes du droit du travail I. LES CONVENTIONS COLLECTIVES ET LES ACCORDS COLLECTIFS A. Les conditions d’application d’un accord collectif (accord de branche « non étendu ») Doc n° 1 : Cass. Soc. 23 avril 2003 Attendu que M. X... a été embauché le 1er juillet 1964 par la société William Saurin ; qu'au 1er janvier 1996, la société William Saurin a fusionné avec la société Panzani et qu'à la même date, en vertu d'un accord de la direction avec les représentants

la jurisprudence distribution ou de services » au sens de l’article L. 410-1 du Code de commerce, doive être revue à la lumière de la solution dégagée par le Tribunal de première instance des Communautés européennes dans son arrêt Fenin du 4 mars 2003. Dans cet arrêt, relatif à l’activité d’achat exercé par les organismes espagnols participant au système national de santé publique espagnol, le TPI a estimé que ce n’est pas l’activité d’achat qui détermine la notion d’activité économique propre à