Théorèmes de point fixe

. . . . . . . . . . . . . . . . . page 6 1.1.2 Propriétés de ∼ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .page 8 2 Les théorèmes de croissances comparées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .page 12 3 Quelques applications des relations de comparaison . . . . . . . . . . . . . . . . .

chapitre 2 est consacré à l’étude des fluides au repos. Les lois et théorèmes fondamentaux en statique des fluides y sont énoncés. La notion de pression, le théorème de Pascal, le principe d’Archimède et la relation fondamentale de l’hydrostatique sont expliqués. Dans le chapitre 3 sont traitées les équations fondamentales qui régissent la dynamique des fluides incompressibles parfaits, en particulier, l’équation de continuité et le théorème de Bernoulli. Elles sont considérées très importantes dans

pressantes exercées par un liquide sur un solide) 23 Expérience 1 23 Expérience 2. 23 Interprétation des deux expériences. 23 Notion de pression 23 Définition 24 Unités de pression 24 Pression en un point d’un liquide en équilibre 24 A quoi est due la pression en un point d’un fluide ? 25 Capteur de pression 25 Pesanteur et pression hydrostatique 26 Forces s’exerçant sur un volume de fluide en équilibre 27 Forces intérieures 27 Forces extérieures 27 Forces de pression 27

. . . . 36 10 Triangle rectangle et cercle circonscrit. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 11 Distance – Tangente – Bissectrices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 12 Le théorème de Pythagore et sa réciproque . . . . . . . . . . . . . . . . 50 13 Le théorème de Thalès . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53 14 Cosinus d’un angle aigu d’un triangle rectangle. . . . . . . . . . . . 57 15 Pyramide – Cône de révolution .

part, la condition d’étude choisie et d’autre part la réponse à cette étude (la limite si existence, une croix si non existence, un ? si on ne peut se prononcer) f est définie sur D = [ -3 , 2 [ ∪ ] 2 ; +∞ [ donc on peut étudier sa limite en tout point a de D, en 2 par valeurs supérieures ou inférieures et en +∞ Condition x tend vers Limite de f dans cette condition a ∈D f(a) 2∞ 2+ ∞ +∞ 0 Ces limites se conjecturent en observant la courbe de f, ou en regardant le comportement de f(x) à l’aide

Université Joseph Fourier – Grenoble 1 Licence 1ère année Cours de mécanique du point 2007 -2008 5ème édition y dr ry ds Vr ds dVr M rdy O Gilbert VINCENT http://pagesperso-orange.fr/physique.belledonne/ Avertissement. Les figures doivent être à gauche (pages paires) en regard des pages correspondantes (impaires), situées à droite, qui supportent le texte. Les figures ne sont pas référencées dans le texte, mais dans la quasi totalité des cas, elles correspondent

s'est la le principe du protectionnisme éducateur. On se sert du protectionnisme seulement pour aboutir au libre échange. List sait que dans l'absolu, Smith et Ricardo ont raison. H.O.S : On l'appelle aussi le théorème de la dotation en facteur de productions. Il s'agit d'un théorème fait part trois économistes: * Heckscher * Ohlin * Samuelson Ils sont au cœur du commerce international. Ils essayent d'expliquer pourquoi un pays est plus fort ou moins fort, en fonction de la quantité

force de la tige AC, de C vers A, - la force de la tige BC, de C vers l'opposé de B. La somme vectorielle des 3 forces est nulle. Solution graphique: On lance le module Géométrie, avec la grille (Aff, Grille entier), pour placer plus facilement les points. On sélectionne l'outil Vecteur (2ème menu) et on place l'image du poids, vertical de longueur 5 cm (on a choisi l'échelle 1/100°), appelée r. On vérifie en cliquant sur le 1er outil à gauche, en sélectionnant le vecteur r, en déroulant le menu (flèche

que les pays sont, en tout point, similaires (même au niveau technologique ou en tout cas que les transferts de technologies existent permettant à chacun de disposer des mêmes technos) et que seules leur dotations relatives en K ou L diffèrent (le relativement se rapportant en quelque sorte au rapport K/L ou L/K) ⇒ chacun se spécialise dans la production qui utilise le facteur relativement le plus abondant (soit L, le facteur travail et K, le facteur capital) – Théorème Heckscher - Ohlin • • le pays

matières 1 Notion de topologie dans Rn 1.1 Espaces métriques, définition de la distance . . . . . . . . 1.2 Boules ouvertes, fermées, sphères et parties bornée . . . . 1.3 Ouverts et fermés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Position d’un point par rapport à une partie de Rn . . . . . 1.5 Normes des espaces vectoriels . . . . . . . . . . . . . . . 1.6 Compacité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.6.1 Suites numériques dans un espace vectoriel normé 1.6.2 Ensemble compact