Traitement Social Du Chomage

économique, les revenus primaires sont moins importants, les prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales) deviennent moins élevés (puisqu’ils sont proportionnels aux revenus), par contre, les revenus secondaires (indemnisation chômage, allocations familiales, pension de retraite, revenu de solidarité active) deviennent plus importante du fait de la multiplication du chômage et de la précarité. La baisse des prélèvements obligatoires et la hausse des revenus secondaires ont un effet

déterminer les causes. Ici nous nous intéresserons au rôle de la conjoncture économique sur la criminalité. La criminalité est-elle liée au chômage ?  Les variables retenues pour traiter ce dossier sont les infractions aux biens en 2010 (pour 100 000 habitants), les atteintes volontaires à l’intégrité physique en 2010 (pour 100 000 habitants) et le chômage en France en 2011(en nombre). Il semble important de les définir, pour cela nous nous baserons sur les définitions de l’INSEE (Institut national

travail apparaît comme le lieu théorique de rencontre de l'offre de travail et de la demande de travail. cette rencontre est régie et régulée par le droit du travail dont l'application est surveillée par des institutions publiques et des partenaires sociaux. Interaction de 3 données sur un 'marche libre : offre/demande de travail, salaire Stiglitz : avec salaire d'efficience Conditions de concurrence pure et parfaite : - atomicité du marche, fluidité des facteurs, homogénéité des produits, libre

car la régulation par le marché n’est pas suffisante (imperfections du capitalisme : inflation, chômage, pauvreté). L’Etat doit se substitué au marché défaillant par une politique économique (réglementations des prix, accords de subventions, nationalisations). Progrès économique et progrès social sont associés dans la recherche du plein emploi avec la mise en place de systèmes de protection sociale et l’éducation, ce qui correspond à un Etat providence. C] Le retour à la conception

Fiche synthèse sur la Protection sociale Etat Providence: typologie d'ESPING ANDERSEN, modèle bismarkien, béveridgien Le système de protection sociale français : un modèle hybride ? → A l’origine, un modèle assurantiel, alors que LAROQUE voulait mettre en place un système universel béveridgien : * pas d’ « universalisme » car certains risques comme le chômage ou perte d’autonomie sont exclus, * pas d’ « unité » à cause des régimes spéciaux, * pas d’ « uniformité » car « principe

certaines familles ne voient eloignés des normes sociales en matière d’éducation, de logement ou d’accès aux soins. Ces derniers ne semblent pas pouvoir s’en sortir avec la protection sociale en place de l’époque. Apparait la notion d’exclusion. Face à ces nouveaux problèmes Bertrand Schwartz propose au premier ministre de mettre en place un système pour pouvoir réinsérer ces personnes jugés hors du système. Ainsi, sont crées des politiques d’insertion sociales et professionnelles en partenariat avec des

PROTECTION SOCIALE ET SOLIDARITE COLLECTIVE FICHE DE REVISION N°11 1/LES PROBLEMATIQUES DU CHAPITRE 1-Comprendre que la solidarité moderne se concrétise sous la forme de dispositifs de protection sociale et de redistribution. 2-Connaître les différents modèles de protection sociale existants et plus particulièrement le modèle français. 3-Découvrir les dispositifs et les problèmes contemporains de prise en charge de la vieillesse et de lutte contre la pauvreté ; 2/LES MOTS-CLES 1-Assurance :

que sont le travail et le capital ; l’essentiel du partage de la valeur ajoutée va se faire entre ces facteurs. Les salariés vont toucher leurs salaires (environ 60 % de la VA), primes…, l’État va prélever les impôts, les taxes et les cotisations sociales et enfin le reste ira à l’entreprise pour la rémunération du capital (environ 30 % de la VA). On appelle ce reste l’Excédent brut d’exploitation (EBE), c’est-à-dire le bénéfice brut. À partir de cet EBE, l’entreprise va verser des dividendes à

UGPMI UTICA NOTE DE SYNTHESE DE L’ETUDE SUR : LEGISLATION SOCIALE ET COMPETITIVITE DE L’ENTREPRISE Législation sociale et compétitivité de l’entreprise 1. Formulation de la problématique et méthodologie 2. Description de l’état actuel de la législation sociale en Tunisie 2.1. 2.2. Présentation du cadre juridique : code du travail et conventions Collectives. Présentation du droit conventionnel : origine de la négociation collective et révision des conventions collectives (apport

éléments déterminants de l’engagement du personnel. Elle est un élément clé de la relation entre les salariés et l’organisation qui les emploie : elle peut être source de conflit ou de stabilité de cette relation et représente des enjeux économiques, sociaux et symboliques majeurs. II - Les critères de rémunération Les qualifications : elles sont hiérarchisés et constituent la base de la rémunération. Les emplois, les niveaux de formation et les qualifications varient d’un secteur d’activité économique