Thomas Hobbes Léviathan Résumé

maintenir une définition normale, routinisée, sur laquelle les participants peuvent s’entendre. 5. En suivant Jean Duvignaud, dans le champ traditionnel de la philosophie politique, c’est davantage de Grotius que l’on peut rapprocher Goffman : « Contre Hobbes qui ne voyait aucun lien entre les individus composant le corps social que celui que lui impose le souverain par la force et la raison, Grotius évoque la “natura societatis”, la “communitas” qui unit les hommes entre eux d’une manière chaque fois

De nombreux courants philosophiques présentent la quête du pouvoir comme une inclination naturelle de l’Homme. Pour eux, les individus se livrent en fait une lutte sans merci pour s’accaparer les biens matériels et pour assujettir leurs semblables (Hobbes), sans se soucier des préceptes moraux (Machiavel). La morale catholique et les idéologies égalitaires (rousseauisme, marxisme), qui condamnent la poursuite des intérêts privés susceptibles de nuire à autrui et à la communauté, prônent le renoncement

renaissance: La philosophie Médiévale est dominée par la théologie, par la question de la religion donc ce qui est souvent en jeux c’est l’opposition entre un pouvoir spirituelle et un pouvoir temporelle. Ce sont des questions qu’on retrouve chez Saint Thomas. Dans les perspective religieuse ce qui importe c’est de trouver une conception de la justice absolue. La justice c’est la question de la distribution des biens, depuis Aristote la justice est en partie liée avec la question économique. Dans cette

pervertissent des rapports d’esclavage et de domination. Rousseau ne dit jamais que la vie en société en général corrompt: il y a une dérive possible de la vie en société On pourra faire de bonnes lois et redonner à la vie en société son sens. NB: Ne jamais résumer Rousseau à « L’homme est naturellement bon, la société le corrompt » Kant propose une analyse toute différente: contre Rousseau, il décrit en l’homme une « insociable sociabilité » - « Idée d’une histoire universelle au point de vue cosmopolitique »

qui, soumise en permanence au conflit, est probablement en permanence soumise à la méchanceté des hommes. Les homme désirent tout acquérir hors il ne peuvent pas tout acquérir. Machiavel parle d’insatiabilité (qu’on retrouve dans la conception de Hobbes). Cette condition d’insatisfaction ouvre la possibilité du conflit latent, structurel. Dans la décade de Tite-Live Machiavel indique qu’ « il est nécessaire à celui qui établit la forme d’un Etat et qui lui donne des lois de supposer d’abord que

devoir être intention prescriptive, normative; l'étudiant est attentif .→ propos descriptif, on dit ce qui est. La norme est donc le fruit d'une volonté pour imposer quelque chose, alors que l'autre est le fruit du constat d'une réalité. Pour résumer, la différence entre les deux est que la proposition qui décrit la réalité est vraie ou fausse. La norme n'est pas vraie ou fausse, « l'étudiant doit être attentif » il n'est pas forcément ce qui est. On n'apprécie pas la norme comme en état de vrai

le programme du principe de plaisir qui fixe la finalité de la vie ». Il régit l’appareil psychique tout en étant une source                                                               5 Le passage du principe de plaisir au principe de réalité résume le passage de la petite enfance à un âge où le  monde est  reconnu comme « un extérieur ».  (Voir : S. Freud, Formulations sur  les deux principes de  l’advenir  psychique, Œuvres complètes, XI 1911‐1913.) 6    de conflits avec le monde. D’après cette

mondiale. Née en opposition à la pensée libérale critiquée pour ne pas avoir su empêcher l’éclatement du second cataclysme mondial, le réalisme classique puise ses origines dans les pensées de certains auteurs dits « pessimistes » tels que Thucydide, Thomas Hobbes, Nicholas Machiavel, Hans Morgenthau ou encore Raymond Aron. Il faut rappeler que notre étude concerne uniquement le réalisme classique des deux dernières personnes citées. La critique d’Aron est double. Alors que Morgenthau pêche par confusion

1.2.2.5. Louis XV 13 2.1.3. Section 3 : La doctrine absolutiste au XVIIe s :Thomas Hobbes. 15 2.1.3.1. Paragraphe 1 : Les révolutions Anglaises du XVIIe s et la vie de T. Hobbes 15 2.1.3.1.1. Les 2 révolutions anglaises : la Grande Rébellion (1642-1649) et la Glorieuse Révolution (1688-1689) 15 2.1.3.1.2. La vie de Hobbes et les fondements de sa démarche 15 2.1.3.2. Paragraphe 2 Hobbes et l’Etat de Nature 17 2.1.3.2.1. Les passion humaines 17 2.1.3

dans la suite, c'est une décision que je n'ai jamais regrettée. Vers la fin de sa vie, Flaubert a écrit dans une de ses admirables lettres, à son ami Tourgueniev, une petite phrase que je voudrais placer en tête de mes réflexions, car elle les résume très bien : J'ai toujours tâché de vivre dans une tour d'ivoire, mais une marée de merde en bat les murs, à les faire crouler. Tels sont bien les deux pôles de la situation: d'une part « la tour d'ivoire », d'autre part « la marée de merde ».