Transposition De Tartuffe

l'ennui, la facticité d'un jeu convenu et s'agit-il alors des participants à la fête, de la fête elle-même qui serait génératrice d'ennui, de tristesse ? Ne faut-il pas voir dans cette évocation l'expression même de la présence du poète et la transposition de ce tableau-objet, celui de Watteau, en un tableau intérieur, celui du poète même? Deuxième axe : l'évocation d'un paysage intérieur ou d'un monde de rêve. En effet, l'ambiguïté soulevée dès le début de cette analyse, la présence explicite

préférer ce personnage, ce qui est caractéristique du plan thématique. I - LE PERSONNAGE ODIEUX EST SOUVENT LE MOTEUR DE L'HISTOIRE : • C'est contre lui que nous combattons aux côtés du héros, et à ce combat se mêle une secrète fascination (Tartuffe, personnage éponyme de la pièce de Molière). • Le personnage odieux incarne les forces brutales de l'existence et rend l'œuvre plus humaine et authentique (Vautrin dans Le Père Goriot de Balzac). II - LE PERSONNAGE ODIEUX EST SOUVENT PLUS ORIGINAL

il s'agit non pas de copier mais de « se nourrir » des œuvres antiques pour renouveler l'inspiration. Un nouvel art poétique : l'abandon des formes du Moyen Âge comme le rondeau ou la ballade signe de retour des grands genres de l'Antiquité. La transposition du sonnet pétrarquiste entraîne la création de nouvelles règles métriques. Une autre vision du poète : ce travail de la langue n'est cependant pas suffisant, la poésie est un art sacré qui demande de l'enthousiasme au sens étymologique du terme

préférer ce personnage, ce qui est caractéristique du plan thématique. I - LE PERSONNAGE ODIEUX EST SOUVENT LE MOTEUR DE L'HISTOIRE : • C'est contre lui que nous combattons aux côtés du héros, et à ce combat se mêle une secrète fascination (Tartuffe, personnage éponyme de la pièce de Molière). • Le personnage odieux incarne les forces brutales de l'existence et rend l'œuvre plus humaine et authentique (Vautrin dans Le Père Goriot de Balzac). II - LE PERSONNAGE ODIEUX EST SOUVENT PLUS ORIGINAL

Le Cid n’y satisfait pas puisque l’amour de l’Infante pour Rodrigue n’a pas d’influence sur l’amour Rodrigue-Chimène) III.B.2 L’exposition Il faut que le premier acte contienne tous les éléments nécessaires à la compréhension de la pièce. Dans Tartuffe, l’exposition ne s’achève qu’au troisième acte car Molière diffère sciemment l’arrivée du perso principal pour « préparer la venue du scélérat » dira-t-il. L’exposition peut prendre la forme d’un dialogue entre un perso principal et un perso secondaire

Cid n’y satisfait pas puisque l’amour de l’Infante pour Rodrigue n’a pas d’influence sur l’amour Rodrigue-Chimène) 2 L’exposition Il faut que le premier acte contienne tous les éléments nécessaires à la compréhension de la pièce. Dans Tartuffe, l’exposition ne s’achève qu’au troisième acte car Molière diffère sciemment l’arrivée du perso principal pour « préparer la venue du scélérat » dira-t-il. L’exposition peut prendre la forme d’un dialogue entre un perso principal et un perso

efforts pour masquer son alcoolisme et ses aventures sexuelles tumultueuses avec l’épicier indien. La phase du lever de masque est sans doute la plus complexe. Elle peut résulter de toute une mécanique et surgir comme dans la célèbre scène de tartuffe ou être distillée lentement le long de la pièce. Dans tous les cas, les actes et les propos du personnage sont les seuls révélateurs efficaces. Seule l’auto-trahison permet et au spectateur et aux autres personnages de faire surgir la vérité. L’utilisation

incite le peuple à se saisir de son destin -Mercier≠Diderot car drame excède le champ du malheur familial 4. Le comédien théorisé -Diderot refuse de séparer écriture et représentation=>Paradoxe sur le comédien=>Diderot revient à l'idée d'une transposition, d'une stylisation, se rapproche de l'idée de Belle Nature≠Discours sur la poésie dramatique (=représentation réaliste) ->représentation idéaliste doit avoir quelques traits de réalisme -pr Diderot, le processus interprétatif est le même que

être plus nette. Il appartient à l’opposition. [...] Le Rouge et le Noir constitue ainsi un tableau satirique de la société ultra de , telle qu’elle apparaissait à un jeune roturier révolté, contraint à cacher son dantonisme sous le masque de Tartuffe » . Cette conclusion ne nous convainc pas entièrement. Certes Le Rouge et le Noir est le plus jacobin des romans stendhaliens, mais la prise de position de Stendhal dans ce roman est–elle aussi « nette » que l’affirme K.Kurisu ? « A travers toutes

efforts pour masquer son alcoolisme et ses aventures sexuelles tumultueuses avec l’épicier indien. La phase du lever de masque est sans doute la plus complexe. Elle peut résulter de toute une mécanique et surgir comme dans la célèbre scène de tartuffe ou être distillée lentement le long de la pièce. Dans tous les cas, les actes et les propos du personnage sont les seuls révélateurs efficaces. Seule l’auto-trahison permet et au spectateur et aux autres personnages de faire surgir la vérité. L’utilisation