Ulpien

l’ensemble des gouverneurs par exemple (≠ aujourd’hui : un destinataire particulier) Les juristes occupent une place importte dans les bureaux, ce sont les bureaux du préfet du prétoir que sont rédigés ces textes Le pouvoir législatif est résumé par Ulpien « Princeps legibus solutus est » l’empereur est délié/libre à l’égard des lois → Il est au-dessus (repris par monarchie absolue → « solutus ») : il peut toujours modifier sa propre législation, il n’est pas tenu de respecter les lois décrétées par

encourue par la femme infidèle, mais la réclusion à vie dans un monastère pouvant être levée par le pardon du mari. Le droit romain entend protéger la femme qui est considérée comme étant « imbecillitas sexus » par le grand jurisconsulte romain Ulpien. Cette notion de protection se retrouve chez les peuples germains après la chute de l’Empire occident romain en 476 après JC, mais leur conception de cette protection est différente. 2. La femme au Moyen-âge Durant le Moyen-âge, de nombreuses

Déclin de la loi comitiale (par les comices) +130 : Hadrien, sénatus-consultes ont force de loi, mais le sénat est soumis à l’empereur. Fin IIe siècle, volonté impériale assimilée à la loi : « Ce qui a paru convenable au Prince a force de loi » (Ulpien, mort en +223).   Les constitutions impériales regroupent 4 catégories d’actes : les édits, les décrets, les rescrits et les mandats. Préparés en conseil (concilium principi) où les jurisconsultes jouent un grand rôle. Édit : prescription

une approche pragmatique développé par les auteurs romains. Ils nous donnent quelques principes , quelques règles générales de conduite qui permettent de cerner ce qui est un comportement juste. Par exemple , il y a un auteur latin qui s'appelle Ulpien. Le juste c'est juste quelque comportement où il faut vivre honnêtement, ne pas causer de dommage a autrui. → Les auteurs grecs se sont efforcés de proposer une approche plus abstraite , une distinction fondamentale entre justice communitative

considère que la justice elle ne doit pas donner la même chose à tous, mais doit donner en fonction de ce qu’il mérite = équitable et proportionnée = justice distributive. C. Les juristes Romains. Ils apportent une définition précise de la justice. Ulpien (3eme siècle après JC) juriste le plus brillant de l’empire, pour lui la justice est « une volonté constante et perpétuelle qui attribue à chacun son dû » = fait la synthèse en Aristote et Platon. D. L’influence du Christianisme. Pour Saint Paul il

suet n é e t ra s t rc t an du s c (er siècle et début 2e siècle), ils furent divisés en deux écoles rivales, les Sabiniens et les ’n i l 1 èe Proculiens Les jurisconsultes les plus célèbres sont Gaius (Institutes, écrits en 143), Papinien, Paul, Ulpien, Modestin. L SS U C SD D O T dar G I Institutes, I, 1-7. E O R E U R I,’ è A US, ps 1. Omnes populi qui legibus et moribus reguntur partim suo proprio, partim communi omnium hominum iure utuntur ; nam quod quisque populus ipse sibi ius constituit

Déclin de la loi comitiale (par les comices) +130 : Hadrien, sénatus-consultes ont force de loi, mais le sénat est soumis à l’empereur. Fin IIe siècle, volonté impériale assimilée à la loi : « Ce qui a paru convenable au Prince a force de loi » (Ulpien, mort en +223).   Les constitutions impériales regroupent 4 catégories d’actes : les édits, les décrets, les rescrits et les mandats. Préparés en conseil (concilium principi) où les jurisconsultes jouent un grand rôle. Édit : prescription d’ordre

Hadrien (117-138) va charger un juriste Julien de fixer définitivement l’édit du préteur l’édit devient perpétuel base du droit civile jusqu’au 6e s. 3e source Les constitutions impériales> Au début ces constitutions=lois, 2e s les juristes dont Ulpien reconnaissent aux constitutions impériale une autorité comparable à celle de la loi «  ce qui plaît au prince vaut lois ». 4 sortes de constitutions qui coexiste et leurs valeurs normatives est fondée sur l’imperium et sur l’auctoritas. 1ere sorte

penseurs du droit romain (jurisconsultes). Cette œuvre s’appelle « Le Digeste », publiée en 533 de notre ère, il y a un titre qui nous intéresse « de la justice et du droit ». Le tout début de cette œuvre commence par un fragment d’un juriste romain, Ulpien, et qui dit « celui qui s’applique à connaître l’étude du droit doit d’abord savoir d’où vient le mot droit. [..] Le droit est l’art du bon et de l’équitable ». Ce sont les romains qui, à l’origine, ont réfléchi sur ses concepts de droit et de justice

même nature que la loi du peuple qui existait précédemment sous la république. Dés le 2ème siècle après J.C, les constitutions impériales ont une autorité comparable à l’ancienne loi du peuple. D’ailleurs au 3ème siècle, un grand juriste consulte, Ulpien, dira : « ce qui paraît convenable au prince a, force de loi ». L’idée finale, c’est que si le prince peut faire la loi désormais c’est parce qu’il a reçu ce pouvoir du peuple romain, par une loi au sujet de l’impérium (lex de império). La jurisprudence