Typologie Textuelle

théoriquement pertinents (terme, notion, définition, arbre notionnel, structure interne des termes, etc.) sur divers domaines de référence (sélection ad hoc, pour les besoins de la cause) : terminologie ? Spécificités du texte spécialisé, typologie des corpus spécialisés (parallèles, comparables, unilingues, bi- ou multilingues, annotés (lemmatisés) ou pas…) : langue(s) de spécialité(s)/ Notions relatives à l’exploitation de corpus spécialisés comparables, y compris bilingues (textes français

aspect relève plutôt des savoir-faire. -discursif/textuels : maîtrise des spécificités d’un discours. Chaque discours renvoie à des structures linguistiques dominantes. Aspect toujours de l’ordre du savoir-faire. -interactionnel/dialogique : Cet aspect relève du savoir-être et des savoir-faire….choisir le bon registre de discours en fonction de la situation de communication… La partie la plus susceptible de modulation reste l’aspect discursif/textuel. Il y a tout intérêt à élaborer une grille précise

et de support Typologie des info Info classée en fonction de : - Origine et destination par catégories et par niveaux (grand public, mass média, fournisseurs, personnel ...) - Diffusion - Type d'utilisateur - Niveau d'élaboration - Média - Nature ( : info scientifique et technique / i économique / i juridique / i sociale) - Fréquence d'utilisation Autres critères : fiabilité de l'info, durée de vie de l'info, valeur informative, nouveauté de l'info etc) Typologie des documents,

initialement, peut difficilement admettre l’adéquation typologique, qui nécessite l’adéquation descriptive de chacune des langues susceptible d’être regroupée dans un même type. Mais cela n’exclut pas une typologie fonctionnelle des langues, comme l’a montré notamment Greenberg (1957). Cette typologie est alors fondée sur de grands principes de fonctionnement établis à partir de nombreuses analogies entre ces langues ; toutefois, cela ne présuppose pas une totale adéquation entre elles. 8. Dans le cadre

communication. Selon Sophie Moirand10, la compétence communicationnelle repose sur la combinaison de plusieurs composantes : Une composante linguistique, c’est-à-dire la connaissance et l’appropriation, des modèles phonétiques, lexicaux, grammaticaux et textuels du système de la langue. Une composante discursive, c'est-à-dire la connaissance et l’appropriation des différents types de discours et leur organisation, en fonction des paramètres de la situation de communication dans laquelle ils sont produits

Apprentissage": LLSUD64E| |Compléments disciplinaires pour l'enseignement | |Choisir 3 ou 6 crédits dans la liste ci-dessous | |LLSDL605 Typologie des langues |3 | |LLSDL666 Diachronie 2 |3 | |LLSDL488 Documents électroniques

translation equivalents. A central task of translation theory is that of defining the nature and conditions of translation equivalence (Catford 1965 : 21). Catford distingue deux types d' équivalence : l' équivalence textuelle et la correspondance formelle. L' équivalence textuelle est toute forme de texte cible dont l' observation permet de dire qu' est l' elle équivalent d' forme de texte une source (1965 : 27), tandis qu' y a correspondance formelle lorsque les il différentes catégories de la

signe En fonction de notre point de vue ci-dessus, le travail de Peirce est à cet égard particulièrement précieux. Il n’a pas étudié d’abord et avant tout la langue, mais il a essayé de penser dès le départ une théorie générale des signes et une typologie, très générale, qui comprend la langue, bien entendu, mais relativisée dans une perspective plus large. A. Définition de signe Un signe a une matérialité que l’on perçoit avec l’un ou plusieurs de nos sens. On peut le voir (un objet, un

polarité perçue qui consiste à organiser les perceptions des différentes enseignes concurrentes pour une même classe de produits en fonction des attributs retenus par le consommateur. Par ailleurs, dans son modèle, Filser se propose de relier la typologie de Copeland avec le caractère plus ou moins extensif de la décision d’achat défini par Howard et Sheth (1969) pour expliquer le processus de Tableau 3 PROCESSUS DE CHOIX DU CONSOMMATEUR EN FONCTION DE SA DÉTERMINATION Identification d’un problème

élabore une « image mentale » dont les « prescriptions textuelles » sont les « stimuli ». C’est cette opération de « transformations des données textuelles en représentation » qui fonde le rôle du lecteur. NB : ce processus de cofabrication du personnage auquel participe activement le lecteur, implique aussi sa démultiplication. Ex : chaque lecteur a sa représentation personnelle du personnage qu’il imagine à partir des prescriptions textuelles. Mais malgré tout, la représentation intérieure que