Une Longue Tirade Lyrique

(Représente l’action,Double énonciation) :Tragédie,Comédie, Drame Les genres argumentatifs (Discours argumentatif) :Pamphlet, Essai, Dialogue, Apologue Les genres poétiques (Usage différent de la langue,Versification ou prose) : Épopée, Poésie lyrique, Poésie romantique… On ne peut procéder à un classement par genre vraiment précis qu’en étudiant les registres dominants. Quel REGISTRE ? Selon les procédés d’écriture, un texte peut avoir différentes tonalités : les registres. Le registre

du conseil sont des aristocrates profiteurs « On ne songe plus qu’à soi ». Comme dans les drames romantiques, Ruy Blas mélange les registres, les genres et les niveaux de langue. De longues tirades sont présentes tout au long de la pièce. Par exemple celle de la reine, Acte II, scène 2 est d’un registre lyrique et contraste avec l’Acte IV qui est animé par les bouffonneries de Don César. Hugo mêle le comique et le tragique tout au long de la pièce. Tout évoque le mélodrame, les manœuvres tortueuses

destin qu'il met en lumi�re -commente les paroles et les actions des personnages -c'est lui qui raconte le meurtre d'Agammemnon, d'Egiste et de Clytemnestre. -parole de fa�on famili�re et po�tique en m�me temps. -ambiguit�, on se perd dans ses longues tirades bourr�es d'images. C) Les repr�sentant du peuple: Le Pr�sident: -Oppos� aux id�es d'Egyste -son bonheur �goiste passe avant tout le reste -pour lui, tout vaut mieux que de trouver la v�rit�, son m�tier est de cacher les scandales. -il

entièrement vraisemblable, mélange éléments familiers et fantastiques. Drame familial + cadre magique. Exposition renvoie aux faits antérieurs + fait entrer dans l’action 2. Le rôle de l’initiateur ; Rôle de l’initiateur est tenu par Dorante, 4 tirades : ouvre la pièce, présente Alcandre, organise rencontre. 2 champs lexicaux au début de la 2e scène : l’un confirme les pouvoirs d’Alcandre, l’autre présente Pridamant en père éploré. Mélange de tous les temps qu’on ne trouve pas dans théâtre classique

s'organisent-ils ? - Le registre et la tonalité du texte : le ton du texte est souvent la manifestation du but de l'auteur. On peut se demander si dans le texte à expliquer l'auteur a voulu faire rire (comique), émouvoir (pathétique), s'épancher (lyrique), expliquer (didactique), s'opposer (polémique), créer un monde imaginaire (fantastique), etc. Il ne faut pas hésiter à se laisser guider par sa première impression de lecture, elle est souvent juste et permet de trouver une des entrées du texte.

emblématique étant sans doute« Spleen et idéal ». Dans ce chapitre, Baudelaire se montre sans cesse s’écarteler entre une aspirationà l’idéal et un enlisement dans le spleen.Intro texte :Situé dans la section « Spleen et idéal » dans une série de poèmes lyriques célébrant l’amour, le désir,le corps féminin. Le titre « une charogne » produit une rupture. C’est un poème de 12 quatrains avecdes alexandrins alternés avec des octosyllabes, aux rimes croisées qui commence comme un poèmelyrique et évoque un cadavre

pièce de théâtre ? Que voit le spectateur ? Qu’est-ce que le phénomène de double énonciation ? Qu’est-ce que l’exposition ? Que peut indiquer une didascalie ? Comment appelle-t-on un enchaînement de répliques courtes ? Comment appelle-t-on une longue réplique ? En quoi le théâtre est-il proche du réel ? Quels passages d’une pièce ne semblent pas réalistes (n’imitent pas ce qui se passe dans la vie réelle). Quels sont les différents éléments d’une représentation ? Pourquoi parle-t-on d’artifice

un aveu ou une déclaration. Le monologue, le personnage parle seul et il est seul sur scène ≠ Le soliloque, le personnage pense être seul sur scène mais ne l’est pas vraiment. Il y a une distinction entre monologue et lyrique et le monologue délibératif. Dans le monologue lyrique, le personnage donne libre cours à ses sentiments. Dans le monologue délibératif, le personnage pèse le pour et le contre avant de prendre une décision. Les pièces de Beaumarchais contiennent énormément de didascalies

caractère s’en prend aux travers des individus ou des « types » - l‘avare, l’hypocrite, le vaniteux, le jaloux , le mondain etc…- Définition du registre lyrique (et élégiaque) Le mot « lyrique » vient de « lyre » car dans l’Antiquité, puis au Moyen Age, on accompagnait les textes poétiques de lyre ou de flûte. On parle de registre lyrique quand le locuteur exprime ses sentiments personnels (sa subjectivité) généralement par le biais de marques personnelles de l’énonciation (mais pas toujours)

protagonistes un épanchement lyrique que nous pouvons remarquer avec les anaphores de « que de fois » et « jamais » et par l’usage de la ponctuation expressive. Nous pouvons également relever les expressions « paroles caressantes », « douces prières » ainsi que toute la description faite de Narcisse qui témoigne d’une forte tonalité lyrique : « ses joues lisses, son cou d’ivoire, sa bouche gracieuse, son teint qui a un éclat vermeil unit une blancheur de neige ». La dimension lyrique est renforcée par le