Une Bonne Loi Hobbes

l’Etat détient une puissance absolue, et donc que le détenteur du pouvoir a un pouvoir absolu. Il a tout pouvoir, mais doit néanmoins respecter certaines règles nommées lois fondamentales. On retrouve cette conception chez Bodin, mais également chez Hobbes, et d’autres encore. A la fin du XVIIe, on voit apparaitre une autre conception, de type libérale, qui émerge vers 1660-1680 en Angleterre. Cette idée trouve ses racines assez loin, et dégage comme idée principale que l’Etat n’a pas un pouvoir absolu

croire soi-mme Induire le prochain prendre une bonne opinion de vous, puis croire candidement cette opinion, qui gale les femmes dans ce tour de passe-passe Nietzsche, Par-del bien et mal, 148 La vanit est peut-tre une des choses quun esprit noble a le plus de peine comprendre il sera tent de la nier mme l o un autre type dhommes croira la saisir pleines mains. Le problme pour lui est de se reprsenter des tres qui cherchent inspirer une bonne opinion deux-mmes, bien quils ne laient pas et

phrase suivante : « est juste ce qui est conforme au Droit » où Droit signifie ce qui est légal et légitime, l’auteur fait donc ici référence au Droit positif. Selon Hobbes avec sa théorie du positivisme juridique façon référence à ce Droit, un être juste s’identifie à tout ce qu’il y a de légal or légal signifie conforme à la Loi. Cela se démontre grâce à plusieurs étapes dont la première consiste qu’on parle d’une situation « juste » lorsque tout le monde a ce qu’il mérite, quand on donne à l’individu

à émettre des prescription impératives et obligatoires soit à faire exécuter ces prescriptions ». Afin qu’un Etat soit proprement définit et organisé ce dernier a besoin d’imposer sa souveraineté, ce qui se traduit par la mise en place de règle de loi impersonnelle et générale qui si transgressées donneront lieu à des sanction. La puissance publique a donc un double role qui est primordial à la construction d’un Etat. II. Dissentiment sur la relation juridique entre un État et son territoire A. Un

proviennent de la société.  But du travail de Rousseau : Connaître la nature humaine avant que la société ne le corrompe. Comprendre quelles sont les causes des inégalités et des injustices sociales 1. 2.  Rousseau critique l’état de nature de Hobbes : ce dernier aurait projeté sur l’homme naturel les caractéristiques de l’homme social. (voir p.126 et 131) - Suite b. Conditions générales de l’homme à l’état de nature(Voir p.126-127)  Solitaire, isolé de ses semblables, paresseux, ni bon

commune va céder la place à la loi du plus fort. C’est à partir de cet état de fait qu’un certains nombres d’auteurs appelés réalistes et ayant comme prototype Machiavel ont considéré que la société internationale est un état d’anarchie comme le dit Hobbes « un état de nature ou encore un état dans lequel l’homme est un loup pour l’homme ». En effet, si Machiavel montre avec cynisme comment le prince doit conduire la politique extérieure de son état c’est avec Hobbes dans son livre le Léviathan (1655)

ses maladies et à éviter tout traitement, craignant comme un enfant l’application du fer et du feu 2 parce que cela fait mal. N’est-ce point ton avis ? POLOS — Tout à fait. SOCRATE — C’est sans doute qu’il ne saurait pas le prix de la santé et d’une bonne constitution. À en juger par les principes que nous avons reconnus vrais, ceux qui cherchent à ne pas rendre de comptes à la justice, Polos, pourraient bien être également des gens qui voient ce qu’elle comporte de douloureux mais qui sont aveugles

les personnes trop pauvres vont échapper à la loi. Les personnes trop riches auront la possibilité de se mettre au-dessus de la loi, de la contourner (corruption, etc.) ; les miséreux n’auront pas la possibilité d’y obéir ni, surtout, d’en profiter (problème de la délinquance mais aussi, par exemple, problème de l’instruction, etc.). Les lois ne sont alors plus valables pour tous. Elles deviennent injustes, puisque tous ne sont plus égaux devant la loi. D’autre part, les pauvres et les riches, échappant

Les dynamiques de l’évolution culturelle. Thomas Hobbes (1640), De la nature humaine 68Thomas HOBBES (1640) DE LA NATURE HUMAINEou Exposition des facultés, des actions et des passions de l’âme, et de leurs causes déduites d’après des principes philosophiques qui ne sont ni reçus ni connus. (Essai traduit de l’anglais par le baron D’Holbach) Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel:

morale est un concept regroupant plusieurs notions. Pour traiter du sujet, nous définirons la morale comme l’art de diriger les comportements humains du point de vue de la conscience individuelle. On peut également l’envisager comme morale sociale, ou bonne mœurs, en ce qu’elle détermine une action d’un individu dans sa relation au groupe social, pour son propre bien ou pour le bien commun. Cette relation entre le Droit et la morale diffère selon les époques et les civilisations. Ainsi, tout au long