Tragédie Plaisir

le théâtre est un art à part. Dans l'Antiquité grecque il s'agissait au début d'une cérémonie religieuse (origine de la tragédie : culte rendu à Dionysos) puis d'un acte citoyen. De nos jours encore il conserve un aspect presque cérémoniel : on se rend dans un lieu particulier où l'on assiste à la représentation avec les autres spectateurs. On manifeste son approbation, son plaisir de spectateur par des applaudissements ou au contraire son ennui ou son déplaisir en réagissant, en dormant ou en quittant

période hellénique, Euripide a écrit une pièce de théâtre sur ces deux personnages. A l’époque romaine, Sénèque en a écrit une aussi et après Racine, Eugene O’Neil et Robinson Jeffers ont fait le même travail au XXe siècle. Ce mythe, à part sa forme de tragédie, se présente dans les folklores ou les contes de fée. Cependant parmi toutes ces versions de la réécriture, celles d’Euripide et de Racine sont les plus populaires. D’Euripide à Racine, ce passage de la Grèce antique à la France au siècle de

membres de la petite noblesse (le baron, Perdican, Camille) c. Un proverbe : Jeu de salon au XVII°, sorte de comédie au XVIII°, au XIX° : véritable genre dramatique entre la comédie et la farce, comédie moralisatrice (corriger tout en donnant du plaisir = plaire et instruire). Ses arguments font revivre une société des Lumières, Révolution, Empire. En 1830 : Genre installé, très éloigné des audaces romantiques de l’époque. Certains indices montrent une filiation relative du genre à l’oeuvre. (Certains

Madame de La Fayette, La princesse de Clèves, Tome IV, 1678 http://www.tv5.org/TV5Site/publication/publi-314-le_Jeu_de_l_amour_et_du_hasard__de_Marivaux.htm Objectifs didactiques: Se familiariser avec le théâtre du XVII, passage du baroque à la tragédie racinienne. Comprendre l’évolution du genre théâtral du XVII au XVIII siècles Analyser l’évolution des formes et des thèmes romanesques de l’époque baroque à l’âge classique : le roman classique Travailler sur différents genres autour d’un même

Le 26 novembre 1957, le Winter Garden Theatre de Broadway à New York accueille une nouvelle comédie musicale, West Side Story . S’inspirant de la tragédie de William Shakespeare, Roméo et Juliette , elle raconte, dans le New York des années 1950, l’amour impossible de Maria et Tony, à West Side, un quartier dans lequel s’affrontent les gangs. En 1961, son adap- tation cinématographique, décorée de dix oscars, remporte un grand succès. Quarante ans plus tard, les Percussions Claviers

littérature tentent d'instaurer des règles strictes inspirées des modèles antiques , qui vont à l'encontre de l'esprit baroque. Ainsi, une œuvre ne doit pas procurer un plaisir gratuit mais s'inscrire dans une visée morale et didactique ; le mot d'ordre est d'« instruire et plaire » pour corriger les défauts humains. La tragédie, par exemple, doit inspirer au spectateur « terreur et pitié », tandis que la comédie dénonce les ridicules et les torts de ceux qui s'écartent du droit chemin. Le héros

d'une pièce simple et distrayante : il est dans un état d'esprit propre à la comédie, un état d'esprit facilitant le rire. donc une comédie réussie est une comédie où le spectateur aura trouvé du plaisir . C'est pourquoi Molière a beaucoup de succès, y compris auprès du roi, au même moment où la tragédie avec Corneille et Racine est à son apogée. B. La comédie varie les sources et la nature du comique. Les procédés sont multiples. il y a le comique de caractère avec des gens du peuples, de gestes

l'historiographe du roi du Royaume de France, c'est à dire le roi Louis XIV. Il participe au mouvement littéraire classique par l'écriture de ces tragédies, entre autres Andromaque, écrit en 1667, Britannicus, en 1669, et Bérénice, en 1670, mais aussi par son unique comédie appelée Les Plaideurs, rédigée en 1668.Il met en scène pour la première fois en 1677 la tragédie Phèdre, appelée alors Phèdre et Hippolyte, à Paris, à l'Hôtel de Bourgogne où avaient lieu la plupart des représentations théâtrales non religieuses

Racine prend plaisir à l’avouer, «un personnage inventé». Il faut entendre que son rôle auprès de Britannicus et de Néron est pure fiction puisqu'il existait bien une Junia Calvina, de la famille d'Auguste. Mais, s’il est le seul qui déroge à l'Histoire, il est aussi le seul qui structure la pièce d'une façon racinienne en introduisant un conflit passionnel dans les rapports de force en présence. La passion de Néron pour Junie, amoureuse de Britannicus, est à l'origine de la tragédie et c’est son

euphémisme : " je cède facilement à cette douce violence dont elle nous entraîne ", strophe 55 L’amour qu’il éprouve pour une femme ne lui donne pas le droit de priver toutes les autres et la première ne doit pas s’accaparer de sa personne .C’est un plaisir pour lui de séduire les personnes comme on le voit à la strophe 65 " à réduire , le cœur d’une jeune beauté , le cœur d’une jeune beauté,… " et de remarquer chaque jour l’avancée dans le cœur de la belle " à voir de jour en jour les petits progrès