Tuer Selon Kant

savoir résister aux intérêt , comme a la contrainte. Pour Alain le respect de doit pas être une obligation par le biais d’un devoir social , de l’existence ou de la nature d’une société quelconque, se qui signifie que le respect doit être naturel. Selon Kant d’on Alain s’inspire : le respect est un sentiment moral , distinct de tous les autres sentiments, qui ne provient pas de la sensibilité mais de la raison pratique, c’est a dire par la loi moral.Le respect doit donc être assimilé a une sorte d’instinct

Selon Descartes , la liberté existe et se traduit par le fait de pouvoir et se sentir libre de faire des choix sans contraintes. Kant affirme que se sentir libre de choisir ne suffit pas pour être libre car parfois, nos choix sont dirigés par autre chose que notre volonté. → Ex : Tuer par amour/par colère

par-dessus tout, c’est une bonne volonté, disposée à accepter cette constitution. Trois conditions qui ne peuvent être réunies que difficilement et, quand cela se produit, ne peuvent l’être que très tardivement, après de multiples et vaines tentatives. Kant. *Le rôle de l’homme est par conséquent tout à fait artificiel. Ce qu’il en est des habitants des autres planètes et de leur nature, nous l’ignorons. Mais si nous menons à bien cette mission de la nature, nous pouvons certes nous flatter d’avoir droit

Benjamin constan, philosophe français et Kant. En 1797, dans un recueil, Benjamin Constant affirmait: que le principe moral, dire la vérité est un devoir, était pris d'une manière absolue (= sans admettre d'exception)cela rendrait toute société impossible. (Si dans un couple, dans une famille on décide de dire la vérité, de ne pas s'écarter de la vérité dans les réponses aux paroles qu'on nous adresse ... comment cela finira-t-il?) - La même année (1797), Kant qui se sent visé (par Constant) dans

religieuse ne pose pas seulement le problème de la vérité mais 1 aussi de la liberté et de la paix. Tout le problème est donc celui de l’éducation philosophique: « penser et vivre la religion dans les limites de la simple raison », (ouvrage éponyme de Kant). Les enjeux de cette réflexion sont: - métaphysique: pourquoi y a t il quelque chose plutôt que rien, pourquoi l’homme existe til, y a t-il une vie après la mort; - existentiels: la foi religieuse donne t-elle sens à l’existence; - éthique et social:

ou souverainement parfait. Le pouvoir technique est à l’image du « on ». Nous pouvons de la même manière remplacer le « on » par un animal quelconque. Prenons les loups. Les loups chassent en meute, et leur manière de pourchasser, de cerner, et de tuer leur proie est une technique. Cette technique et instinctive, alors que celle des hommes sont aujourd’hui scientifiques, mais cela n’empêche que leur méthode soit une technique. Le pouvoir technique est alors limité aux quelques instincts du loup.

détermination en découle alors la volonté et l’autonomie. Du moment que le peuple a choisir, on a eu recours à sa liberté de pensé. Du moment que l’on fait quelque chose que se soit pour soi, ou pour autrui ; on a fait note devoir. En clair agir selon sa propre volonté, on a une part de liberté, puisqu’on l’a choisi seul. On peut dire que c’est une liberté de chacun de nous. La liberté en elle-même s’oppose au devoir, mais elle a des liens qui s’associent. La liberté est pourtant l’absence de contrainte

causes ou des raisons qui les déterminent. 2) Peut –on contraindre quelqu’un à croire involontairement ? Possibilité de contraindre quelqu’un à la vérité ▪ par l’éducation, éclairer quelqu’un pour qu’il décide en conscience d’agir selon la Raison (ex : apprentissage de la théorie de l’évolution, Darwin). ▪ Dressage plutôt que éducation ( jeu mécanique cf Pascal se comporter comme un croyant II – Est-il moralement acceptable d’imposer la vérité ? 1) Interdit d’imposer

Dissertation «La liberté obéit-elle à des limites?» Raskolnikov, dans Crime et châtiment de Dostoïevski, décide de tuer sa vieille usurière sous le prétexte d’améliorer par son crime, le sort de l’humanité. Ainsi, défiant toute loi et exerçant une liberté illimitée, il obéit à sa propre impulsion : « Peut-être par la force de ses désirs, s’était-il alors cru un homme à qui davantage était permis qu’à un autre », admet l’auteur. Cette opposition entre l’observance de la loi et son acte délibéré

morale : le contrôle extérieur des pulsions se transforme en ​ un auto­contrôle intérieu​ r et les  pulsions d'agressivité se retournent contre l'individu lui­même sous la forme du sentiment de  honte ou de culpabilité.      La conscience morale :​  être capable d’avoir mauvaise conscience, selon Nietzsche.  Avoir mauvaise conscience :​  se punir pour ce qu’on a fait, retournement des pulsions  d’agressivité contre soi­même qui crée la mauvaise conscience.    Nous sommes des êtres moraux car nous sommes le résultat d’un processus d’éducation à la