Tocqueville Le Bonheur

constitutionnelle de 1870 à 1958 : La mise en place du régime parlementaire en France Thème I – Qu’est-ce-que le Droit constitutionnel ? 3 THEME I – QU’EST-CE-QUE LE DROIT CONSTITUTIONNEL ? « Une bonne Constitution ne peut suffire à faire le bonheur d’une Nation, une mauvaise peut suffire à faire son malheur. » CARCASSONNE (G.), La Constitution, Seuil, coll. « Points », 2004, p. 33. Résumé Né avec l’État moderne, le droit constitutionnel étudie, décrit et explique tant les aspects juridiques

Déstabilisation politique Ex : Rév° française, USA... Nouvelle vie, nouvelle société : on passe d'une société composée d'ordres (monarchie) et donc inégalitaire à une société démocratique plus égalitaire qui revendique l'égalité des conditions ; Alexis de Tocqueville : De la démocratie en Amérique. Cette déstabilisation va entrainer de nouvelle conception de la société et donc une nouvelle société à étudier, améliorer, corriger... ---> Création de courants politiques (Rev° 1830-1848). => Quelques traits communs

cultures historiquement acquises. Il ne la doit plus qu’à l’espace culturel universel dont il devient à son tour dépositaire, puisque plus en contact direct avec la nature en générale et sa nature en particulier, comme l’a bien montré Alexis de Tocqueville dans De la démocratie en Amérique  : « Je vois, dit-il, une foule innombrable d’hommes semblables et égaux qui tournent sans repose sur eux-mêmes pour se procurer de petits et vulgaires plaisirs dont-ils emplissent leur

départ un pouvoir personnel et héréditaire, on constate que 15 ans après les choses n’ont pas changé.  A nuancer quand même.  La  Révolution  n’a  pas  affaibli  la  plus  forte  des  contraintes,  l’Etat.  Mirabeau  avait  été  le  premier  à  percevoir  cette  réalité́ Puis  .  Tocqueville a révélé́ que la Révolution avait permis l’émergence « d’un pouvoir central immense qui a attiré   et englouti dans son    unité́ toutes    les  parcelles  d’autorité́ et   d’influence  qui  étaient  auparavant  dispersées  dans  une  foule  des 

pour tous et la justice n’est que cette égalité ». Différentes conceptions de l’égalité : Egalité de droit, qui exclut tout privilège légal qui peut s’accompagner de fortes inégalités sociales, assez proche, du concept Egalité des conditions de Tocqueville. Egalité sociale parfaite ou égalité de situations : égalité réelle des individus en termes de ressources, possible dans une société sans classe sociale  mouvement socialiste. Hors du contexte purement égalitariste  la lutte doit porter sur

avec le degré d’inégalité auquel les sociétés consentent. 2. Evolution et transformation des inégalités On se doit de mettre en évidence le processus d’égalisation des conditions qui régit les sociétés contemporaines ainsi que Tocqueville l’avait entrevu. Ce processus d’égalisation passe par une réduction des inégalités économiques, de revenus et de patrimoines que l’on peut nier sur le long terme. Il passe aussi par une transformation de la structure sociale : les sociétés modernes

culturel, qui ne reposa pas sur la fondation de colonies (c’est à dire la confiscation de la souveraineté d’un Etat pour le contrôler). La mission des Etats-Unis devait être de « civiliser » le monde, le rendre à son image, pour faire littéralement le bonheur des autres états malgré eux. Ce principe de « destinée manifeste » se conjugua de façon différente selon les deux grandes orientations - réalistes ou idéalistes - qui allèrent former le socle de la politique étrangère américaine. Les héritages

dans une maison de force. La faim est donc le moteur du mouvement de révolte populaire, mais celui-ci aide et pénètre une révolution bourgeoise. 1.5. La bourgeoisie : « une position d'autant plus insupportable qu'elle devenait meilleure […] » (Tocqueville) Des petits bourgeois plus riches et plus industrieux que les nobles… La crise intervient dans un pays qui, depuis plus d'un demi-siècle, s'est enrichi. Cette richesse se voit aussi bien dans l'animation des ports de la façade atlantique, qui

poursuite du bonheur « égalité de quoi?»(Sen) Quelles institutions permettent l’égalité ? TOCQUEVILLE : la soc fr est une soc d’ordre  qu’à la fin 19eme qu’on passe vers soc de classe. EU : soc moderne  les ind se libèrent du déterminisme de l’histoire et permettent d’ouvrir l’espace de leurs choix Deux critères privilégiés Critère utilitariste (Jeremy Bentham, 1789) : Maximiser la somme des bonheurs individuels  ne veut pas dire répartition Pb: indifférence à l’inégalité des bonheurs individuels

On a une masse de travailleurs face à une petite élite de propriétaires terriens, et là il y a une crainte que la démocratie vienne chambouler le capitalisme. A la suite de la Révolution il va y avoir un grand débat sur le droit du travail (TOCQUEVILLE). Face à ces réticences au combat anti démocratique, il y a 2 attitudes possibles : _ les démocrates En France, ca va être les républicains qui vont lier cette idée à l’idée de la participation de l’ensemble du peuple. Ils disent que la seule