éléments Tragiques Dom Juan Molière

ci-dessous), à confirmer ou infirmer l'hypothèse formulée après la lecture. 5. Bilan II doit consister en la confrontation des acquis de la vérification avec l'hypothèse générale, et en la formulation d'un jugement critique sur le texte. II° Éléments pour l'analyse des textes I. Le texte narratif | II. Le texte argumentatif | Entrées (outils d'analyse)-structure du texte-rapport dialogue/récit, analyse/récit description/récit-marques temporelles-temps grammaticaux (comprenant

qu’aux paroles, une représentation théâtrale nous donne à voir le décor, les costumes, mais aussi les gestes effectués par les personnages, leurs expressions. Elle permet aussi d’entendre la voix des personnages, leurs différentes intonations. Molière semblait partager cet avis lorsqu’en 1665 il proclamait dans sa préface de l’Amour médecin : « On sait bien que les comédies ne sont faites que pour être jouées ; et je ne conseille de lire celles-ci qu'aux personnes qui ont des yeux pour découvrir

DOM JUAN. Acte V. scène 2. le raisonnement de Sqanarelle. depuis « Ô ciel, qu'entends-je ici ? », jusqu'à « par conséquent, vous serez damné à tous les diables. /.Le raisonnement de Sganarelle. A.Une succession de proverbes. Le raisonnement proposé par Sganarelle ne paraît pas faire preuve de la moindre logique. En effet, loin d'introduire des arguments, de faire des hypothèses, d'aboutir à des déductions, Sganarelle se limite à produire des proverbes naïfs, fonctionnant sur des évidences

n’est achevée qu’avec la représentation. Puis, il faut se demander si le texte doit être lisible pour le mettre en scène et s’il s’approche des éléments romanesques en ce qui concerne l’écriture. Finalement, nous allons voir que chaque mise en scène est un décodage du texte et un moment de création et que le texte et la représentation sont deux éléments complémentaires. Que ce soit en tant que verbe ou en tant qu’attribut du sujet le terme lire associe spontanément le domaine des livres, le registre

dialoguent entre eux, mais à travers leurs paroles, l'auteur s'adresse aux spectateurs). La double énonciation se manifeste notamment dans le quiproquo (malentendu comique, le spectateur connaissant ce qu'ignore le personnage) et l'ironie tragique (le héros tragique ne discerne pas la menace qui pèse sur lui et dont le spectateur est informé). LES DIFFERENTES REPLIQUES - une tirade est une longue réplique; - une stichomythie, quand des répliques brèves s'enchaînent vers à vers; - un récit est

dialoguent entre eux, mais à travers leurs paroles, l'auteur s'adresse aux spectateurs). La double énonciation se manifeste notamment dans le quiproquo (malentendu comique, le spectateur connaissant ce qu'ignore le personnage) et l'ironie tragique (le héros tragique ne dis-cerne pas la menace qui pèse sur lui et dont le spectateur est informé). → les différentes répliques : - une tirade, est une longue réplique;  - une stichomythie, quand des répliques brèves s'enchaînent vers à vers; - un

comtesse qui a jeté la morale par dessus les moulins et se consacre seulement au plaisir des sens. Lorsque la Duchesse paraît, elle leur explique le but de cette réunion : faire le procès de Dom Juan, mais contrairement à la statue du Commandeur de Molière qui entraînera le séducteur aux enfers, la condamnation de Dom Juan par ces dames sera bien différente, sinon pire pour cet homme avide seulement de plaisirs et de liberté. La sentence de leur tribunal, déjà fixée à l’avance d’ailleurs : épouser la filleule

LE COMIQUE CHEZ MOLIERE I)La Définition du comique : Le mot "comique" (du grec kômos, fête carnavalesque et rurale en l'honneur de Dionysos) désignait dans l'Antiquité toute pièce de théâtre. A partir du XVII° siècle, il qualifie les œuvres essentiellement théâtrales (les comédies) qui s'opposent à la tragédie dans leur finalité, qui est le rire, et leur dénouement heureux en mettant en scène des personnages n'étant ni des dieux, ni des nobles, ni des personnages fantastiques mais appartenant

théâtre doit donc marquer le public, voire le choquer, avec des éléments surnaturels, comme dansDom Juande Molière avec l'apparition d'un spectre, la mise en mouvement d'une statue, ou encore la mort de Dom Juan. Le théâtre de l'absurde va beaucoup jouer sur ces éléments. Molière jouait sur des stéréotypes, des images issues de légendes, d'histoires, mais le théâtre de l'absurde va préféré surprendre le spectateur avec des éléments fantastiques, surnaturels, certes, mais non conventionnels, comme

Etude du Misanthrope Extrait Acte 1, scène 1 (v.34 à v.64) Introduction Molière fait jouer Le Misanthrope en 1666, juste après une farce-ballet commandée par le roi, L’Amour médecin ; cette comédie en 5 actes et en vers s’inscrit parmi les comédies dites « sérieuses » de Molière comme Le Tartuffe ou Dom Juan. Elle met en scène un personnage au caractère à la fois intransigeant et excessif, Alceste, le misanthrope qui est amoureux d’une jeune coquette, Célimène. Ce personnage principal s’oppose