Valeur Du Principe De Non Rétroactivité

vocation à juger. Ils défendent les intérêts de la société, ils représentent l’Etat devant les tribunaux. Ils sont chargés non pas de juger mais de poursuivre les infractions (c’est a dire atteintes aux bonnes règles de vie et de société) et ils requièrent des peines. Lorsqu’une infraction est constatée, soit par témoin ou policier, le procureur de la République décide de poursuivre où non d’engager une procédure contre l’auteur éventuel de l’infraction. Le parquet peut être qualifié de ministère public

conduite socialement édictées et sanctionnées qui s’imposent aux membres de la société » (G. Cornu - Vocabulaire juridique). On l’oppose au droit subjectif, prérogative attribuée à un individu dans son intérêt lui permettant de jouir d’une chose, d’une valeur ou d’exiger d’autrui une prestation. La règle de droit présente des caractéristiques spécifiques : - Elle est générale et impersonnelle, c a d qu’elle vise tous les individus ou tous les actes qui entrent dans une catégorie définie de façon abstraite

république a une valeur juridique. Dans ce dernier se trouve les principes généraux du droit ( PGD) qui se définissent comme règles de portée générale qui répondent officiellement à trois critères: ils s'appliquent même en l'absence de texte ,ils sont dégagés par la jurisprudence, ils ne sont pas créés de toutes pièces par le juge mais « découverts » par celui-ci. Ainsi que les principes fondamentaux reconnus par les lois de la République (PFRLR) qui se définissent comme des principes de valeur constitutionnelle

d'un droit commun: Dumoulin (1566), Daumat (1625-1676), Pothier (1699-1792) -Droit unificateur: le Droit Canon (issu des instances religieuses) Le droit de l'ancien régime: contrairement au droit romain les sujets sont perçus par leur fonction et non plus l'individualité: membre du clergé, noble, tiers-état. Les corporations fixent les règles de leurs professions et de leur fonction (le Roi n'a pas pouvoir). La collectivité prime sur l'individu. Cette idée permet de développer différentes notions

à sa traduction juridique : les infractions. L’objet d’étude du droit pénal est donc double. Il y a d’abord la criminalité, qui ne lui est pas spécifique puisqu’il le partage avec d’autres. Il y a ensuite l’infraction.   ·€€€€€ Section I. L’objet non spécifique du droit pénal : la criminalité S’il existe un droit pénal, c’est que la société entend lutter contre la criminalité. L’étude doit précéder la lutte cependant. 1.1 L’étude de la criminalité C’est un phénomène complexe car il existe plusieurs

A) La distinction entre actes non règlementaires et actes règlementaires Cette distinction est importante sur le plan théorique mais aussi sur le plan pratique. Cette distinction en réalité s’apparente grandement à la distinction classique entre actes règlementaires et actes individuels. 1. Les notions d’AAR et d’AAI La plupart des actes non règlementaires sont des actes individuels mais il y a des actes non- règlementaires qui ne sont pas individuels : ce sont les actes ni individuels ni

opposition entre le licite et le illicite, le légal et l'illégal, le permis et le prohibe. Or le droit c'est tout autre chose. Le droit permet de trancher des conflits d’intérêts, c'est à dire que le droit tranche en faveur de l'intérêt qui a le plus de valeur. Autrement dit le droit règle les conflits d'intérêts. C'est une technique mais une technique neutre. Ce sont les Hommes politiques qui décident. Le droit apporte des conseils pour avoir le bon comportement. DROIT OBJECTIF : C'est un droit uniforme

jurisprudence est la manière habituelle de juger révèle qu il est bien difficile de définir à partir de quel moment la jurisprudence se forme. On s accorde tout d abord à restreindre la jurisprudence aux solutions apportées à des questions de droit, et non l appréciation des circonstances de fait. Ainsi, la pratique officieuse selon laquelle les juridictions ont recours à des barèmes d indemnisation, par ex. pour évaluer le préjudice corporel résultant d un accident, ne saurait-elle constituer une jurisprudence

croyants, il parait néanmoins nécessaire de bien différencier ces 2 modes de régulations sociales que sont le droit et la religion. En effet, ce qui les distingue, c’est que la religion est une relation entre l’Homme et dieu. De pus, la sanction à un non respect d’un commandement de la religion n’appartient pas à l’Etat. A contrario, la sanction juridique est mise en œuvre par un système juridique. Comparaison entre droit et morale : De très nombreuses règles de droit sont issu de la morale. Cependant

Dissertation : « Les principes généraux de droit sont multiples par leur nombre, leurs sources et leurs fonctions. De fait, ils détiennent une place dans la hiérarchie des normes. » A) Les principes généraux du droit 1) les principes généraux du droit : c’est quoi ? En France, les principes généraux du droit (ou PGD) sont des règles de portée générale qui répondent officiellement à trois critères : • ils s'appliquent même en l'absence de texte ; • ils sont dégagés par la jurisprudence ;