Typologie Du Marketing Sociétal

l’ind a agit est une tension qui s’exprime sous forme de pulsion et qui s’oriente en désir. Besoins biologiques : innés liés à notre nature humaine. Besoins psychologiques : qui sont appris, liés à notre appartenance à telle société. Typologie des besoins : Maslow (1943) : 1. Besoins fonctionnels ou psychologiques / 2. De sécurité/ 3. D’appartenance à un groupe / 4. D’épanouissement (Selon la pyramide de Maslow les 1ers besoins sont à satisfaire sinon on ne peut pas satisfaire

61 Groupe La Poste 62 Orange 64 Schneider Electric 66 SEB 68 Société Générale 69 Conclusion 71 EXECUTIVE SUMMARY Les objectifs de l’étude Depuis une dizaine d’années, des entreprises pionnières ont souhaité incarner leur engagement sociétal en proposant des dispositifs d’implication citoyenne à leurs collaborateurs, via des partenariats privilégiés avec des associations. Notre souhait était de décrypter ces dispositifs non seulement comme des leviers d’utilité sociale, mais aussi comme

d’intelligence. Plan : Introduction générale : contexte et enjeux des activités de la veille stratégique et d’intelligence économique. Thème 1 : activités de veille et d’intelligence économique Définitions (environnement, Information, Décisions) Typologies (veille et intelligence économique) Domaines. Thème 2 : processus de surveillance de l’environnement Thème 3 : Benchmarking Conclusion générale : bénéfices et limites de la veille. Définition des besoins Recherche de l’information Diffusion de

JULIEN HERMETET Promotion ICARE Marketing relationnel et événementiel sportif Le cas des Internationaux de Strasbourg Master de Formation Internationale à la Gestion Mémoire sous la direction de Sylvie HERTRICH Année universitaire 2004-05 JULIEN HERMETET Promotion ICARE Marketing relationnel et événementiel sportif Le cas des Internationaux de Strasbourg Master de Formation Internationale à la Gestion Mémoire de fin d’études Sous la direction de Sylvie HERTRICH

coût). Système de package. Elargir le marché (si on vend des produits au jeunes, essayer de le vendre au plus vieux). C’est la solution la plus courante. B. Définition de la politique de produit Politique numéro un dans ce qu’on appelle le Marketing-Mix: ensemble des techniques commerciales en matière de produits, de prix, communication, distribution. Technique des panels. Politique de produit : politique de gamme, de marque, de conditionnement. * Politique de gamme : ensemble des produits

(B2B, B2C) et non marchand (marketing politique, marketing social, marketing caritatif) 1.1 points communs : - les outils d'étude et d'actions ( système d'information, marketing mix, variables internes, variables externes => chapitres suivants) ) (1.2) - l'attitude marketing : l'esprit marketing: attacher une importance primordiale aux relations de l'entreprise avec le client, et le marché en général => capacités internes et externes pour l'homme de marketing (accorder l'entreprise avec

portée sur le « bling bling » et qui n’a fait aucun effort d’engagement, a vu ses ventes dégringoler depuis deux ans. Mais la majorité des marques de luxe a évolué et a pris une tout autre position face à ces nouveaux enjeux et cette nouvelle typologie du consommateur, à la recherche d’authenticité et de sobriété. b. Les « green-washeurs » Ce n’est heureusement pas la majorité des grandes maisons de luxe, qui a bien compris le danger que cela représente. Mais comme dans n’importe quel autre

................................................................................... 12 C. Un marché innovant .............................................................................................. 16 D. Un marché répondant à une tendance sociétale......................................... 18 II. Les stratégies de redynamisation des marques.............................................. 22 A. Diversification.....................................................................................

entreprises ont perdu leurs repères, ceux-là mêmes qu'elles avaient construits dans les années de croissance stable et régulière d'après-guerre. A l'époque, les raisonnements stratégiques pouvaient aisément se limiter à la prise en compte des variables marketing et finance : Le marché est-il attrayant, comment l'entreprise va-t-elle se procurer les moyens de sa politique de développement, dans quel type d'activité est-il souhaitable d'investir ses excédents de liquidité ? Bien sûr, de telles questions se

transparence de l’information (notamment aux actionnaires) ; - une stratégie claire (objectifs) : - une gestion des risques ; - des moyens de contrôle ; - une composition du CA permettant un contrôle réel du management Il est possible d’établir une typologie des systèmes de gouvernance : la plupart des analystes opposent le modèle libéral orienté vers les actionnaires shareholders, à celui, plus large, intégrant les parties prenantes stakeholdersde l’entreprise. Le premier modèle repose sur la théorie