Waterman

arrive en retard) Les deux premiers renforcements (le positif et le négatif) visent à favoriser la répétition d’un comportement alors que les deux derniers (l’extinction et la sanction) visent à éliminer un comportement non désiré. Peters et Waterman mettent en avant l’importance du renforcement positif. En effet, les entreprises les plus performantes renforcent le sentiment d’être des « gagnants », plutôt que des « perdants ». De même, afin d’éviter qu’un comportement non désiré ne se reproduise

l’intensité capitalistique, la productivité, la croissance du marché, la position sur le marché, la qualité des produits, l’innovation, l’intégration verticale, la pression des coûts, la phase d’activité.  Le principe d’excellence (Peters et Waterman) : Ce principe insiste sur l’importance du management stratégique. Le modèle des 7S relève de ce principe : on cherche à expliquer la performance de l'entreprise à partir de l’interaction entre sept variables : Style, Staff, Systems, strategy

« Vers la société de l’information (II), un rôle stratégique au sein de l’entreprise », http://www.defidoc.com/contact.htm, visité en Février 2005. [22] OUCHI W. (1983), La théorie Z face au défi japonais, Intereditions, Paris. [23] PETERS T. et WATERMAN P. (1984), Le prix de l’excellence : Le secret des meilleures entreprises, Intereditions, Paris. [24] PEYRAT-GUILLARD D. et SAMIER N. (2003), « TIC, implication des salariés et climat social », Colloque DARES du 27 février portant sur ″Travail

situées dans le temps, et surtout des auteurs et des livres qui ont connu une gloire considérable à certaines époques ne figurent même pas en bibliographie, comme Jacques Lesourne, Peter Drucker, Lawrence et Lorsch, Peters et 6 Préface Waterman et bien d’autres. Tout se passe comme si l’auteur de ce cours s’était borné à faire partager à son auditoire son intérêt pour ses auteurs favoris. Ce cours serait en somme l’analogue contemporain de l’œuvre majeure de Montesquieu, qu’une dame de

courant, de multiples nuances pourraient être encore apportées. Certains chercheurs considèrent la culture comme inhérente à toute action collective: elle donne sens à tout acte, à toute perception (Feldman, 1986). D'autres auteurs, tels Peters et Waterman (1983), Ouchi et Wilkins (1983), Gagliardi (1986) et Feldman (1986), associent la culture à quelques valeurs "imposées" par l'équipe dirigeante en vue d'homogénéiser les comportements à l'intérieur de l'organisation. Pour l'ensemble de ces théoriciens

ce qui suit, d´velopper les dif- par exemple, Ouchi (1981, Theory Z : how American e f´rentes relations propos´es dans le mod`le et for- business can meet the Japanese challenge), Peter et e e e muler les hypoth`ses sous-tendant ces relations. e Waterman (1982, In Search of Excellence), Schein (1985, Organizational culture and leadership), HofCulture d’entreprise et orientation en- stede (1986, The Usefulness of the Organizational Culture Concept), et ´galement ` ceux de Camee a trepreneuriale ron

fonction du degré de confiance qui règne entre les acteurs. La célébration, au cours des années quatre-vingt, des entreprises « excellentes », ou « à forte culture », par les gourous du management américain, a fait grand cas de ce contraste (Peters et Waterman, 1982) (11). Si l’on prend maintenant les deux usines françaises, on peut opposer une usine au management traditionnel, Bugey, à une usine au management plus moderne, Nogent, mais toutes deux témoignent bien du même univers culturel. À Bugey, contrairement

pas de produit de substitution car ces biens couvrent une finalité que seul l’objet proposé par BIC couvre (écrire avec un stylo, allumer une flamme avec un briquet, se raser avec un rasoir). * BIC : Ses principaux concurrents sont Reynolds, Waterman, Pilot, Boss. Le marché est dynamique et large (taille mondiale). BIC possède les parts de marché suivantes : * Papeterie : 8% * Briquets : 22% * Rasoirs : 20% Une analyse de Pestel nous permettrait de comprendre l’environnement général

bonne qualités mais de prix et de stratégies différentes. A) Part de marché Sur le marché du stylo à bille, en 2008 BIC obtenez sa place de numéro deux derrière le géant américain Newell-Rubbermaid, dirigeant de Reynolds, Sharpie, Parker, Waterman et Papermate. En effet avec près de 10% de part de marché et avec une baisse des ventes de 0,6%, BIC réussit tout de même à réaliser 715 millions d'euros de chiffre d'affaire avec ses 550 références de papeterie. Ces articles, étant ce qui a lancé

comme étant pareil dans toutes les entreprises, or la GRH varie d’une entreprise à une autre. Ce point de vue universaliste est présent chez : SEKIOU : il présente son travail comme universaliste. Il définit la RH avec 20 domaines. PETERS ET WATERMAN : écrit : version universaliste en matière de RH. Les auteurs n’écrivent pas la même chose, ils ne sont pas d’accord sur ce qui appartient au domaine des RH ou non. (ex : la communication ?) → dépend des entreprises AMADIEU : on y trouve 6 points :