Thomas Hobbes Léviathan Résumé

l’Etat détient une puissance absolue, et donc que le détenteur du pouvoir a un pouvoir absolu. Il a tout pouvoir, mais doit néanmoins respecter certaines règles nommées lois fondamentales. On retrouve cette conception chez Bodin, mais également chez Hobbes, et d’autres encore. A la fin du XVIIe, on voit apparaitre une autre conception, de type libérale, qui émerge vers 1660-1680 en Angleterre. Cette idée trouve ses racines assez loin, et dégage comme idée principale que l’Etat n’a pas un pouvoir absolu

problème posé par Thomas Hobbes. La violence et les passions : une menace permanente pour l'ordre social. « A l'état de nature, l'homme est un loup pour l'homme » T. Hobbes. Pour Hobbes, les passions menacent de dégénérer en « guerre de tous contre tous », il faut donc réguler les passions, les contenir, les divertir... La problématique de la régulation des passions est donc fondamentale pour la philosophie politique libérale. A. Smith traitera aussi de cette question. Pour Hobbes il y a deux moyens

doctrine qui pose la raison comme seule source possible de toute connaissance réelle. L’originalité de la philosophie de Descartes se trouve dans son idée directrice : la volonté d’étendre à tous les domaines la méthode mathématique. Sa méthode peut se résumer ainsi : n’accepter comme vrai que ce qui est évident ; accepter pour vrai tout ce qui est évident. Le cartésianisme désigne un courant philosophique rationaliste et métaphysique qui repose sur deux principes fondés par Descartes:

clandestines qui peut être publique et généralement éphémère, ou bien la violence cachée qui peut être durable et méconnue de l’Etat (la mafia). Si l’Etat n’arrive pas à supprimer la violence publique et visible, il est susceptible de disparaître. Hobbes dit que le Léviathan est l’Etat mais qu’il est mortel malgré sa puissance. L’Etat a un pouvoir disproportionné au niveau de ses armes et de son pouvoir par rapport à la violence qu’exerce la population. L’Etat est surarmé. Sa force c’est son pouvoir de dissuasion

que la liberté ? Demandons à un jeune : « Qu’est-ce que la liberté ? – Faire ce que je veux. – Et qu’est-ce que vous voulez ? – Être libre. » A première vue, la liberté consiste donc à pouvoir faire ce qu'on veut. C'est la liberté d'agir. Hobbes a défini ainsi la liberté : Le mot LIBERTÉ désigne proprement l’absence d’opposition (par opposition, j’entends les obstacles au extérieurs au mouvement), et peut être appliqué aux créatures sans raison ou inanimées aussi bien qu’aux créatures

cause de la scène de la gifle», souffle un responsable français, y voyant la démonstration que «tout ceci est un vrai débat de société». Les présidents du Sri Lanka et d'Allemagne ont dénoncé à la tribune «l'impérialisme américain». Liza Farulla(1) résume le sentiment général en déplorant «l'agressivité de Condoleezza Rice(2) et la violence de ses propos». Elle se félicite de la «coalition énorme» qui fait face aux Etats-Unis. S'ils se retrouvent désavoués par des pays anglophones, qui sont des alliés

95-114. Table des matières Résumé Introduction Une socialisation élitiste Utilisation politique du mythe de la « souveraineté » Discours antidémocratique& peur des pauvres Justifications philosophiques Langage : l'antidémocratisme dissimulé L'« agoraphobie » comme concept politique Francis Dupuis-Déri "L'esprit antidémocratique des fondateurs de la « démocratie » moderne." Un article publié dans la revue AGONE, 1999, no 22, pp. 95-114. Résumé Se réclamant de la « démocratie

qu’est une constitution • La constitution impose des règles exterrieures à la volonté des gouvernants. Ces idées prennent corps avec les révolutions Américaines, Anglaises et Française et l’influence des grands penseurs : Montesquieu, Rousseau, Hobbes. Le droit constit va veritablement émerger grace aux constitutions écrites. Les 13 colonies américaines adoptent en 1776 une déclaration d’independance. Après la guerre contre l’Angleterre, les 13 etats se regroupe en un Etat fédéral en se dotant

Durkheim. Un ordre sans défaut. Section 1 : les précurseurs Deux auteurs : Hobbes et Emmanuel Kant Tous deux ont une philosophie du droit, qui procède d’une philosophie politique pessimiste et dans les 2 cas le droit est vu comme antidote du mal et du malheur. Le postulat de ces 2 auteurs : « plus grand est le malheur politique plus fort doit être le droit ». Sous section 1 : Hobbes (1588-1679) Hobbes « le droit est une autorité établie et reconnue » Tout faire pour éviter le malheur

prononcer. La formule clé c’est ni ou ni non ! Tant au niveau intellectuel que moral, rien n’est vrai mais aussi rien n’est juste ou injuste, bon ou mauvais… Adiaphorie=abstention complète. Acatalepsie : impossibilité absolue de concevoir une chose. En résumé : abandon de tout critère de vérité. Si on se projette dans le domaine du politique, c’est donc une position de crise morale et sociale. La position relativiste conduit à remettre en question les valeurs fondamentales de la civilisation humaine