Une Bonne Loi Hobbes

et a l’effervescence sociale. La société n’est plus perçue comme régie par un ordre divin préétabli. Elle est une réalité autonome qui doit s’autoréguler ou que l’homme doit réguler. Partant des précurseurs de la sociologie on se réfère à Hobbes, Locke et Rousseau et Montesquieu. Ces penseurs à partir de l’émancipation de la pensée profane on commence à poser des problèmes sur la vie sociale. 1) Quel est le fondement de la vie sociale? 2) A quelle condition le corps sociale ne maintient-il

pantin ; l’homme n’agit jamais à proprement parler, il est agi ; bref, l’homme n’est pas libre, il est déterminé. L’affirmation que la nature est soumise à des lois semble à première logiquement incompatible avec l’affirmation que l’homme est libre. En bonne logique, il faudrait donc renoncer à soutenir que l’homme est libre. Mais reconnaître que l’homme n’est pas libre, c’est mettre en crise toute notre représentation du monde, en particulier notre idée de la morale, qui repose sur l’imputabilité des

faire le bien. Il ne s’agit pas de forcer sa nature, de la contraindre pour se soumettre de façon résignée à un devoir strict et transcendant, de calculer. Il faut plutôt être soi-même, céder à l’élan naturel du cœur. Contrairement à l’hypothèse de Hobbes, l’homme n’est pas pou Jean-Jacques Rousseau un loup pour son prochain mais trouve au fond de son cœur un instinct de bien. Rousseau croit à une inclination naturelle vers le bien. C’est dans la morale du sentiment qu’il faut également faut situer

trouve la Constitution = norme suprême de l’ordre juridique, qui ne peut exister sans elle. Le droit constitutionnel est un droit fondamental, essentiel, qui s’intéresse à la Constitution. “Avoir une bonne constitution” = être en bonne santé. 1789 : Révolution française → adoption de la loi des 16-24 août 1790 : soustrait à l’emprise des juges le contrôle des règlements et des lois : ne peuvent s’occuper que des conflits privés. Création juge spécial pour contrôler les affaires de l’Etat

s’impose et qui sont organisées entre elles, vérifie qu’il n’y ait pas d’incohérences entre elles car elles sont toutes conformes à la constitution qui établit le cadre général) règle = norme ou portée normative qui s’impose et que le juge veille à la bonne application en cas de litige/contentieux objet d’étude/ science où il y a une manière de raisonner (comprendre la logique qui justifie la création d’une règle) L'expression "constitutionnel" coïncide avec les trois sens du mot "Droit": droit constitutionnel

A) Raison et évolution page B) Kosmos et taxis page C) Principes et expédients page D) Transformations de l’idée de droit page E) Nomos : le droit de la liberté page F) Thesis : la loi du législateur page Conclusion Biographie : Friedrich A. Hayek Friedrich Hayek, né le 8 mai 1899 à Vienne, est un philosophe et économiste de l'École autrichienne, promoteur du libéralisme, opposé au socialisme et à l'étatisme. Sa pensée

de la d´mocratie ? La th`se d’Isae e belle Bouvignies . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3 L’affirmation de l’´galit´ des conditions dans la pens´e contrace e e tualiste . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3.1 Hobbes et l’id´e du contrat . . . . . . . . . . . . . . . . e 3.3.2 Contrat et propri´t´ dans la pens´e de J.Locke . . . . . ee e 3.3.3 Le contrat social. J.J. Rousseau . . . . . . . . . . . . . 3.4 Les r´volutions am´ricaines et fran¸aises et la modernit´

ainsi par écart à l’égard de cette situation guerrière de fait et de la peur du mal qu’elle engendre (mal actuellement subi ou potentiellement imaginé, notamment la mort violente) que la paix émerge dans l’existence humaine et même mondaine (selon Hobbes notamment 3). Par opposition ou compensation au mal (ce qui est mais qui devrait ne pas être en ce qu’il porte atteinte à l’intégrité physique et psychique des hommes et à l’ordre même du monde et donc constitue un non-sens), la paix apparaît comme

de penser que l’un de ces deux aspects prime sur l’autre et le détermine. N’existe-t-il pas en chacun de nous un « sens de la justice » qui nous rend apte à évaluer et juger les décisions et actions, ce sens de la justice étant alors l’origine de la loi et du droit ? Cela est possible, mais on ne peut cependant manquer de constater la diversité des pratiques de justice d’une région ou d’un pays à l’autre. Pascal écrivait : « Vérité au-deçà des Pyrénées, erreur au-delà ». Nous sommes indignés lorsque

ils n’existaient pas. Thomas HOBBES, auteur et philosophe anglais du 17e siècle, « Le Léviathan », il désigne un monstre hideux, que Dieu un jour a crée pour punir les hommes. Il nous explique les fondements de l’ordre juridique et politique. D’où le droit et l’état viennent ? Selon sa doctrine, le droit et l’état sont bien des créatures et non des fatalités, ils ne sont pas dans la nature de l’homme mais crée par lui pour ses besoins. Les faits que Hobbes décrit ne sont pas dans l’ordre de