Thomas Hobbes Léviathan Résumé

départ, ils n’existaient pas. Thomas HOBBES, auteur et philosophe anglais du 17e siècle, « Le Léviathan », il désigne un monstre hideux, que Dieu un jour a crée pour punir les hommes. Il nous explique les fondements de l’ordre juridique et politique. D’où le droit et l’état viennent ? Selon sa doctrine, le droit et l’état sont bien des créatures et non des fatalités, ils ne sont pas dans la nature de l’homme mais crée par lui pour ses besoins. Les faits que Hobbes décrit ne sont pas dans l’ordre

civilisation. Arthur Schopenhauer la résume ainsi : Le droit en lui-même est impuissant ; par nature, règne la force. Le problème de l'art de gouverner, c'est d'associer la force et le droit afin qu'au moyen de la force, ce soit le droit qui règne. Et c'est un problème difficile si l'on songe à l'égoïsme illimité qui loge dans presque chaque poitrine humaine. (Parerga et Paralipomena, II, §127) Les théories étatistes (notamment Thomas Hobbes, voir le Léviathan) affirment que la loi du plus fort

1/ Idée politique, Doctrine politique, idéologie politique, théorie politique L’expression même d’idée politique peut avoir plusieurs sens. Référence d’Aristote. « Les idées politiques peuvent se résumer en le fait politique ». Les IP c’est de savoir comment l’autorité publique est organisée, comment s’est-elle établie ? Comment elle se transmet ? * Il faut préciser la divergence entre des expressions presque identiques : l’IP et l’idéologie politique. C’est totalement différent. L’idéologie

................................................................................ 6 SECTION 1 : LE PRIX ET LE JUSTE PRIX ............................................................................................................................ 7 RESUME PARTIEL SUR LE JUSTE PRIX .............................................................................................................................. 8 LA DOUBLE DETERMINATION DU PRIX ...........................................................

Thomas Hobbes (1679) Béhémoth Ou le Long Parlement Traduction originale de M. Philippe Folliot, Professeur de philosophie au Lycée Ango, Dieppe, Normandie. 17 août 2010. Un document produit en version numérique par Philippe Folliot, bénévole, Professeur de philosophie au Lycée Ango à Dieppe en Normandie Courriel: philippefolio@wanadoo.fr Site web: http://perso.wanadoo.fr/philotra/ Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://classiques.uqac.ca/

et Aristote, et pendant plusieurs siècles leurs œuvres seront considérées comme centrale pour comprendre la politique des cités grecques puis des royaumes… Puis on voit apparaître de nouvelles idées avec les auteurs médiévaux notamment Augustin et Thomas d’Aquin, ils ne sont pas du même siècle, mais leurs idées correspondent à la pensée politique médiévale qui est centrée sur l’idée que le pouvoir vient de dieu. C’est cette idée politique qui s’imposera sur toute la période médiévale : la souveraineté

responsables d'Érudit : erudit@umontreal.ca Document téléchargé le 20 December 2010 12:45 Laval Théologique et Philosophique, 55, 3 (octobre : 477-489 1999) ROUSSEAU : LE CONTRAT SOCIAL EN QUESTION Etane Yombo Département de philosophie Ottawa RÉSUMÉ : Notre attention a été attirée par une lecture inusitée qu'Yves Vargas fait de la théorie contractuelle chez Rousseau. En effet, contrairement à la tradition qui fait de Rousseau un penseur contractualiste, Yves Vargas, lui, affirme qu 'il n'y a

échanges semblent essentiellement des objets de la science économique. Mais, historiquement, c’est d’abord la philosophie qui les constitue comme des objets de réflexion théorique. L’économique est une partie de l’éthique, chez Aristote comme chez Thomas d’Aquin. Adam Smith, avant d’être l’auteur de la Richesse des nations, est celui d’une Théorie des Sentiments Moraux. Aujourd’hui, l’économie politique est devenue « science économique ». Il est clair cependant qu’une science économique purement technique

Mais la guerre peut également se définir comme une épreuve de volontés car n’est vaincu que celui qui se reconnaît comme tel. La guerre est le point métaphysique où l’on peut cerner le concept de liberté et de limites inhérentes à celle-ci. Pour résumer nous pourrions dire que la guerre est une forme de violence qui a pour caractéristique essentielle d’être méthodique et organisée quant aux groupes qui la font et aux manières dont ils la mènent. En outre, elle est limitée dans le temps et l’espace

De nombreux courants philosophiques présentent la quête du pouvoir comme une inclination naturelle de l’Homme. Pour eux, les individus se livrent en fait une lutte sans merci pour s’accaparer les biens matériels et pour assujettir leurs semblables (Hobbes), sans se soucier des préceptes moraux (Machiavel). La morale catholique et les idéologies égalitaires (rousseauisme, marxisme), qui condamnent la poursuite des intérêts privés susceptibles de nuire à autrui et à la communauté, prônent le renoncement