Tragédie Plaisir

d’Alexandre Dumas. COMÉDIE ET TRAGÉDIE L'étude du Cid permet d'aborder un genre théâtral souvent méconnu : celui de la tragi-comédie. Cependant, pour que les élèves perçoivent bien la spécificité de ce genre, il faut s'assurer de leurs connaissances des caractéristiques des genres comique et tragique. Pour ce faire, on peut concevoir un bref groupement de textes ou un travail en modules, qui précéderait l'étude du Cid, et s'articulerait autour de l'opposition comédie / tragédie. L'objectif sera de récapituler

aux didascalies par exemple, elles donnent des informations sur le lieu / le décor, pour bien savoir où l’on se situe, pour comprendre à quel genre de pièce de théâtre on a à faire. En principe, chaque genre théâtral a son lieu approprié comme la tragédie, la scène se déroule dans un palais et les comédies se déroulent dans une maison bourgeoise. Par exemple, dans « La Cantatrice Chauve », le décor est typiquement anglais. Les didascalies n’apportent pas des informations que sur le décor, elles apportent

théâtre classique qu'il juge trop sévères, pas assez libéralistes. Il prône également le mélange des genres, en particulier celui de la tragédie et de la comédie. " Nous voici parvenus à la sommité poétique des temps modernes. Shakespeare, c'est le drame ; et le drame qui fond sous un même souffle le grotesque et le sublime, le terrible et le bouffon, la tragédie et la comédie, le drame est le caractère propre de la poésie, de la littérature actuelle." - Victor HUGO 1

d’esprit, qui feint de soutenir le parti adverse, soulignant par son approbation indéfectible la faiblesse ou l’ineptie des arguments de ceux-ci. Chacun reste sur ses positions, et l’annonce du souper servi sert de dénouement. Ils s’y rendent tous avec plaisir, chacun étant persuadé d’avoir emporté la discussion et de s’y être montré à son avantage. Quelques répliques célèbres[modifier] « Il ne faut que voir les continuels éclats de rire que le parterre fait [à cette pièce]. Je ne veux point d’autre

ACTE V Horace, Corneille INTRODUCTION - La tragédie a fortement marqué la littérature occidentale, avec différentes évolutions selon les auteur. Les tragédies cornéliennes par exemple sont beaucoup plus inspirées de l’histoire que celles de Racine, davantage imprégnées des mythes. Pour écrire Horace, c'est de l'histoire de Rome que s'est inspiré Corneille : pour décider quelle ville, de rome ou d'Albe dominera la seconde, les 3 frères Horaces doivent affronter les 3 frèresCuriaces. Malheureusement

voltaire est emprisonné une 2eme fois en 1727 puis il est tout simplement exiler en Angleterre ou il fait connaissance avec de grand personnages tel SHAKESPEARE, NEWTON ou encore LOCKE. Puis il retourne en France (en secret) et il écrit Brutus (une tragédie) en 7930 puis les lettres philosophiques en 1934 ainsi que le mondain en 1736. Elu à l’académie française en 1746 il participe à la rédaction de l’encyclopédie. Ce n’est que vers la fin de sa vie que voltaire s’engage complètement dans les débats

463-465]) fit exécuter le prince Mustafa à I'instigation de la sultane Roxelane (qui fut citée aussi par Racine, qui ne parla pas toutefois de la mort de Mustafa). En 1637, Dalibran fit jouer ‘’Soliman’’. Dans les années 1640, il y eut quatre tragédies et deux tragi-comédies à sujet turc. En 1643, Desmares produisit ‘’Roxelane’’ qui faisait vivre le sultan Bajazet Ier qui, en 1402, avait été fait prisonnier par Tamerlan, ce que Racine évoqua aussi :

Séquence 5 Tragédie et comédie au XVIIe siècle : le classicisme Sommaire Objectifs & parcours d’étude Introduction 1. Autour de l’auteur Fiche méthode : Le classicisme Corrigés des exercices 2. Le classicisme de L’École des femmes : vue d’ensemble Fiche métode : Les règles du théâtre classique 3. Le classicisme de L’École des femmes : à l’épreuve du texte Corrigés des exercices Bilan Séquence 5 – FR20 1 © Cned – Académie en ligne O bjectifs & parcours d’étude Objectifs

personnages mais surtout de Coelio. Dans cette pièce, on relève l'expression du Spleen illustré par ce dernier : homme mélancolique et malheureux (« fou de n'être heureux ») à la recherche de l'Idéal . Ainsi qu'Octave, le libertin à la recherche des plaisirs des sens, qui fond ses chagrins dans l'alcool. Les sentiments sont le plus souvent exprimés à travers des métaphores notamment lors de la 2ème rencontre entre Octave et Marianne mais aussi par les ponctuations expressives afin de souligner ce lyrisme

exemplaire. Nous verrons d'abord que cette scèneoffre un dénouement dans la tradition classique, dénouement qui propose un aveu ambigu de la part de Phèdre et qui se constitue en dénouement tragique.     I. Un dénouement classique   Moment-clé de la tragédie classique, le dénouement a donné lieu à des réflexions des théoriciens classiques sur la forme qu’il devait adopter. Ce dénouement de Phèdrerépond aux critères définis par eux, puisqu’il est à la fois efficace, nécessaire et complet, autant de caractéristiques