Tonnage

; ♣ Considérées comme enregistrées ; ♣ Attribution automatique d’un numéro d’enregistrement par l’ECHA au 01 décembre 2008 ; ♣ Le fabricant ou l’importateur n’aura à intervenir que lorsque sa production ou son importation dépassera la bande de tonnage pour laquelle il avait effectué une notification. Dans ce cas, les informations supplémentaires nécessaires devront être fournies. ♣ NB : les substances actives et co-formulants utilisés dans les produits phytosanitaires et biocides sont également

production des produits périssables augmente de 2% par an, elle devrait atteindre  11.2 millions de tonnes en 2010 La capacité d’entreposage installée représente 4.1% du tonnage des produits  périssables Pour respecter les standards moyens internationaux, le ratio de la capacité d’entreposage en tonne par rapport au tonnage des produits périssable devra être  ramené à 4.5% en 2010 Le taux de dépréciation des capacités installées est de l’ordre de 4%, ce qui correspond  à une durée de vie

| |supporte un peu moins des deux tiers du trafic en tonnes kilomètres (80% du tonnage total). | | |- Le transport par voie ferrée, | | |supporte moins d'un tiers du trafic (17% du tonnage total). |

l’activité minière de CMG a été marquée par une légère baisse de la teneur du Zinc (-0,2%), une teneur en Plomb en | |hausse de (9,5%) et un recul de la teneur du Cuivre produit (de prés de 24 %) ; La hausse de la part du tonnage extrait de DRAA SFAR dans le | |tonnage global a influencé l’évolution des teneurs exploitées. En effet, la baisse de celles-ci au niveau du cuivre et l’amélioration des | |teneurs exploitées du plomb reflète les caractéristiques du gisement DRAA SFAR plus riche

doit payer la marchandise vendue. 2. Organisation du service expédition a. Implantation des quais et des aires d'expéditions La surface et la configuration des locaux ou des aires d'expéditions doivent prendre en considération :      les tonnages et cubages unitaires et totaux manutentionnés aux expéditions, les modes de transport exploités et leurs accès (rail, route), la charge et le volume utiles des véhicules de transport utilisés, le type, la nature, le poids et volume d'une expédition

moins sur la route et par conséquent, une diminution nette d'embouteillages et donc de pollution. Propre, silencieux, fiable, économe, le transport fluvial constitue une alternative durable au mode routier. Ce mode est économique par sa capacité de tonnage, fiable par la sûreté de ses acheminements et sa ponctualité, la voie d'eau propose des solutions adaptées aux nouvelles exigences en matière de transport : la compétitivité pour des marchandises de gros volume (pondéreux, matériaux de construction

dépendantes du tonnage mis sur le marché ; l’ensemble de ces procédures est connu sous le nom de notification. Toutes les substances nouvelles notifiées figurent dans l’inventaire ELINCS (European LIst of Notified Chemical Substances). Les producteurs, importateurs de substances nouvelles doivent déposer, avant leur mise sur le marché, des dossiers comprenant notamment les rapports d’essais physico-chimiques, toxicologiquesW, et écotoxicologiques. Le nombre d’essais demandé dépend encore du tonnage de production

port de Marseille-Fos. Marseille : porte de l'Asie Chargement de vin en vrac sur le port de Sète (photo : DR) Car le vin est devenu l'un des axes de développement du port de Marseille, où le trafic des Vins et Spiritueux a représenté un tonnage de 270 000 tonnes en 2011 ; la part des exportations est prépondérante, avec un total de 235 000 tonnes l'an dernier, soit 25 000 EVP (+ 18% par rapport à l'année précédente). Les volumes expédiés vers l'Asie enregistrent une croissance sensible

nous l’indique le document 1, neufs milliards de tonnes de marchandises ont été acheminé par la mer en 2012. Aujourd’hui cela équivaudrait à onze milliards environ. Les échanges de bien manufacturés, et marchandises de tout ordres voyant leur tonnage exploser, il a donc fallu que ces espaces s’adaptent au cours du temps. La capacité des navires a augmenté et comme nous le disions en introduction, il est courant de voir en mer des bateaux à grandes capacités tels que les ports conteneurs ou les

l'énergie après utilisation, il en va différemment dans le cas des matières premières, surtout lorsqu'elles sont rares ou qu'elles se raréfient. Le problème concerne notamment des métaux non-ferreux comme le cuivre, le manganèse, le nickel, dont les tonnages extraits ont été multipliés par quatre, cinq ou six en un demi-siècle, et dont on exploite actuellement les gisements à des teneurs parfois inférieures à 1 %. Il concerne aussi des minerais rares, auxquels le progrès technologique a conféré une importance