Ulpien

à 1'empereur et que ce dernier devient la source meme du droit, la « loi vivante )). Ulpien résume toute la question, affirmant ainsi : « Ce que le Prince a décidé a force de loi : puisque par un décret spécial concernant son gouvernement le peuple lui a confié la totalité du commandement et du pouvoir (Cf. Dig. 1. 4, 1.40 ). » Les définitions sont encore plus nombreuses en droit privé. Par exemple celle d' Ulpien sur la famille : « Au sens strict ' famille' s'entend de plusieurs personnes, soumises

prêteurs (le prêteur : haut fonctionnaire qui confère au justiciable des formules d’action en justice) Jurisprudence : le droit prétorien (même encore aujourd’hui). *Doctrine jouait un rôle très important dans l’élaboration du droit. GAÏUS, PAUL, ULPIEN  *Lois, lois des 12 tables. *Constitutions impériales : recueils de lois. Compilation de Justinien. *Codes : Code de Théodose Puis les barbares nous ont envahis. B. L’ancien droit français De l’ancien régime à la révolution *Pas de code

droit privée, il va distinguer les institutions juridiques qui servent les intérêts publics des institutions juridiques qui servent les intérêts privés. C’est le début de la distinction entre droit public et droit privé. Ulpien, auteur romain. http://fr.wikipedia.org/wiki/Ulpien Montesquieu http://fr.wikipedia.org/wiki/Montesquieu parle de droit politique lorsqu’il évoque le droit public et parle de droit civil quand il évoque le droit privé. Selon lui :  « le droit public ce sont les lois dans le

particulières judiciaires (décrets) ou administratives (mandats), ainsi que des réponses à des questions de droit posées par un particulier (rescrits). Les constitutions ont une autorité législative : "Ce qui a paru convenable au Prince a force de loi" (Ulpien, 3e siècle). D'autre part, depuis la loi Aebutia qui avait assoupli la procédure dans le droit prétorien, les jurisconsultes ont fait de la connaissance du droit une science : c'est la jurisprudence classique. L'observation d'états et de règles générales

qu’à ses lois ». Plus loin il continue : « mais depuis que Dieu a établi les Rois sur eux, ils (les peuples) ont été privés de ce droit de Souveraineté ; et l’on a plus observé par lois que les Commandements et les édits des Princes comme le remarque Ulpien ». Cette vision des choses s’impose longtemps en France et d’une certaine façon la révolution se contente de mettre le Peuple à la place du Roi comme le souligne Hannah Arendt. « Sur le plan théorique, écrit-elle9, la déification du peuple durant

publicum » et le « ius privatum » est irrité du système juridique romain. Cette distinction est assez tardive à Rome et pendant longtemps cette distinction était faite entre le droit sacré et le droit profane. On retrouve sous la plume d’un juriste romain Ulpien (mort en -220) « le droit public est ce qui concerne l’administration du gouvernement , le droit priver est ce qui est en relation avec les intérêts des individus » selon lui «  le droit public est constitué des cultes sacré d’os et des magistrature

publié en 533, qui reprend les écrits des grands jurisconsultes (penseur du droit). Et le but c'était de redonner sa grandeur au droit classique romain. Dans ce livre premier du Digeste, on trouve au tout début un passage d'un juriste du nom de Ulpien où est écrit que : « Le droit est l'art du bon et de l'équitable ». Il y a une assimilation chez les juristes romains entre les concepts de justice et de droit que l’on retrouve également en Grèce. La notion de justice va se traduire elle même par

Celse. Il nous dit que « le droit est l’art du bon et du juste ». Ulpien définit le droit comme « une volonté constante et perpétuelle de rendre à chacun le sien » ( ce qui lui est du). Dès l’époque d’Auguste, les avis des plus fameux jurisconsultes, se voient reconnaître une autorité officielle. Le droit de répondre officiellement. A partir de l’époque des Sévères, les grands jurisconsultes Gaius, Papinien, Paul, Ulpien, vont devenir des rouages centraux de l’administration impériale.

constitutions impériales C’est l’empereur qui va hériter de l’ancien pouvoir législatif. Au début ces constitutions impériales n ‘avaient pas bcp d’autorité. Puis au 2ème siècle, les juristes, notamment Ulpien, reconnaissent une constitution impériale comparable à celle de la loi. Pour Ulpien ce qui plait à un prince c’est la loi. En réalité il existe 4 sortes de constitutions qui coexistent. Leur valeur normative est fondée sur l’imperium et sur l’auctoritas. -Première sorte de constitution

consultes romains de l’époque classique. En 528, justinien lui avait donné 10 ans pour travailler. En 533 le digeste est publié. C’est la doctrine de l’époque classique de Rome. C’est entre le 2ème siècle avant JC et 3ème siècle après JC. Juristes comme Ulpien, Paul, Papinien. C’est de la théorie pure. Les praticiens n’ont que peu apprécié ce digeste car difficile à appliquer. - Les institutes : C’est un manuel de droit destiné aux étudiants. Dont le plan est peu concret. Il reprend d’autres institutes