Trois Champs Lexicaux

cinq. Alors que dans la deuxième partie, le quatrain estrégulier, c’est des vers alexandrins et il y a une rime entre les trois derniers vers : « serrées », « couler » et « espérer » et une anaphore : « il y a ». Pierre Emmanuel est en colère contreles français qui se laissent faire ou qui collaborent avec les allemands nazis qui occupent le pays. Il utilise le champ lexical du silence autour du mot : « mutisme » et avec « mensonge »v.6,« mépris » v.3 et « mort »v.4 : c’est le silence de tous ceux

ternir votre beauté. Introduction Ronsard a maintes fois traité du thème de la belle indifférente aux transports amoureux du poète. Il en livre ici une version originale où le vocabulaire amoureux rejoint les inquiétudes du poète. Organisé en trois moments, le poème, du vers 1 à 6, offre une vision idyllique de la beauté, pour, dans les 6 vers suivants, faire part d’une inquiétude. Enfin, les douze derniers vers livrent une mise en garde. Dans ce mouvement de progression en basculement, il serait

diminutif d’Anna, peut également suggérer son aspect enfantin. Pourtant, elle ne semble pas si innocente que son âge et son comportement le laissent supposer et elle s’affiche avec impudeur, dévoilant les parties les plus intimes de son être et le champ lexical du corps parcourt tout le texte : « hanche », « taille », « gorge », « cuisse », « reins », « croupe », « sexe », « sein », lui conférant une charge érotique évidente. De plus, elle alterne différentes poses et mouvements qui prennent l’allure

ALEXANDRE LEBLANC Dissertation comparative Peut-on dire que les deux poètes partagent une vision similaire de la pensée créatrice ? Travail présenté à Suzanne St-james Département de Littérature CEGEP de Trois-rivières Le 4 septembre 2014 La pensée créatrice est un thème souvent abordé par plusieurs auteurs, mais Baudelaire et Nelligan l'abordent d'une façon particulière. À partir de Nelligan avec « Clair de lune intellectuel »(1900) et Baudelaire avec « Élévation »

surlignage des mots-clés qui donneront une trame à la réponse. Cela permettra de se familiariser avec ce qui est demandé et d'éviter le hors-sujet. II. L'Analyse Dans un deuxième temps, lors de la relecture du texte, il s'agit de déterminer deux à trois axes importants. Ils correspondent aux problématiques majeures : ce qui ressort du texte. Ces idées-clés associent des éléments du fond et de la forme. Par exemple : des émotions traduites par la forme, rendent compte de l'action des personnages. Ces

Le roi de France I / Les critiques 1 ) Gradation entre les trois paragraphes. 1er para. => Le roi et les Français l.10. 2eme para. => le roi est un grand magicien => il a un pouvoir sur les esprits. 3eme para. => Le pape et la religion. 2 ) Les Français ne sont pas épargnée. 1er para => l'auteur leur reproche leur vanité l.6, leur orgueil, l.10. 3eme para => les Français sont crédules, ils croient tout ce qu'on leur dit l.14. Mais ce ne sont pas les français qui sont visés

6. Dans le passage « Cosette mesurait…de cette poupée » quelle est la figure de style utilisée par l’auteur ? 7. Cherchez dans le texte une expression qui signifie : ravissement d’esprit et plaisir extrême. 8. Relevez trois termes ou expressions qui se rapportent au champ lexical de « la misère ». 9. Dans la phrase « la pauvre enfant s’arrêta pétrifiée ». Le mot « pétrifiée » signifie : Soudainement Paralysée Un petit instant 10. Relevez quatre adjectifs qualificatifs ; deux épithètes et deux

de mariage et un soucis d’endettement soutenu par le champ lexical de l’argent « acheter, argent, payer, trois cent mille francs liquides, billets de banque, titres au porteur ». Aussi le titre de la nouvelle La Dot accentue ce thème difficilement conciliable avec la douce image du mariage, laissant alors supposer qu’il est question d’un mariage d’intérêt « il fallait, bien entendu, de l’argent pour la payer ; et Mlle Jeanne Cordier avait trois cent mille francs … » Seulement après, vient la description

du meurtre 2. Ø Le duc, victime sans grandeur : Ü Personne n'étant présent sur scène, le duc peut livrer ici son véritable caractère sans avoir à le masquer. Ü Jusqu'au bout, Alexandre est vulgaire et grossier, anticlérical (“j'ai soupé comme trois moines”), mufle (“ce sera cavalier, mais ce sera commode”), empli de préjugés, orgueilleux, une véritable caricature de lui-même. Manger et jouir semblent les deux seules activités de cet être tout de chair, ne possédant pas de sentiments. Ü Il apparaît

se demande ce qui peut être significatif et on ne conserve que les observations qui peuvent amener à une interprétation (en relation avec l’analyse précédente). Les différents outils d’analyses de texte : - Le lexique (connotations, champ sémantique, champs lexicaux, registre du vocabulaire, niveau de langue…) - La syntaxe et les rythme (les temps et les modes verbaux, la place des mots, les termes de liaison, la longueur et l’organisation des phrases, la longueur des répliques pour le théâtre ou