Une Longue Tirade Lyrique

destinataire Quel est le genre du texte proposé ? S'il s'agit de poésie, est-ce un sonnet (régulier ou non), une ballade ? S'il s'agit de prose, avez-vous affaire à une description, un portrait, une narration...? Quel est le ton du texte ? - lyrique (qui manifeste des émotions, des sentiments intimes) - élégiaque (ton mélancolique, sur un sujet tendre et triste) - dramatique - bucolique (poème qui évoque la vie pastorale) - satirique (ton qui recourt à la raillerie pour s'attaquer à des

amoureux entre Silvia et Arlequin est insignifiant, fade, banal. C’est Flaminia qui mène cette partie en jouant la complicité et la douleur (en disant qu’Arlequin lui rappelle un ancien amant). Flaminia s’adresse plus à Arlequin qu’à Silvia : longue tirade capitale car elle cherche à séduire Arlequin en lui provoquant la pitié et en le flattant (allitération en « m » : amant ; aimer ; mort qui évoque l’intimité, la douceur, c’est très musical). Flaminia s’adresse au cœur d’Arlequin et le séduit indirectement

et un lieu de fête, de commerce. L’orfèvre : « La Cour, le peuple la porte sur son dos » : évoque certaines caricatures de presse de l’époque (imagerie) : cf. Honoré Daumier par ex, mais aussi caricature de la période révolutionnaire (1789). Longue tirade de l’orfèvre sur Florence fondée sur la métaphore filée de l’architecture. Importance de l’imparfait qui signale un état révolu, dans son récit. Critiques c/ le pape (Clément VII) et l’empereur Charles (Charles Quint). Florence = un édifice menacé 

l'épopée, il présente un héros affrontant d'autres hommes ou des forces naturelles, réalisant des exploits. Cet être exceptionnel peut être aider par des pouvoirs surnaturels. Il apparaît souvent comme le représentant d'une force collective. - Lyrique: associé à la poésie (la lyre d'Apollon, dieu de la Poésie), il est l'expression des sentiments du poète et vise des les faire partager au lecteur. Les thèmes universelles de l'amour, de la fuite du temps, du souvenir sont largement traités, sous

figures des fables de la Fontaine et présentent certaines de leurs caractéristiques. L'âne, par exemple, se plaint de ses longues oreilles et du fait qu'il est méprisé, ce qui est souvent le cas dans les fables, et le lion semble parler en connaissance de cause après avoir vécu l'histoire du Lion devenu vieux, bien que toujours très orgueilleux. Il est le seul à commencer sa tirade par « pour moi », alors que tous les autres débutent par « ça, pour toi ». Enfin, dans la dernière partie, Dieu se relève

Dom Juan, tirade de Sganarelle, Acte I, scène 1 Portrait du Maître par son valet, de "Je n'ai pas grand peine à..." à "que tu aurais menti." En quoi cette tirade complète-t-elle la scène d'exposition ? Tirade de la fin de la scène d'expo. 2 persos sur scène : Sga et Gusman, valet d'Elvire. Par ses questions, Gusman pousse Sga a faire une longue tirade. Ds une scène d'expo, l'auteur présente au spectateur ts les éléments pour comprendre la suite de la pièce (lieu, persos, act°) I - Le portrait

elle. Il y a là une grande expressivité, que l'on retrouve également par la modalité exclamative qui donne à la tirade une tonalité élégiaque par la plainte de l'absence d'Antoine. Il faut encore relever le très grand nombre de phrases exclamatives, les interjections et les impératifs (« Songe, César, … », « Séparer, las ! », « Aa aa César, aa ! »), ainsi que l'alternance des phrases longues et brèves qui structurent les vers et ponctuent leur lecture (très vivante!). Dans ce dialogue on voit que Cléopâtre

->exemples :traitresse+tendresse=> antithèse+ rime « esse » ->"toi" et "moi" les deux vers suivant et c'est un contraire qui associe Arnolphe à Agnès ->le lyrisme évoque l’amour ou les sentiments forts Dans cette scène on retrouve toutes les caractéristiques d’une scène lyrique, effectivement on voit apparaitre le thème des sentiments entre Arnolphe et Agnès, ainsi que la musicalité avec les rimes, assonances et allitérations telles que traitres et tendresse aux vers 1580 et 1581 qui montre également une antithèse entre

péripéties. x Le paradoxe de Ragueneau est d’être un pâtissier qui se nourrit surtout de vers : lui qui dresse un portrait à la fois pittoresque et chaleureux de Cyrano à l’acte I confirme, en action, qu’il se contente de nourritures spirituelles et lyriques (alors qu’il nourrit les soi-disant poètes) ; homme public, il est le double « positif » de Cyrano : généreux sans agressivité, compréhensif sans illusion, admiratif sans jalousie. y Le vers résumant le pacte que Cyrano propose à Christian, en réponse

refuse de la suivre car elle craint trop la mort. Antigone finit par être surprise en flagrant délit par les gardes du roi. Créon, après avoir maintes fois essayé de la raisonner, se voit obligé d'appliquer la peine de mort à Antigone. Après une longue discussion avec elle, sur le sens de la vie, le but de l’existence, il la condamne à être enterré vivante. Quand le tombeaux est scellé Créon apprend, par le biais d'un messager, que Hémon c'est tuer avec Antigone : elle s'est pendu à une ceinture