Thèse Et Antithèse

différentes d’un même phénomène – 2 ou 3 parties – Exemples : individuel/collectif, social/économique/psychologique, intérieur/extérieur, rural/urbain, oriental/occidental… 3. Plan proprement dit • Plan dialectique – Thèse (défense d’un point de vue, d’une idée), antithèse (défense du point de vue adverse), 3ème partie regroupe les idées qui dépassent l’opposition de deux premières parties – Exemple : la politesse • Les arguments en faveur de la politesse, les raisons pour lesquelles tout le

malheurs pour qu'il puisse les raconter. Voltaire le définit de savant et de "Bon homme" et le décrit par ses malheurs ( volé par sa femme, battu par son fils, abandonné de sa fille ) . La Théorie de Martin est totalement opposée à celle de Pangloss ( Antithèse ) . Manichéens et pessimiste allant jusqu'à la paresse. Pour Martin quelque soit l'endroit où il est tout est au plus mal, le fait de travailler est alors un moyen d'oublier ce mal. Cette philosophie n'est pourtant pas celle défendu par Voltaire

Le discours est composé de deux parties : - La narration et - La confirmation qui ont pour but de l'établissement de la thése que l'on défend. La question question particulière qu'on appelle cause. Aujourd'hui l'art oratoire est encore utilisé dans les discours politiques, notamment. La question est divisée en deux sous parties : la question générale qu'on appelle thèse, et la II Les types de raisonnement On distingue plusieurs types de raisonnement. Repérer le type de raisonnement utilisé

fausse et mauvaise pour l’enfant. Question 2 : En ce qui concerne la 1ère thèse l’auteur avance plusieurs arguments. Il est précisé que les enfants savent choisir et qu’ils savent résister à la pression de la publicité. Ainsi les enfants reconnaissent les objets utiles et nécessaires pour leur besoins. Enfin en dernière partie de sa 1ère thèse l’auteur précise que l’acte de posséder sécurise les enfants. En 2ème thèse, l’idée qu’on inculque aux enfants est que la reconnaissance sociale passe uniquement

proverbe personnel : à objectif flou, connerie précise ! III. les types de plan possible 1. le plan dialectique : le chouchou ! Il correspond au combo : thèse, antithèse, synthèse ! mais il est souvent bien mal-mené… 2. le plan partial : c’est un demi-plan dialectique. Peu prisé alors qu’il vs permet d’éviter de vs noyer ds une antithèse floue et, ne cachons pas la vérité, mauvaise. 3. le plan analytique : le plus difficile parce qu’il demande d’être logique et structuré (encore + que les 2

Montaigne s'oppose à l'opinion publique («or» conjonction adversative l.1). Ce texte s'inscrit dans le registre polémique (opposition de deux thèses). Montaigne s'exprime à la première personne du singulier dès le début du texte. Il rejette totalement la thèse adverse avec cette négation forte «il n'y a rien» l.1 où il rejette les mots BARBARES et SAUVAGES. Il explique pourquoi il rejette ces mots, il prétend que les Européens appellent BARBARIE ce qui est différent. Montaigne utilise le pronom distributif

○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ ○ Le plan dialectique appartient au type du plan par confrontation. Il est constitué de trois parties. Les deux premières explorent deux points de vue possibles : le pour dans la partie thèse et le contre dans la partie antithèse. Une dernière partie, paragraphebilan, propose une synthèse pour dégager le point de vue final. (Pour en savoir plus, voir Notions utiles et conseils pratiques sous le titre Plan dans la section Organisation.) Nous reproduisons

une hypothèse avec L’adverbe « Si » en tête de paragraphe. On note des connecteurs logiques l 4 « mais » qui marque l’opposition L6 conclusion de la démonstration qui est sa thèse et qui commence par « telle dut être » et l’emploi de « dut » qui est un modalisateur qui montre l’adhésion partielle de la thèse. (l6-7) la thèse est explicitement annoncée. II Début de la communication: Reprise anaphorique de l’adverbe de lieu « là » (l8-10-18-20) « là » désignant le puits qui montre l’importance

cet amour maladif. Pour commencer, le vers 5 « je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue » présente un premier symptôme qu’est les changements de couleur du visage. Dans cette phrase le verbe « rougis » est opposé au verbe « je pâlis », c’est une antithèse. De plus cette phrase présente une assonance en « i ». Ce vers montre ainsi la succession d’états contradictoires chez Phèdre et l’assonance en « i » en renforce en le rythme. Ensuite, d’autres perturbations sont décrites au vers 7 « Mes yeux ne

effet produisent ses paroles sur le peuple ? a) L'orateur emploie la force «il parla fortement», un «art tyrannique» (= la violence) mais personne ne l'écoute car dans une République on ne peut forcer le peuple à écouter l'orateur. Présence d'une antithèse à la rime «tyrannique» vs «république» b) L'orateur emploie les figures de rhétorique. Il emploie la prosopopée : «Il fit parler les morts» et «des figures violentes» : la diérèse (deux voyelles qui se suivent prononcées en deux syllabes. La