Vente Forcée Du Fonds De Commerce

écrit sur un cas pratique de 3h Blog : http://lewebpedagogique.com/aline2603 Bibliographie : - Acte de commerce, commerçants, fonds de commerce, PIEDELIEVRE, éd. Dalloz, collection cours - Droit commercial, G. DECOCQ , éd. Dalloz, collection hyper cours, 2008 - Acte de commerce, commerçants, fonds de commerce, REIHARD, éd. Litec, 2008 - Code de commerce : www.legifrance.gouv.fr Introduction Pourquoi étudier le droit commercial ? Pourquoi ne pas continuer d’enseigner le

d’application : Le droit commercial est le droit du commerce et prend donc pour point de débat le terme « commerce », mais cela ne permet pas d’en saisir le champ d’application. Il est possible en effet d’avoir une vision plus large. Au sens le plus large, être dans le commerce signifie pouvoir échanger (art 1128 du CC). A coté de cette conception très large, une conception plus restrictive est retenue par les économistes. En simplifiant, le commerce s’apparente à la circulation des richesses, aux

affaires et souvent employée comme synonyme de droit commercial : pas tout à fait exact. Le droit des affaires dépasse le cadre trop étroit du droit commercial qui est le droit applicable aux seuls commerçants, sociétés commerciales et actes de commerces. Le droit commercial fait intégralement partie du droit des affaires ce qui singularisera davantage encore le droit des affaires en raison précisément de la spécificité du droit commercial. Le formalisme du droit commercial va ainsi se démarquer

I. La promesse unilatérale de vente La promesse unilatérale de vente est « un contrat par lequel le promettant s’engage à vendre un bien au bénéficiaire qui a le droit de l’acquérir dans un certain délai » (François Collart-Dutilleul, Philippe Delebecque, Contrats civils et commerciaux, 6ème édition, collec. Précis Dalloz). A. Particularismes de la promesse unilatérale de vente La promesse unilatérale de vente peut être assortie d’une indemnité d’immobilisation destinée à indemniser le

prêteur d’obtenir le remboursement de l’argent prêté. Seuls les droits ou obligations ayant une valeur pécuniaire font partie du patrimoine. A l’opposé, les droits extrapatrimoniaux ne sont pas appréciables directement en argent : ils sont hors du commerce. Ainsi en est-il du droit à l’honneur d’une personne, ou son droit au respect de sa vie privée qui n’ont pas de valeur pécuniaire directe. Mais ces droits peuvent avoir des incidences financières : ainsi en cas d’atteinte à l’honneur d’une personne

Président Roosevelt 68060 Mulhouse 03 89 32 99 00 Projet de prospection Projet de prospection Baccalauréat Professionnels Vente Prospection_Négociation_Suivi de clientèle Epreuve E3-B3 Session 2013 2 rue Poincaré 68100 MULHOUSE TRABELSI

concentrations...) d) de garantir les libertés individuelles au sein de l'entreprise e) d'intenter une action contre l'entreprise en faute 5. Quels sont le ou les objectifs du cadre juridique ? a) garantir les grandes libertés économiques (faire du commerce...) b) garantir les grandes libertés sociales (liberté syndicale...) c) garantir les créanciers contre les mauvais payeurs d) sanctionner le non respect des lois 6. Qu'est-ce que la liberté de contracter ? a) liberté de conclure des contrats

authentique (notarié, adoulaire, hébraïque, judiciaire ou extrajudiciaire) portant : 1°) Mutation entre vifs, à titre gratuit ou onéreux, tels que vente, donation ou échange : a) d’immeubles, immatriculés ou non immatriculés, ou de droits réels immobiliers ; b) de propriété, de nue propriété ou d’usufruit de fonds de commerce ou de clientèle ; c) cessions de parts dans les groupements d’intérêt économique, de parts et d’actions des sociétés non côtés en bourse et d’actions

ceux-ci et les personnes qui gravitent autour d'elle. Ces relations juridiques sont de natures différentes. Le droit applicable, et par conséquent, les tribunaux compétents en cas de litige, varient en fonction même de la nature de ces relations. Force est donc de constater que la diversité des relations juridiques de l'entreprise est à l'origine de la diversité du contentieux de l'entreprise et explique aussi la diversité de la justice des affaires. Le terme contentieux au sens propre du terme désigne

transporter d'un lieu à un autre, soit qu'ils se meuvent par eux-mêmes, soit qu'ils ne puissent changer de place que par l'effet d'une force étrangère. (Art. 528 du code civil) * par la détermination de la loi : les obligations et actions qui ont pour objet des sommes exigibles ou des effets mobiliers, les actions ou intérêts dans les compagnies de finance, de commerce ou d'industrie, encore que des immeubles dépendant de ces entreprises appartiennent aux compagnies. Ces actions ou intérêts sont