Waterman

économique durable. Les exemples abondent de couples d'entreprises ayant au départ des produits ressemblants et faisant ensuite des choix stratégiques divergents du fait de leur conception de leur métier et de leur créneau. Stratégor cite ainsi Bic et Waterman, ou Look et Salomon. Le tableau 6 (Jakobiak, 1992) illustre le rôle central de la veille technologique, surtout comme outil de préparation de décisions futures. Ainsi que le souligne Link (1990), les entreprises doivent maintenant se soucier de

au Brésil en 1956. Il en profite pour lancer le stylo à bille rétractable, le M10 la même année. En 1958, voyant le potentiel mondial de la production de stylos à billes, Marcel BICH entreprend la conquête du marché nord-américain et rachète la « Waterman Pen Company » à Seymour Connecticut. Par la même occasion, BIC se développe en Afrique et au Moyen-Orient, puis en 1965 au Japon. En 1959, BIC fait l’acquisition de Ballograf, fabricant de stylo-bille suédois. L’entreprise propose une gamme de

Gauthier-Villars, 1974 ([11][12]) SLOAN A.P.(1963) : My years with General Motors, Doudleday, 1963, Traduction française: Mes années à la General Motors, Ed. Hommes et Techniques, 1964 ([13]) PETER T. et WATERMAN R. (1983): Le prix de l'excellence, Paris , Inter Edition, 1983, p.15. ([14]) PETER T. et WATERMAN R. (1985): La passion de l'excellence, Paris , Inter Edition, p.30. ([15] ) GELINIER O.(1968) : Direction Participative par les Objectifs. Ed. Hommes et Techniques, Paris 1968 ([16]) BAUDRY P

salariés atteignent leurs objectifs. B) L’entreprise d’excellence, entreprise du 3e type : 1. Le prix d’excellence de Thomas PETER et Robert WATERMAN : Avec un ouvrage « in search of excellence » (1982) => ouvrage le + connu en gestion d’E. Ces 2 auteurs étaient consultants dans un cabinet américain Mc KINSEY. Thomas Peters et Robert Waterman ont sélectionné 62 entreprises jugées performantes en terme éco et financier. Ils ont regardé les points communs pour expliquer pourquoi elles étaient

l’entreprise sont indépendants les uns des autres. Smail SAIGHI / STRATEGIE ENTREPRISE 2012 35 La Matrice Mc KINSEY Smail SAIGHI / STRATEGIE ENTREPRISE 2012 36 STRATEGIE D’ENTREPRISE Le modèle MAC KINSEY (atouts/attraits). (Peters et Waterman appartenaient à ce cabinet). On trouve dans ce modèle :  Deux critères de situation qui sont : 1. l’intérêt du secteur (ou maturité du secteur), 2. la position concurrentielle (ou force compétitive). et  Neuf situations possibles (voir

coup. Cette crise d’identité fait le beurre des marques. 2. Marque ou Licence ? ▪ La marque désigne à la fois des produits de fabricants qui misent sur la qualité et la fiabilité pour fidéliser la clientèle (ex: cahiers Clairefontaine, stylos Waterman). ▪ Un article sous licence est un produit sur lequel le fabricant a obtenu le droit d’apposer une autre marque, profitant de sa notoriété pour booster les ventes (ex: Harry Potter, Arthur et les Minimoys, Pucca, Tony Parker, Converse ou Airness)

renforcé (au cours des années 80) de façon plus au moins implicite par une série de recherches qui ont débouché sur des "recettes" de management qui se veulent universelles dont on cite: la théorie Z de Ouchi(W) (1982), les travaux de Peters (T) et de Waterman (R) (1983), l'entreprise du 3ème et du 4ème type d'après Archier (G) et Serieyz (H), etc. Cependant, de nombreuses expériences ont mis en cause cette approche universaliste et ont démontré l'inefficacité de la standardisation des

famille. Elle propose des produits adaptés à divers besoins : crèmes hydratantes, crème antirides, laits démaquillants… = L’entreprise a un métier principal mais répond plusieurs besoins. Segmentation par a tirade « Technologie, besoin marché » Waterman répond à plusieurs besoins (l’écriture, le cadeau, l’objet pub), s’adresse à des marchés indifférents (les adultes, les enfants…) et recourt à plusieurs technologies (la mise en carbone, le feutre, la bille…). En croisant les possibilités offertes

mesure où comme nous allons tenter de le montrer la culture d’entreprise a le mérite de fournir des schémas de compréhension moins réalistes de l’entreprise, peut être plus proche de ce que les individus vivent tous les jours. 7 PETERS Tom et WATERMAN Robert H., In Search of Excellence: Lessons from America’s best-run companies, Harper and DEAL Terrence et KENNEDY Allan, Corporate Cultures : the Rites and Rituals of Corporate Life, Reading, Addison-Wesley Row, New-York, 1982 8 8 henriet

la chlorophylle (Mueller-Harvey, 2001). Les tannins peuvent être extraits a l'eau (a température ambiante ou a 90°C), a 50% méthanol (a température ambiante ou bouillant) et a 50-70% acétone aqueux (4°C ou température ambiante), (Hagerman, 1988; Waterman et Mole, 1994). Selon Scalbert (1992), l’étape critique dans l’analyse des tannins est leur extraction. En effet leur faible solubilité dans les solvants organiques et leur présence en mélanges complexes, compliquent la séparation et l’identification