Une partie de plaisir

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l'action compte plus que l'intention tout en prenant en compte la nature de l'homme. 1ère objection: L'utilitarisme condamne-il le plaisir? L'auteur commence par répondre aux critiques qui sont faites à l'utilitarisme. Les attaques contre cette doctrine sont à l'évidence contradictoires puisqu'elles présentent souvent l'utilitarisme soit comme une doctrine de plaisir (tout ce qui apporte le bonheur est utile), soit comme une doctrine manichéenne, trop « sèche », manquant de « subtilité » (le résultat

PLAISIR ET DOULEUR Plaisir et douleur forment un couple de notions à priori opposées et qui tournent autour du principe de plaisir. Le but ultime de l'Humanité serait la recherche de toujours plus de plaisir et toujours moins de souffrance. Donc de rechercher l’agréable et d’éviter le désagréable. Mais la douleur est-elle nécessairement l’absence de plaisir ? Ne peut-on pas les combiner ? Nous verrons comment le plaisir constitue un retour à l’équilibre après la cessation de la douleur, puis

Épicure – Les désirs Épicure est un pilosophe hédoniste. Il établit notamment une classification des plaisirs très sophistiquée. C'est sur cette partie de sa pensée que nous allons nous concentrer. Nous allons si cette classification est toujours d'actualité. Pour commencer, les désirs sont différenciés s'ils sont naturels ou s'ils sont sans fondement. Ensuite, s'ils sont naturels, certains désirs seront uniquement naturels, tandis que d'autres seront nécessaires. Les désirs “nécessaires” peuvent

atteindre le bonheur. Il convient donc d’analyser en quoi le bonheur est atteint grâce au temps. Nous verrons, dans un premier que définir une représentation du temps est primordial pour trouver le bonheur. Ensuite, nous aborderons la notion de se faire plaisir. Enfin, nous étudierons le temps nécessaire pour sélectionner et réaliser ses désirs. Tout d’abord, le temps est un écoulement qui n’a pas d’être car c’est une succession d’instants éphémères. D’après Aristote, le temps n’existe pas hors de nous mais

PREMIERE PARTIE 1 Quels sont d’après Lipovetsky, les facteurs aboutissant à la domination de l’hédonisme dans nos sociétés ? D’après Lipovetsky, les facteurs aboutissants à la domination de l’hédonisme sont le modernisme et la consommation de masse. Selon lui, l’hédonisme apparaît comme une réponse des artistes (Baudelaire, Rimbaud, Jarry…) pour contrer les valeurs puritaines de la bourgeoisie qui modère tout ce qu’elle fait. En parallèle, il pense que la culture moderniste est basée sur «l’exaltation

ou au psychisme qui nous font souffrir et nous mettent généralement dans des états excessifs, douloureux ou indignes. Depuis toujours, l’homme est censé les dominer voir les supprimer, pour ne vivre que de l’esprit et de la volonté, qui serait la partie haute de l’homme lui permettant d’accéder à la vérité et au bonheur de la paix intérieure. Cette vision très stoïcienne de l’homme a dominé le siècle classique, non seulement parmi les moralistes religieux, mais également parmi les chantres de la

Chaque drogue agit sur le cerveau à sa manière, en stimulant certaines parties du cerveau, et en libérant certaines substances analogues à celles créés par le cerveau lui-même. Cependant, toutes ont un point commun, l’augmentation des effets de la dopamine, ou d’autres neuromédiateurs du corps humain. Cette substance est essentielle à la survie de l'espèce humaine, en effet elle est responsable de la sensation de bien-être et de plaisir chez l'Homme. Il faut savoir que les messages du cerveau circulent

vide et peuvent se combiner pour former des corps. L'âme est selon lui un corps ainsi composé d'atomes, et non une entité spirituelle. En éthique (=morale), le philosophe grec défend l'idée que le souverain bien (c a d le bonheur), est le plaisir. Le plaisir est défini essentiellement comme « absence de douleur ». En logique ou en épistémologie (théorie de la connaissance), Épicure considère que la sensation est à l'origine de toute connaissance. Nos idées ne peuvent pas dépasser notre expérience

Dans un deuxième temps, Schopenhauer présente un premier élément d'explication : si nous sommes incapables de percevoir les biens au moment où nous les possédons, c'est en raison du phénomène de l'habitude. Parallèlement, plus nous nous habituons au plaisir, plus nous en sommes dépendants, et plus la perte de celui-ci nous sera douloureuse. Enfin, Schopenhauer se réfère à notre expérience du temps : il faut souffrir ou s'ennuyer pour sentir vraiment le temps. Ces deux expériences semblent donc conforter