Tutelle Administrative

d’absence de l’un ou des deux parents (décès par exemple) : l’autorité parentale est dévolue au parent survivant. Si les deux parents sont décédés ou sont dans l’incapacité d‘exercer leur autorité, l’enfant est placé sous tutelle c'est-à-dire qu’un juge appelé juge des tutelles, décide de confier l’enfant à un parent proche (ascendant, oncle, tante) qui devient alors tuteur à moins que les parents décédés n’aient choisi avant leur mort dans leur testament ou une déclaration une personne chargée

régime de protection : tutelle, curatelle ou sauvegarde de justice. Ce majeur ne peut partir être parti à un divorce par consentement mutuelle ou un divorce accepté parce que ce majeur n’est pas estimé apte à émettre un consentement valable. Ils peuvent en revanche accéder au divorce contentieux. => Le choix d’exerce l’action en divorce. Lorsque la personne est placée sous sauvegarde de justice, aucune demande de divorce peut être examinée avant l’organisation d’une tutelle ou une curatelle. Lorsque

doivent tous les deux être d’accord à la fois sur le principe du divorce et sur toutes les conséquences qui en découleront. La nécessité du consentement des deux époux rend impossible ce type de divorce lorsque l’un des époux est placé en curatelle, en tutelle, et même lorsqu’il est placé sous sauvegarde de justice. En l’espèce, une telle procédure est envisageable car aucun des époux ne bénéficie d’un régime de protection judiciaire sus-énoncé. Toutefois, si Valérie et François consentent au principe

les actes conservatoires et les actes d’administration. En revanche, les autres actes cad de disposition les parents doivent intervenir ensemble. Si les parents ne sont pas d’accord, art 285-5 alinéa 2, il faudra saisir le jaf et non pas celui des tutelles pour que celui-ci tranche entre les 2. Même d’un commun accord il y a des actes que les parents ne peuvent pas faire seul. Il faut qu’ils soient autorisés par le juge pour certains actes : la vente de gré a gré (vente de droit commun sans passer

Certains majeurs sont protégés, il existe 3 protections * la plus légère, sous sauvegarde de justice (juge qui décide) * curatelle, la personne curatelle pour accomplir un acte doit se faire assisté par un curateur * la plus forte, tutelle, le tuteur représente la personne, incapacité presque totale II/ consentement des personnes 1) Le consentement doit exister Avant qu’il n’existe, il peut arriver qu’il y ait eu une préparation (phase pré-contractuel) entre les parties sur

faire des actes commerciales et juridiques ( le mineur peut demander a être 16ans ) il aura les même droit qu'un adulte . Mais par contre , il ne pourra pas devenir commerçant L121-2 le mineur émancipé pourrai être commerçant sauf si le juge des tutelles lui autorise » le seul acte 111-5 il peut signer une lettre de change et si il souscrit un lettre de change elle est nul même si il autorisé par les parents si néanmoins va passer des actes de commerce en dépit de ces règles ba ces actes de commerce

mobilière (actions en bourse, argent, brevet...) Consensualisme : Principe en vertu duquel un acte juridique n’est soumit à aucune forme particulière pour sa validité, le consentement ayant à lui seul le pouvoir de créer des obligations. La tutelle : institution permettant de protéger, par la voix d’une représentation continue dans les actes de la vie civile, certain mineurs, notamment ceux dont le père et la mère sont décédé ou privé de l’exercice de l’autorité parentale, ainsi que les majeurs

judiciaire du mineur peut se produire dans le cas d'un refus du tuteur ou du conseil de tutelle de procéder à une demande d'émancipation par une déclaration au curateur public. Le tribunal rend sa décision après avoir considéré l'avis du tuteur et celui du conseil de tutelle (s'il y en a un.) La pleine émancipation  La pleine émancipation a pour effet de mettre fin à l’autorité parentale et à la tutelle. Le mineur devient majeur du fait qu'il lui est accordé la pleine capacité juridique. Cette

prononcé à la mairie, devant l’officier d'état civil, était valide seulement avant un entretien individuel des mariés . Il faut que le consentement soit conscient et sérieux. a) Une volonté matrimoniale consciente Le mariage d'une personne sous tutelle ou curatelle implique que le majeur protégé, est conscient valablement. Il lui faut son représentant légal. Une personne qui présente des troubles mentaux occasionnelles, tel que l'alcool ou la drogue, doit aussi consentir valablement. Il faut qu'au

chapitre vi la tutelle des mineurs C'EST UNE INSTITUTION PRÉVUE PAR LA LOI (ART. 390 À 413 C. CIV.)[1] POUR PROTÉGER LES MINEURS QUANT À LEUR PERSONNE ET QUANT À LEURS BIENS LORSQUE LES DISPOSITIONS SUR L'AUTORITÉ PARENTALE NE PERMETTENT PAS, OU NE PERMETTENT PAS SUFFISAMMENT, LA PROTECTION D'UN MINEUR[2]. Une tutelle est ainsi obligatoirement ouverte par le juge chargé de la tutelle des mineurs (JAF) dans tous les cas où l'enfant, pour quelque