Trois Champs Lexicaux

de ses amours, et lorsqu’il y revient sans la femme aimée, il subit douloureusement la fuite du temps. Il se rend compte que seule la nature peut conserver la trace des amours vécues, et notamment dans « Le Lac ». L’obsession du temps: Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : « la nuit », « le jour », « l’aurore », « le soir », « les heures », « l’année », « moments », « l’éternité » et présence d’adjectifs significatifs : « l’heure fugitive », « nuit éternelle ». On observe

Avec quelle furie as-tu tranché le cours d’une si belle vie" donc d'après les informations données dans le texte j'en conclue qu'il y a eu un malentendu dans les propos d'Hermione. 2. Les trois premiers textes sont du registres comiques et le dernier texte est du registre tragique car il y a le champ lexical de la mort :assasin, sang, cruel, fatale, mourrant, mort,vengeance. Ecriture d'invention Des amies d'enfances Bastien et Cyril , deux jeunes garçons,issue d'une famille aisée, bien éduqué

« espérance d’un jour déçues » (v.26), «vous » (v.27), « des fantômes du souvenir » (v.39). 3)a) Les destinataires on tous les même caractéristiques communes qui sont qu’elles sont belles, mystérieuses et qu’elles n’ont pas été séduites. b) Les trois expressions qui justifie mes réponses sont « qu’on ne retrouve jamais » (v.5), « sans avoir effleuré sa main » (v.18) et « aux yeux que l’on a jamais reçues » (v.36). II) l’énonciation 4)a) Les pronons personnels utiliser par l’auteur

Jean), rapprochement ("ses deux fils") puis opposé ("l'un à bâbord l'autre à tribord"), Pierre appelé "docteur" alors que Jean par son prénom. Opposition physique; brun, rasé barbu / blond, barbu, jeune. (avantage Jean) -Pierre est de trop: trois hommes, trois jeunes, deux couples, deux femmes, deux vieux. Même scène sans Pierre à la fin Pierre et Jean; l'excipit: I) Une dénouement qui ne dénoue rien -Excipit en parallèle avec l'incipit: même scène mais sans Pierre -Famille n'a pas changé: le

Victor Hugo, Léopold Sédar Senghor et Joachim Du Bellay ont tout les trois abordés un sujet commun dans leurs poèmes : La nostalgie du pays natal. Ce corpus de texte se compose de deux poèmes en vers : « Heureux qui comme Ulysse » tiré du recueil Les Regrets écrit en 1558 par Joachim Du Bellay et « Les Quatre vents de l’esprit » tiré du recueil Le Livre Lyrique écrit par Victor Hugo en 1881 le troisième poème « New York » est en vers libre, il a été tiré du livre Les Ethiopiques écrit

fend La justice viendra sur nos pas triomphants Ma Mélinée o mon amour mon orpheline Et je te dis de vivre et d'avoir un enfant Ils étaient vingt et trois quand les fusils fleurirent Vingt et trois qui donnaient leur cœur avant le temps Vingt et trois étrangers et nos frères pourtant Vingt et trois amoureux de vivre à en mourir Vingt et trois qui criaient la France en s'abattant. Références de l’œuvre : Titre : Strophes pour se souvenir Artiste : Louis Aragon, poète français, 1897 -1982

Une nature animée omniprésente[modifier]La nature est une entité extrêmement présente dans ce poème, principalement dans les deux quatrains, c'est ce que traduit la récurrence du champ lexical correspondant (« verdure », « rivière », « montagne », « rayon »...). Mais cette nature apparaît bien particulière, très vive et active, comme le traduisent les nombreux verbes d'action utilisés (« chante » renforcé par l'allitération de consonnes dentales au vers 1 [t]/[d], « accrochant », « mousse »...) qui

métaphore qui a la particularité de se développer sur plusieurs vers voire même strophes. Par l’intermédiaire de celle-ci Ronsard compare la beauté de la femme à celle d’une fleur qui suit et subit le cycle du temps. On peut donc relever le champ lexical de la nature, de la fleur sous ses différents aspects, tout au long des deux poèmes. En effet dans « Sonnet 5», on note les termes suivants : « bouquet » ;  « fleurs épanies » ; « cueillies » ; « chutes à terre » ; « beautés » ; « fleuries » ;

est la fuite du temps, thème traditionnel de la poésie, déjà privilégié par les épicuriens de l’Antiquité et par les poètes de la Pléiade comme Ronsard. Ici, le temps est représenté par la métaphore de l’eau qui est filée tout au long du poème. Champ lexical du temps avec des divisions temporelles : "la nuit", "le jour", "l’aurore", "le soir", "les heures", "l’année", "moments", "l’éternité" et présence d'adjectifs significatifs : "l’heure fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps

ternir votre beauté.  Introduction Ronsard a maintes fois traité du thème de la belle indifférente aux transports amoureux du poète. Il en livre ici une version originale où le vocabulaire amoureux rejoint les inquiétudes du poète. Organisé en trois moments, le poème, du vers 1 à 6, offre une vision idyllique de la beauté, pour, dans les 6 vers suivants, faire part d’une inquiétude. Enfin, les douze derniers vers livrent une mise en garde. Dans ce mouvement de progression en basculement, il serait