Traînée

mouvement aux roues qui permet au véhicule de se mouvoir. - La trainée : elle est dirigée horizontalement, elle provient du mouvement de l’air allant dans le sens opposé à celui du véhicule. - La portance : c’est l’effet d’élévation du véhicule lorsqu’il va à grande vitesse, elle s’exerce perpendiculairement à la vitesse du véhicule Nous allons nous centrer plus particulièrement su ces deux dernières forces. C) La portance et la trainée. Lorsque qu’un véhicule comme la F1 est à grande vitesse

portée. Deux forces dus au vent peuvent agir sur le tablier : la force de traînées qui s’exerce de manière horizontale parallèle au vent et dans le même sens que celui-ci sur le tablier (elle est notée T). Le schéma ci-dessous représente une force de traînée où la direction et le sens caractéristiques des forces de traînée sont respectés ; cependant le schéma (ci-dessous) n'est pas à l'échelle. De plus, les forces de traînée qui s'exercent en tout point du tablier sont ramenées, sur le schéma, à

avion en papier « Origami » et on observe: Vx Vx Force aérodynamique Cx=0.6 La boule en papier fait une trajectoire proche d’une parabole (voir annexe 2). Poids La résistance (trainée) conduit à une vitesse Vx=0 et donc à une chute horizontale rectiligne et uniforme (poids et trainée s’annulent). For information only CH 1: LA PORTANCE Bien lancé, on obtient un mouvement rectiligne en pente. Ceci suggère que le poids est équilibré par une force « aérodynamique ».

Mesures des efforts La balance dont est équipée la soufflerie permet de mesurer les principaux efforts s’exerçant sur la voiture : la portance (ou plutôt la déportance dans notre cas), la traînée et le moment de tangage. Cette balance est reliée par trois mâts –profilés, de manière à minimiser leur influence sur la traînée- à la maquette, et des jauges de déformations judicieusement placées permettent de mesurer ces efforts. En effet, dans le cadre des petites déformations en élasticité linaire, les déformations

La longueur de ces “bulbes” de recirculation croît également avec le nombre de Reynolds. Fig. 2.3 – Ecoulement instationnaire bidimensionnel à Re = 105 Pour caractériser les forces exercées par le fluide sur le cylindre, les coefficients de traînée et de portance sont définis. Ils correspondent respectivement aux forces appliquées sur le corps dans la direction de l’écoulement et perpendiculairement au mouvement incident, adimensionnées par la masse volumique du fluide, sa vitesse à l’infini

à v, et en une résistance ou traînée Rx dans la direction de v. Ces deux forces ont pour expressions : [pic] où ρ est la masse volumique de l'air ambiant, Cz et Cx sont des coefficients dont les ordres de grandeur, en fluide incompressible, sont : [pic] où α est l'angle d'incidence exprimé en radians et kl  =k/(1 + 2k/πλ) ; k dépend du profil mais est voisin de π. Le coefficient de traînée de profil, Cxp (somme des coefficients de traînée de pression et de traînée de frottement), est sensiblement

arrière qui fonctionne avec un vérin hydraulique permettant de l’ouvrir de  50mm pour laisser passer l’air plus facilement. Il permet de réduire la  traînée et la déportance ce qui permet à la voiture d’accélérer pendant  quelques secondes sur un endroit défini du circuit. On l’utilise  généralement pour dépasser d’autres voitures. Il se désactive lorsque le  pilote freine pour que la voiture récupère une traînée et un appui correct  pour pas que le pilote perd le contrôle de son véhicule. Ce système  ne  peut être que sur l’ai

1.4 Les muscles 1.5 les Os 2 Ailes planeurs : matériaux, surface 2.1 Balsa 2.2 Samba 2.3 Contreplaqué 2.4 Aluminium 2.5 Autres II … MAIS POURTANT DES MODES DE FONCTIONNEMENT VOISIN 1 Forces 1.1le Poid 1.2 la Trainée 1.3 La Portance 1.4La Traction 2 Courant ascendant [pic] Depuis toujours le vol des oiseaux n’a de cesse de fasciner l’homme et des nombreuses tentatives de reproduction de ce phénomène ont été entreprises. En effet la légende

l’air, autrement dit la traînée, est donc une préoccupation constante, soit pour gagner de la vitesse, soit pour économiser de l’énergie : les cyclistes, les skieurs, les patineurs adoptent instinctivement la position dite de ‘‘l’œuf’’. La densité de l’atmosphère et par suite la résistance de l’air diminuent avec l’altitude, ce qui incite les avions de ligne à voler aussi haut que possible. À 20 000 mètres de hauteur, par exemple, la densité de l’air est si réduite que la traînée y est divisée par dix

: ailerons - gouvernes en tangage et en roulis : gouvernes de profondeur plus ailerons, séparées ou bien regroupées (élevons) sur les ailes « Delta » - becs et volets hypersustentateurs, aérofreins permettant le contrôle de la portance et de la traînée. 1°) Ailette verticale marginale (Winglet en anglais) 2°) Aileron basse vitesse 3°) Aileron haute vitesse 4°) Rail de glissement