Vote de confiance

d’abstention au fil des ans, soit des fluctuations irrégulières qui peuvent être en partie expliquées par des facteurs politiques exclusivement (enjeu de l’élection etc.). Cette hausse du taux d’abstention pour un même type d’élections est la marque d’un vote qui a perdu de sa valeur. Taux d’absentéisme en France : * * Elections européennes : * Date Abstention * 7 juin 2009 59,37% * 13 juin 2004 57,21% * 13 juin 1999 53,24% * 1994 47,29% * 1989 51,2% * 1984 43

penseur de l’Absolutisme. Par contre John Lock justifie la révolution, donc élabore une théorie contre celle de Hobbes. Pour Lock l’Etat de nature est un Etat raisonnable et en harmonie, c’est ainsi que sa théorie se justifie par la confiance en l’Homme et non pas la confiance en le monarque. Il s’agit d’un contrat unique qui un a un double aspect, le premier est une convention par laquelle les Hommes s’unissent dans une seule société, et donc la majorité associe le pouvoir au gouvernement pour protéger

donne une participation négative à la fonction législative par l’instauration d’un droit de veto suspensif. En tant qu’organe de la fonction législative il peut s’opposer à la mise en vigueur d’un texte voté par le corps législatif pendant au moins deux législatures (veto suspensif, si le texte est voté une troisième foi, le véto tombe). Seule l’Assemblée est élue, pas le roi du fait de l’hérédité donc l’idée de représentation est limitée. La qualité de représentant est exclusivement rattachée à l’exercice

simplement exercer « une faculté d'empêcher ». Système qui, pour fonctionner, suppose un respect, une confiance mutuelle entre les pouvoirs. Il ne fonctionne qu'aux États-Unis. En France, ce système de séparation stricte à été choisi par la Constitution de 1791, 1795 et 1848, mais a échoué à chaque fois pour des raisons diverses, et politiques : 1791 : L'assemblée se méfie du roi ( Pas de confiance ) 1795 : Les deux chambres ( pouvoir législatif ) veulent l'emporter sur l'exécutif et inversement

séparation souple n'est cependant pas le seul critère réalisant le régime parlementaire. En effet, elle entraîne une représentativité obligatoire du gouvernement, puisque celui-ci est politiquement responsable devant le parlement et doit donc avoir la confiance de celui-ci pour gouverner. Un autre caractère de ce système parlementaire issu de la séparation souple des pouvoirs, c'est l'irresponsabilité du chef de l’État (monarque ou président élu) qui n'appartient conséquemment pas au pouvoir exécutif puisque

sera utilisé sauf dans quelques exceptions. Les deux chambres ont des pouvoirs égaux. Elles votent la loi. Elle doit être votée par les deux chambres en termes identiques. Elles peuvent renverser le Gouvernement. Cependant la Chambre des députés vote en premier le budget de l'État. Le Sénat est seul à pouvoir se constituer "en Cour de justice" pour juger soit le Président de la République soit les ministres, et pour connaître des attentats commis contre « la sûreté de l'Etat » (article 9 de la

communistes qui espèrent jouer un grand rôle dans l’assemblée et donc la souhaitent pourvue de larges pouvoirs. Résultat : 66 % de OUI 2. Des élections ont lieu parallèlement Election des constituants au scrutin de liste à la proportionnelle Vote des femmes pour la première fois Résultats : 3 grands partis = ¾ des électeurs P.C.F. 26 % des voix M.R.P. 23.9 % des voix S.F.I.O. 23.5 % des voix b) Le nouveau visage politique de la France Progression spectaculaire du P.C.F., sorti auréolé

Je viens, par la présente, vous donner mon opinion au sujet de votre article intitulé « Pour la reconnaissance du vote Blanc », paru dans votre Numéro d’octobre 2006. Le vote Blanc doit impérativement être additionné aux suffrages exprimés, et comptabilisé au même titre que les candidats. Je n’ai aucun doute à ce sujet. Pour le citoyen, quelle est la signification d’un vote blanc ? La réponse est simple et claire : 1. Elections Présidentielles, Législatives, Municipales, aucun candidat

effet, le critère du régime parlementaire. Le gouvernement doit rendre compte de son action à la représentation nationale, qui n'est autre que le Parlement. Sa légitimité tient uniquement à la confiance que lui accordent les parlementaires, une confiance qu'ils peuvent lui retirer à tout moment. Cette confiance retirée, l'action du gouvernement devient dès lors impossible à mettre en œuvre. Ainsi, on constate donc que les représentants du peuple ont une fonction de contrôle sur l’exécutif, et sont capables

cohérente et de surcroît absolue. La dissolution de 1968, elle, ne vise pas à sanctionner l’Assemblée Nationale. Elle fait suite au mouvement de mai 68. En réalité elle sert de substitut au référendum : de Gaulle, en effet, pose la question de confiance au peuple en lui demandant de reconduire la majorité parlementaire sortante. La dissolution comme moyen de prévention d’une crise politique Mitterrand a aussi utilisé l’article 12 à deux reprises : le 22 mai 1981 et le 14 mai 1988. Dans les