Thomas Hobbes Léviathan Résumé

| | | |Thomas HOBBES (1651) | |

composante de celui-ci, la seconde constituant le droit naturel, càd un « droit idéal », dont les règles seraient conformes à la nature humaine, immuables et universelles. Chap. II. LA PHILOSOPHIE DU DROIT DE QUELQUES PHILOSOPHES 1. Thomas d'Aquin (1225-1274) De saint Thomas, la tradition juridique retient un schéma sans doute simplificateur, mais cohérent. Son apport essentiel est d'avoir confirmé que le droit issu des décisions prises par les autorités étatiques, législatives et juridictionnelles

l’intellect pour l’homme « est réduit à un temps et à des lieux précis du monde, à des objets particuliers et à d’autres conditions semblable. » Il ajoute d’autres considérations sur ce sujet « notre vue suit les passions du corps et de l’âme » Il va résumer en quelque mot la vie de l’homme « ainsi on voit d’abord avec amour et joie, puis avec douleur et colère, d’abord comme un enfant, puis comme un homme, et enfin avec sérieux comme un vieillard » Notre vision du monde est conditionnée par nos situations

notion d’objectivité positiviste (qui s’inspire des sciences naturelles) caractère nécessairement relatif et historique de toute théorie scientifique (Kuhn) différence entre ce qu’on dit et ce qu’on fait dans la pratique journalière de la science Thomas Kuhn (1922-1996) 4 Dans toutes les sciences: - Pas de consensus théorique permanent --> Le consensus théorique parmi les chercheurs n’est ni parfait, ni permanent. - Relativité historique des théories --> Caractère nécessairement relatif et historique

I 2 Deux illustrations pour entamer notre réflexion. La première est tirée du frontispice de l'édition originale du Léviathan de Thomas Hobbes (1651) , ouvrage fondateur à la fois du positivisme juridique et de la théorie politique moderne. Un personnage allégorique, mi-homme, mi-dieu, domine le pays : le Léviathan tout-puissant, ce personnage «artificiel», dit Hobbes, qui symbolise la République. Les attributs des pouvoirs temporel (l'épée) et spirituel ( la crosse) confèrent à sa couronne

ils ne se ramènent pas à des éléments identifiables et distinctifs. L'ensemble de ces observations fait apparaitre la différence essentielle entre les procédés de communication découverts chez les abeilles et notre langage. Cette différence se résume dans le terme qui nous semble le mieux approprié à définir le mode de communication employé par les abeilles : ce n'est pas un langage, c'est un code de signaux. Tous les caractères en résultent : la fixité du contenu, l'invariabilité du message

Jacques l’anabaptiste, bienfaiteur hollandais de Candide au début du conte jusqu’à sa noyade après avoir sauvé un autre homme. • Vanderdendur, négociant escroc. • Pococurante, homme riche et cultivé, pourtant malheureux et blasé de la vie. Résumé • Candide, le personnage principal, bâtard supposé de la sœur de monsieur le baron Thunder-ten-tronckh, « l’esprit le plus simple » dont la « physionomie annonçait son âme ». Il est le seul personnage à évoluer durant toute l'histoire.

représentation que la vie politique trouve son centre actif le plus actif, le plus achevé. En effet, les assemblées sont le carrefour de toute vie politique. Elles sont source de pouvoir et de décision. Ce sont vers elles que convergent les décisions. En résumé, la Révolution a fondé la vie politique Française moderne en rompant avec la tradition du souverain de droit divin pour lui substituer la nation ou le peuple en instituant la publicité des décisions politique. II / Droit et politique * Quel

réalité polysémique. Il emprunte les chemins de la pensée de Machiavel, de Hobbes, de Rousseau et de Nietzsche. Les trois vagues de la Modernité sont ainsi nommées. Notons pourtant, que ces représentants sont en fait au nombre de quatre: Strauss, pour qui Hobbes est le véritable fondateur de la philosophie politique moderne, ne peut éviter d'en passer par Machiavel. Nous ne pouvons que souscrire à ce double constat. Hobbes, au titre de la philosophie politique, est incontestablement le premier des

Pour former un bon citoyen, il faut connaitre l’idée d’excellence et de vertu et il faut connaitre le sujet. L’élève ne pourra être que vertueux et Socrate dit que c’est par ignorance que l’on est vicieux donc il faut connaitre pour être bon. En résume : pour qu’un enseignement soit possible il faut que l’idée soit connue et elle doit être saisie par l’esprit de celui qui sait. Toute la tâche est donc d’atteindre les idées qui régissent toute action qui sera moralement bonne. Les idées sont