Thomas Hobbes

est une liberté naturelle. En effet, pour lui, les humains se sont entendus sur le fait de se gouverner entre eux en renonçant à leurs libertés personnelles (contrat social) pour vivre en société en élaborant des libertés sociales, d’ailleurs, Thomas Hobbes un philosophe anglais disait que sans compromis : « l’Homme est un loup pour l’Homme ». La loi doit indirectement émaner du peuple. Ceci afin de mieux l’accepter car elle n’est que l’expression de la volonté générale (Jean-Jacques Rousseau et article

qui vit en dehors de toute cité est un être « sans foi ni lois », c’est un être qui est guidé uniquement par ses intérêts et ses passions, qui sera prêt à tout pour les satisfaire. Il est comme cet homme à l’état de nature décrit plus tard par Thomas Hobbes, « un loup pour l’homme », naturellement agressif à l’égard de ses semblables, « passionné de guerre » car mû par ses seuls intérêts et prêt à tout pour les satisfaire. Dans l’Antiquité grecque rien n’est moins condamnable que l’individualisme

L’impact du contrat social sur les libertés fondamentales se justifie et se confirme par Hobbes, Locke mais aussi par Jean Jacques Rousseau. Ayant précédé John Locke , et Jean Jacques Rousseau , Thomas hobbes dans la lignée de Machiavel estime que toute philosophie politique doit être fondée sur la vraie nature de l’homme, lequel est fonciérement égoïste et méchant. Dans son ouvrage Léviathan (1651) , Hobbes essaie de prouver que la vie en société n’a rien de naturelle. Si les hommes acceptent de

oversight tool box reckoning : règlement de comptes to rally :reprendre le dessus to fall apart : s’effondrer to set about +V-ing: se mettre à faire qch would-be saviour : soi-disant sauveur charred : carbonisé frazzled : crevé, éreinté Hobbesian : < Thomas Hobbes chalked up: (ici) considered willingness : bonne volonté, empressement abiding : éternel, constant to trickle out :apparaitre au compte goutte silver linings : les bons côtés to weed out : évincer, extraire to scour: parcourir Analysis: for each

chose peut ^petre assimilé à la contrainte. Ainsi quand nous n'obéissons à rien, nous sommes libres de faire ce que nous voulons, d'obéir à nos passions. (Ce qui rejoint la question de savoir si être libre c'est agir spontanément?). De même, Thomas Hobbes, dans son livre intitulé Léviathan écrit, en parlant de la liberté politique qui correspond aux libertés individuelles, à nos droits, que « La liberté réside dans les silences de la loi ». Pour lui, la loi est assimilée à une contrainte et la liberté

chacun avait une place déterminée, c'est-à-dire un rang social, un statut. C’est à partir du XVIIème siècle que Thomas Hobbes va tenter de définir pour la première fois le terme de ‘société civile’. En effet l’auteur a essayé d’établir une distinction entre une société civilisée, organisée, structurée par l’existence d’un pouvoir politique et une société qualifiée de désorganisée. Pour Hobbes, la société organisée, ou encore les détenteurs du pouvoir, milite pour la paix et la stabilité, afin d’éviter

(1889-1976) H) Jean-Paul Sartre (1905-1980) I) Maurice MerleauPonty (1908-1961) 17/09/2009 CM L1 Ψcho Générale - Stéphane Vieilledent 33 17/09/2009 CM L1 Ψcho Générale - Stéphane Vieilledent 34 L’empirisme L’empirisme • Pour Thomas Hobbes (1588-1679), la connaissance découle plutôt de notre expérience sensible, c’est à dire du constat de l’existence d’évènements naturels qui peuvent être vus, entendus ou touchés. • La connaissance est donc le fruit de l’expérience et pas de déterminants

(pour le dire trivialement : le sujet n'est ni grand ni petit, il n'a pas de couleur, etc.) ; le sujet est la cause première de la causalité de la volition ; le sujet est ce qui pense. Cette conception du sujet a également été critiquée par Thomas Hobbes et Baruch Spinoza, pour qui la conscience n'est pas uniquement accessible par la raison, comme le pensait Descartes, mais aussi par l'expérience et les sens, même si les perceptions qui nous viennent des sens sont quelquefois trompeuses, comme

« raisonnable » comme étant le bon sens. Dans ce sens, le peuple ne peut satisfaire à des exigences de raison tout simplement car il ne connaît pas la modération. C’est ce qu’explicite Thomas Hobbes dans son ouvrage bien connu Le Léviathan (1651). L’état de nature est singulièrement différent de celui décrit par Rousseau et Hobbes. Les hommes sont doublement égaux de par leurs facultés mais également de par leur droit. Tous ont l’obligation de se préserver, c’est-à-dire également de se battre quand cela est

L’État moderne est distinct et connecté à la société civile. L’analyse de cette connexion a été l’objet d’une attention considérable aussi bien dans l’analyse du développement de l’État que dans les théories normatives. Des penseurs comme Thomas Hobbes ou Bodin ou les juristes de Richelieu mettaient l’accent sur la suprématie de l’État. Pourtant proches d’eux, Hegel s’est intéressé aussi aux liens entre État et société civile. Au XXIe siècle, Jurgen Habermas avance que la société civile forme