Trois Champs Lexicaux

l’analyse des sentiments des personnages et que la fiction a pour but de permettre à l’homme de mieux se connaître. Les trois romans sont centrés sur le personnage principal du roman, la princesse de Clèves pour le texte A, Kataw pour le B et Meursault pour le C. Ils en présentent les pensées par l’intermédiaire de l’analyse des sentiments, comme le montre l’importance du champ lexical s’y rapportant dans le texte A. Dans l’extrait B, ce sont les commentaires du narrateur qui permettent d’accéder à cette

d'hypotheses (1. 41-43). Ce pronom personnel indefini permet d'assimiler le lecteur aux trois mousquetaires qui assistent a la scene et done de la rendre presente. Ensuite, on releve un jeu de couleurs dans le texte. Essentiellement les couleurs noir et rouge (1. 35 et 49) sont tres signifiants. En effet, les deux couleurs evoquent la mort, le mal, la passion, le sang et la sauvagerie. On note un vaste champ lexical qui s'apparente a ces deux couleurs et qui confirme la symbolique que nous leur donnons

observerons le passage du texte faisant référence à l’affiche rouge (strophes deux et trois).Enfin nous analyserons la polyphonie filée le long du poème. I] Etude du titre. 1) Annonce de la forme du texte dans le titre. a) Relève du mot « Strophes » b) Relève du mot « pour » qui exprime le but et donc une forme d’engagement. 2) Idée de la mémoire. a) Verbe « se souvenir », fait partie du champ lexical de la mémoire et qui qualifie l’engagement dans ce texte. Nous venons d’étudier

ainsi la présence d’un champ lexical maritime ‘albatros’ , ‘mers’, ‘navire’, ‘avirons’, etc. Dans le poème, Baudelaire compare le poète à l’albatros, oiseau des mers par des métaphores propres à l’albatros, il nous montre un poète exclu et incompris de la société comme l’albatros l’est avec les hommes de mer. Cette comparaison est présente tout au long du poème : ‘Le poète est semblable …’, ‘Ses ailes de géant (parlant du poète via une métaphore liée à l’albatros’ … Les trois premières strophes du

Dans ce début d’extrait autobiographique, George PEREC évoque une promenade scolaire dans la forêt un après-midi du printemps ou de l’été 1944. Tout d’abord, George PEREC émet trois utilisations du pronom « Je » correspondant chacune à une époque de sa vie : «  Je me souviens » qui montre que le narrateur a cherché dans sa mémoire l’explication à cette promenade. C’est écrit au passé simple : « Je fus » à l’imparfait : « n’était » et au plus que parfait : « n’avait été ». « Je sais » qui montre

point est accentué par la citation du « Jardin d’Eden » qui crée un lien avec la religion et Dieu. Ponge, grâce a une métaphore filée du pain planète, « four stellaire » nous renvoie a la formation du monde. Dieu le créa a partir de l’informe. Ces trois poèmes ont une forte présence antique et divine. Cela amène à un voyage spirituelle, un voyage dans le passé, un voyage intérieur, un voyage personnel ou les auteurs décrivent leurs sentiments de nostalgie. Le voyage est le principal thème

Tuvache et la famille Vallin : deux familles de paysans pauvres et solidaires. - On relève au début de la nouvelle le champ lexical de la fusion : les deux familles forment deux groupes homogènes, elles vivent dans des chaumières jumelles, travaillent la même « terre inféconde », ont un nombre identique d’enfants répartis de façon symétrique (trois filles et un garçon, une fille et trois garçons). - La destinée des deux familles paysannes : le lecteur suit leur évolution, de l’union initiale (fusion

se dirige franchement vers l’Ouest. Tahiti est jointe au début d’avril 1768. Bougainville et ses hommes vont y rester neuf jours. De son journal de bord, Bougainville compose le « Voyage autour du monde », plus synthétique et moins idéaliste. Les trois premiers chapitres de la seconde partie content le séjour à Tahiti. J’ai plusieurs fois été moi second ou troisième me promener dans l’intérieur. Je me croyais transporté dans le jardin d’Éden : nous parcourions une plaine de gazon, couverte de

touche d'ironie puisque l'adjectif « élargie » est en opposition avec ce que provoque la prison: « Dans Sainte-Pélagie, Sous ce règne élargie ». La structure du poème accentue également cette idée d'enfermement puisque chaque quatrain est composée de trois hexasyllabes puis d'un tétrasyllabe, ce qui donne un effet de répétition, de cercle vicieux comme pourrait ressentir le poète dans la prison entre ces quatre murs. En outre, l'extérieur, provoque un sentiment de liberté et de vie chez le poète. A

pas souvent rêvé de partir, contrairement à la plupart de mes copains. Je suis ici. Je vis ici. S’il le faut, je mourrai ici. » Vieux Os fait donc référence au fait qu’il est différent de ses amis et qu’il aime Haïti. Aussi, l’enchainement de ces trois phrases courtes « Je suis ici. », « Je vis ici. » et «…Je mourrai ici. », crée un effet d’accumulation ce qui amplifie l’attachement de Vieux Os à sa terre natal. Vieux Os indique clairement qu’il est établi dans ce pays, qu’il y a vécu 23 ans et que