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On distingue la noblesse, le clergé et les roturiers. Il y a une prédominance des rapports juridiques personnels sur les rapports juridiques relatifs aux biens. Pour l’essentiel, les règles juridiques sont relatives aux liens entre les personnes. Toutes les règles de propriété sont secondaires. Le droit régie essentiellement les relations entre les individus. * Prédominance de la propriété immobilière. On mesurait la position sociale en fonction des terres que l’on possédait. Ces traits vont

concubinage. 2001 : suppression après affaire Mazurek ou France condamnée par CEDH Février 2000 car discrimination dans le code civil français en défaveur des enfants adultérins, ce qui conduira à une nouvelle loi du 3 décembre 2001 qui aurait dû effacer toutes les inégalités. 4 mars 2002 : égalité entre les parents 26 mai 2004 : divorce de plus en plus rapide et consensuel, ne supprime pas le divorce pour faute. 6 août 2004 : première révision lois bioéthiques 4 juillet 2005 : actuellement applicable

DROIT EXTRAPATRIMONIAL j.bouton@unistra.fr INTRODUCTION GENERALE • La notion de famille La famille  c’est un Groupe de personnes unies entre elles soit par le mariage soit par la filiation Elle existe dans toutes les sociétés et a une importance sociologique et économique (artisanat ou agriculture), notamment le rôle de l’entraide au sein de la famille. Il y a la loi du 5 mars 2007 pour les majeurs qui ont besoins d’aide. Elle fait l’objet d’une évolution ainsi que le droit qui

caractère coercitif de la sanction renforce le caractère obligatoire. Il y a différentsdegrés dans l’obligatoire. Il y a les règles dites impératives (règles d’ordre public) et les règles dites supplétives. Les règlesd’ordres publics s’appliquent dans toutes hypothèses car elles véhiculent des valeurs fondamentales dans la société. Elles servent les intérêts supérieurs de la société. Ces règlesimpératives s’opposent aux règles supplétives. Les règles supplétives sont des règles qui s’appliquent àdéfaut

identiques. Pour les juristes, le droit est confondu avec une masse de règles. Peu importe d’où viennent les règles (de la C° de 1958, des directives européennes, de lois, de décrets, de codes, etc). Le droit est un ensemble de règles. Ce n’est pas tout à fait exact. Il est vrai que le droit est composé de règles, il produit de la norme. Mais le droit n’est pas que des règles de droit écrites. Il existe encore aujourd’hui dont le droit est composé d’usage, de coutume, autrement dit de règles non écrites

Chacun doit connaître les effets que peuvent produire ses actes. Mais encore faut-il que le citoyen puisse avoir un libre accès à la loi. « Nul n’est censé ignorer la loi » « L’incertitude est un fléau, l’arbitraire est un phénomène que doit combattre tout système démocratique » CAMBACERES - La justice est un pouvoir. En effet, dire le droit, c’est une action à laquelle doivent se remettre et se soumettre les citoyens. « Nul ne peut se faire justice soi-même ». De plus, ce qui a été jugé ne peut être

imaginent un langage du droit commun aux communautés. C’est un projet d’harmonisation et non d’uniformisation. (M.Delmas-Marty : collège de France.) Des valeurs seraient-elles alors communes aux Hommes? Il faut trouver des valeurs communes aux Hommes tout en respectant la diversité et la spécificité des cultures. Les valeurs communes sur lesquelles les Hommes pourraient être d’accord : * le respect du vivant. * le respect des générations futures. * le respect de l’intégrité. Le droit est alors

acceptable aux non-juristes c’est-à-dire qu’on comprend facilement ce qu’est un mariage, une adoption, une filiation. La difficulté essentielle avec la notion de famille tiens à son évolution historique. Jusqu’à très longtemps la familia était avant tout un patrimoine. Il y avait un intérêt pécuniaire. Cette famille était marquée par l’autorité du père. Il a fallu attendre les années 1960 pour qu’il y ait un réel équilibrage de la famille. Le problème avec la notion de famille c’est qu’il n’y en

etc. Le droit est tellement présent que l'on ne s'en rend pas compte ce qui est extrêmement dangereux. La règle de droit construit l'Etat de droit mais elle peut assi aboutir à l'excès de droit. Le recours à la règle de doit se banalise pour gérer toutes les difficultés même si elle n'est pas appropriée. Trop de droit se révèle dans la majorité des cas inefficace[1] (cf lois inutiles ex de l'étiquetage des bagages[2]), mais peut se révéler liberticide « pour créer du droit, il n'est nul besoin d'être

identiques. Pour les juristes, le droit est confondu avec une masse de règles. Peut importe d’où viennent les règles (de la C° de 1958, des directives européennes, de lois, de décrets, de codes, etc). Le droit est un ensemble de règles. Ce n’est pas tout à fait exact. Il est vrai que le droit est composé de règles, il produit de la norme. Mais le droit n’est pas que des règles de droit écrites. Il existe encore aujourd’hui dont le droit est composé d’usage, de coutume, autrement dit de règles non écrites