Ulpien Au 1er Livre De Ses Institutes

l’empire romain en 2 : bloc continental et bloc occidental. $ Sources de droit : compilations et codifications. Recueil des textes édictés par les empereurs : code grégorien Code théodosien Compilation de Justinien (6e siècle) comprenant 4 livres : institutes, code, digeste, novels. La procédure romaine En droit romain, le droit n’est pas détachable de l’action en justice qui sert à le faire reconnaître, pas de droit sans sanction, pas de distinction droit objectif/ droits subjectifs. Époque ancienne :

* LA VALEUR JURIDIQUE DE LA DOCTRINE. * La loi des CITATION en 426 donne un caractère officiel à la science juridique. « Seules la doctrine de cinq juristes de l’époque est alléguée devant les tribunaux ». Ce sont GAÏUS, PAULUS, PAPINIEN, ULPIEN, MODESTEN, toute doctrine doit être de l’un d’eux et cela doit être prouvé par un manuscrit autentifié par lui même. 3. Le renouveau de la Coutume. * Se superpose divers usages locaux : la coutume. Les Romains furent premièrement très respectueux

avait fondé sa propre école, le lycée. De façon générale s’il fut l’élève de platon il s’éloigna des enseignement de son maître, il concentre son attention sur l’expérience sensible de la cité. 3 ouvrages d’Aristote, l’étique à nicomaque ( dans le livre 5 de cet ouvrage Aristote développe une étude sur la justice et le droit), la politique ( il s’attache à déterminer quelles peuvent être les meilleures constitution adaptée à l’essence de l’homme et aux conditions variables de la vie sociale), la rhétorique

linguistique, grammaticale de l’évolution des textes, du contexte historique. Il utilise la richesse de l’apport des humanistes du XVIème siècle. Le commentaire que fait CUJAS des définitions du Droit est dans Les Institutes de JUSTINIEN. Commentaires des définitions du Droit dans Les Institutes de JUSTINIEN par CUJAS : « Chapitre 1 : De la justice et du Droit », JUSTINIEN écrit : « La justice est la volonté constante et perpétuelle d’attribuer à chacun ce qui lui ai dû. », il s’inspire d’ARISTOTE.

à Rome qui va suivre facilement les besoins économiques et sociaux d’une ville d’abord rurales, puis cité très importante, avec échanges, et c’est géré facilement grâce à la souplesse dans la justice permise par l’édit du préteur. Mais à partir du 1er siècle après JC, le pouvoir politique est concentré entre les mains de l’empereur. Le préteur subsiste quelque peu, puis l’empereur ne le tolère plus et développe une nouvelle procédure extraordinaire, avec juges et magistrats de carrière, engagés par

les populares: les pauvres les optimales: les riches C'est donc un déséquilibre à Rome, ce qui fait que Rome est a la mercis de richesse propriétaires ambigus , soit a la mercis d'n agitateur qui pourrait soulever des masses contre les riches. 1er solution reconstituer une classe moyenne Le besoin de corriger ces faiblesses est évident et cela va amené les romains à tenter de réformer l'état donc on va avoir des personnages qui vont amené chacun leur tour des pierres à l'édifice. Présence à

une ancienne façon de faire le droit, passé le premier siècle cet édit n’évolue plus, il est figé, il cesse d’évoluer. Désormais c’est la volonté impériale qui s’impose, c’est elle qui fait la loi, tout procède de l’empereur, c’est nouveau. Ulpien va avoir une formule très célèbre : « tout ce qui plait au prince à force de loi », cela va influer le moyen âge chrétien occidental, les légistes du roi lorsqu’ils vont redécouvrir cette formule cela va être une pépite. Sous la révolution française :

1. L’arithmétique, ou sciences des nombres, 2. La géométrie ou science des figures, 3. L’astronomie, ou science des sphères célestes, 4. La musique ou science de l’harmonie. Toutes ces matières sont réparties entre différentes facultés ou instituts d’enseignement, que l’on appelle studia generalia. Or dans cette université de Paris, très vite c’est la faculté de théologie qui donne à l’institution tout son rayonnement. Cette faculté de théologie prime toutes les autres dans l’esprit du temps

science juridique, ce sont les premiers à avoir fait du droit une matière savante, ils ont inventé toute une langue du droit. Ils ont prit un mot qui avait un sens courant et ils ont donné à ce mot tout un sens juridique (ex : contrat = contractus : 1er sens = une rencontre/réunion  désigne la rencontre de deux volontés afin de faire naitre une obligation, un contrat de droit civil qui va lier 2 personnes). En bref, le droit romain est à l’origine de toutes les grandes études de droit actuel On trouve

droit est perçut comme un art, comme une technique (Technos = Art en grec). Par conséquent il se traduit comme le savoir-faire, comme une pratique. ! Pour ULPIEN l’un des célèbres consuls du III : « le droit c’est l’art du bon et de l’équitable » (jus est ars boni et aequi). C’est l’art du juste, l’art de rendre à chacun sa chose(le sien) Ulpien ajoute que « les préceptes du droit sont les suivants : vivre honnêtement, ne pas léser autrui, attribuer à chacun son du. » Les romains influencés par