Thèse De Spinoza Sur La Liberté

dominés. Ils sont donc puissant par hasard. Principe d’une constitution politique ? Un peuple crée décide de se soumettrai à une autorité souveraine. Contrat préalable enter chaque individu. -à transfert réciproque de liberté. Si qq dans la société remet en cause la liberté d’un autre il est directement dénoncés. L’autorité de l’Etat se fonde t’elle d’avantage sur la force ou sur le droit? Force assure directement la paix, arrête immédiatement les volontés de crée une opposition donc assure

Le concept de liberté a été sujet à de nombreuses questions que se sont posé nombre de philosophes tels que Spinoza, Sartre, Marx et bien d'autres encore. Dans ce texte qui nous est proposé, Kant, philosophe du XVIIIe siècle, aborde le concept de liberté en le reliant aux notions de conscience morale, lois morales et de devoir. Il semble intéressant de se demander dans quelle mesure la conscience et les lois morales semblent offrir à l'homme une liberté alors ignorée? Pour cela nous verrons que

être combattu au nom de la vérité et de la liberté. *pour Descartes les causes de l’erreur viennent de l’entendement qui est fini (on peut pas tout savoir) et la volonté infini (on peut vouloir et affirme tout et n‘importe quoi, refuser l‘évidence). => donc pour D. le jugement est libre, on peut même être de mauvaise fois. Contrairement à Spinoza qui pense que la vérité est une évidence et s’impose à l’esprit (volonté contrainte à la vérité). *pour Spinoza on peut se tromper à cause de nos passions

droit. Mais, en second lieu, il sera nécessaire de montrer qu'en fait, la croyance et la connaissance scientifique sont étroitement liée car elles fonctionnent ensemble. Cela apportera alors dans une troisième partie le problème de la liberté de croyance, et de la liberté de l'individu lorsqu'il croit en une religion. I- La connaissance scientifique, soit un principe rationnelle et explicatif : contraire à la croyance. 1)Connaissance scientifique et croyance, deux termes opposés. Savoir VS croire

(souffrance, tristesse, misère…). Il s’agit ici de savoir si l’homme peut vouloir le mal au sens moral. Le terme de « vouloir » renvoie quant à lui à la volonté, au principe de l’action et/ ou du choix de ces principes. Elle suppose la conscience et la liberté. Si je veux quelque chose c’est que j’en décide librement, rien (c’est-à-dire : ni les passions, ni l’inconscient, ni l’ignorance ne peut en être l’origine) ni personne ne m’y a poussé. La question de savoir si on peut vouloir le mal signifie donc

au plus élaboré→ construire un plan cohérent qui suit un parcours logique, qui ne se contredit pas, ne se répète pasARGUMENTER :→ justifier, prouverINTÉGRER UNE RÉFÉRENCE :→ bien l’intégrer au raisonnement : présenter votre idée ; se référer à la thèse d’un auteur COMPOSER UN PARAGRAPHE :Chaque partie est subdivisée entre 2,3,4 paragraphe→ formulation de l’idée directe→ argumentation (introduit par connecteur logique)→ illustration avec référence et/ou exemple→ bilan et transitionFAIRE DES TRANSITIONS :→

sinon suffisante à posséder la liberté ? Et la liberté, le fait d'echapper à toute contrainte, toute obligations, cette fameuse exigence morale d'autonomie et de libre arbitre découle t-elle du simple fait d'être soi-même ? Ces deux questions, necessaires à l'agumentation, sont celles que nous allons developper ci dessous mais aussi réduire au travers de l'alternative suivante : Être soi, est-ce le Salut de l'emprise d'une dependance, le premier pas vers la liberté ou bien être soi n'est ni necessaire

projeter dans l’avenir, se désolidariser du présent pour pouvoir concevoir ce qui est à venir. La conscience comme pouvoir d’anticipation rend possible le fait de s’abstraire du temps présent, ce qui est la marque même de la liberté humaine. L’homme accède ainsi à une pleine liberté qui lui permet de faire des choix en fonction de l’avenir qu’il anticipe. Au moment de la prise de conscience, l’ombre fait place à la lumière, le sujet se découvre lui-même, il peut se représenter, se projeter dans l’avenir

qu'aucune science n'en est possible, justement parce qu'il s'affranchit du principe de causalité. En effet pour Aristote, la science consiste à expliquer les choses selon quatre modalités causales : MATIÈRE, FORME, MOTEUR, FIN. Il exprime alors la thèse, courue depuis, de la régression à l'infinie dans la chaîne de la causalité et conclut « Tout sera donc nécessaire, et tout hasard, toute possibilité de devenir et de ne pas devenir, se trouvent ainsi absolument exclus du cours des choses ». Aristote

dissertation très classique : “Laliberté est-elle une illusion ?” (courant pour les terminales littéraires) La liberté est-elle une illusion ? Travail préparatoire A) L’analyse des termes du sujet : 1) La liberté : Il s’agit de toujours partir de la conception spontanée, immédiate que l’on se fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun