Trompenaars

d’un groupe, et en même temps conditionne les actes à venir. La direction des actes et des réflexions humaines serait guidée par la résolution de problèmes rencontrés par une communauté d’individus (Kluckhohn et Strodtbeck, 1961 ; Hofstede, 1980 ; Trompenaars et Hampden-Turner, 1997). La culture comme une totalité implicite Les anthropologues font souvent une distinction entre deux sortes de culture : une culture de surface ou explicite, et une autre culture, profonde ou implicite. La culture apparente

variable : impact de la culture sur le style de management Individualiste ou collectiviste Dans le langage de l’éthique professionnel = la capacité de l’autorégulation 6ème variable rapport avec la norme Universalisme Particularisme Modèle de Fons Trompenaars : Culture de diffusion : appréciation du potentiel et valorisation des compétences de distinctives Culture limitée : valorisation de la compétence générique Statut attribué ou acquis : Importance accordée à une personne sur la base du pouvoir Distinction

normes et mythes américains. ALESS • Modèle Fondateur d’Hofstede ( orientation individualiste ou communautaire, relation à l’incertitude, orientation masculine ou féminine, comparaison inter-pays) p32 CASS • Les 7 dimensions de F. Trompenaars (individualisme ou collectivisme, objectivité-subjectivité, universalisme ou particularisme, culture diffuse ou limitée, statut attribué ou acquis, contrôle de la nature et au temps). P 39 CASS • Valeurs d’orientations de Kluckhorn ( rapport

faire fonctionner des équipes multiculturelles. A la suite des travaux de Hofstede, d’autres études ont été menées par différents auteurs tels que Trompenaars, Kluckhon et Strodtbeck (1961), Hall (1976), pour ne citer que les plus connus. Ces travaux analysent l’influence des différentes cultures sur les styles managériaux. En 1993, Fons Trompenaars a mis en évidence sept variables (dont l’individualisme et le collectivisme, que nous venons de voir précédemment), qui commenteraient les divergences

fleurissent chaque année sur le territoire. 2.3.3 Les modèles décrivant une culture De nombreux sociologues ont cherché à comprendre comment ce définie une culture et plusieurs hypothèses ont alors était avancer afin d’y répondre. Trompenaars Fons Trompenaars, chercheur néerlandais, s’est basé sur le modèle vu précédemment pour créer son propre mécanisme, plus porté sur la culture d’un pays que sur celle d’un groupe plus restreint. Ce système se décompose en 7 dimensions : * L’« universalisme

diversité des cultures, des modes de gestion et d’organisation du travail. Cette capacité à comprendre et à s’adapter aux spécificités d’une 37 situation d’interaction interculturelle est désignée dans le concept de compétence interculturelle (Trompenaars, Hampden-Turner, 2001). 1.2.1 Des « grilles » culturelles. Hofstede (1987) fournit une vision panoramique des différentes cultures à partir de leurs implications sur le fonctionnement des entreprises. Il propose une grille de lecture axée sur la

impact négatif sur la productivité globale. Dans ce cas, il est essentiel pour le gestionnaire d'identifier le patrimoine culturel du groupe afin de comprendre la façon dont il doit réagir pour résoudre les problèmes auxquels il est confronté (Trompenaars, 1993). Selon Hofstede, la culture est plus souvent une source de conflit que de synergie. Au mieux, les différences culturelles nuisent et souvent elles sont un désastre. Mais dans ce cas, c’est le gestionnaire qui arrive à maitriser cette différence

entreprise avec un budget de développement réduit. Je n’avais pas accès au téléphone pour contacter les clients potentiels afin de savoir s’ils avaient bien reçu le courriel. Les aspects culturels Selon les différents modèles de Hofstede, Trompenaars, et Hall déterminant les dimensions culturelles, on peut s’apercevoir que celles-ci ne sont pas les mêmes d’un pays à un autre. Ces divers aspects divergent également en fonction des sphères professionnelles et privées. Donc la société maltaise

frontaux, ouverts et durs -conflits non officialisés, réglés par l’écoute dans un souci de cohésion sociale Japon, Allemagne, Venezuela, Mexique, Colombie, pays d’Amérique latine, d’Europe de l’Est Pays scandinaves, Pays-Bas, France 2. LE MODÈLE DE TROMPENAARS (1993) ►Il a développé une approche similaire pour analyser les différences de culture nationale et l’interface des cultures nationales avec les cultures d’entreprise. ►Il met en avant 7 dimensions dont 3 nouvelles par rapport à Hofstede : Ces

enthousiasme et scandalise » (D’Iribarne, 1989, p.266). Cette capacité à comprendre puis à s’adapter aux spécificités d’une situation d’interaction interculturelle est désignée dans le concept de compétence interculturelle (CI) (Hofstede, 1994 ; Trompenaars, Hampden-Turner, 2001 ; Bartel-Radic, 2003). Les DRH estiment majoritairement que le recours à l’audit social dans les entreprises au Maghreb est limité par l’absence de ressources financières. 85% d’entre eux jugent que les auditeurs sociaux