épicure Et La Conscience

à celui qui sait vivre dans le temps présent et s’adonne à son activité. Le bonheur ne doit pas être cherché dans l’avenir. Pas de fuite vers l’éternité (il faut trouver du positif dans du négatif puisqu’il y a tj qté de choses qui ns contrarie) Epicure invite à jouir du bonheur ici et présent Hic et Nunc. Cf. sujet Ici et mtn (Epictète, Platon , Bergson) Epictète propose à l’homme les besoins pour réaliser son bonheur = fin suprême de la volonté et de l’action bonne => devient un moyen en vue

les autres émotions : toutes découlent d’un certain désir. A. Passions et raison En ce sens très général, le désir est à opposer à la conscience (la pensée, la raison, la faculté de représentation). Tout l’être humain peut être compris à partir de ces deux dimensions. D’un côté, la raison réunit tout ce qui est de l’ordre de la connaissance et de la conscience ; de l’autre, le désir réunit tout ce qui est de l’ordre de la tendance. On pourra alors étudier les relations entre la raison et les passions

La conscience chrétienne ne voit là qu'un manque de courage, une fuite honteuse et pitoyable. Pour elle, l'homme ne doit jamais perdre de vue qu'il est une créature périssable, qu'il doit mourir. Toute la vie terrestre ne peut être qu'une préparation a cet instant crucial où elle sera jugée et où se jouera la vie éternelle. Aussi faut-il que les hommes vivent en ne se cachant jamais qu'ils doivent mourir puisque c'est la mort qui donne à leur vie son sens et sa valeur. (La préparation à la mort

désirer ne pas être conscient ? Etrange question si l’on part du principe que ce que l’on désire, est ce qui peut nous procurer une satisfaction consciente. Ce serait comme si nous voulions être dans un état où nous ne bénéficierions plus de notre conscience et donc de notre lucidité. Quel intérêt et pour quel motif voudrions-nous « tomber » dans un tel état de perte partielle ou totale de vigilance ? Nous passerons en revue ces motifs plus bas notre analyse. Pour l’heure il faut envisager l’autre

désirer ne pas être conscient ? Etrange question si l’on part du principe que ce que l’on désire, est ce qui peut nous procurer une satisfaction consciente. Ce serait comme si nous voulions être dans un état où nous ne bénéficierions plus de notre conscience et donc de notre lucidité. Quel intérêt et pour quel motif voudrions-nous « tomber » dans un tel état de perte partielle ou totale de vigilance ? Nous passerons en revue ces motifs plus bas notre analyse. Pour l’heure il faut envisager l’autre aspect

alors de moins en moins la mort nous prenons un certain pourvoir sur la nature. La technique rend inutile la religion, ce que l’on maîtrise par la technique nous n’avons plus besoin de religion. Enfin le dernier inconvénient c’est que nous avons conscience que nous pouvons échouer. Par ce fait la crainte d’échouer nous pousse à ne pas nous lancer dans certaine chose. Après une défaite nous nous sentons mal et cela nous rend malheureux, nous nous décourageons, cela nous empêche d’avancer correctement

de », « d'où », « chercher », « désirer ». C'est une tension vers un objet que l'on se représente comme source possible de satisfaction ou de plaisir. Pour commencer il y'a toutes sortes de désirs ceux qui sont nécessaires et ceux qui sont naturels, Épicure établit une véritable hiérarchie des désirs en les distinguant ceux qui sont nécessaire et naturel représente la survie; boire, manger, dormir. Ceux qui sont naturel mais non nécessaire: faire l'amour, manger des choses raffinés etc... et ceux qui

frustration et de souffrance. A  cette étape de la réflexion, il conviendrait de rappeler la classification des désirs proposée par Epicure dans la Lettre à Ménécée. Parmi les désirs, écrivait Epicure, on doit distinguer ceux qui sont naturels et nécessaires et qui favorisent la conservation de la vie et du bien-être indispensable, de ceux qui ne sont ni naturels ni nécessaires : Epicure comprenait dans cette dernière catégorie la recherche des mets raffinés, la quête du pouvoir et des honneurs, etc. La caractéristique

semble pas pouvoir être rejoins grâce au désir , bien au contraire : le bonheur semble complètement opposer au désir. Tant que nous sommes asservis par le désir alors il sera impossible d'accéder au bonheur durable ni au « repos » : « Tant que notre conscience est remplie par notre volonté, tant que nous sommes asservis à l’impulsion du désir, aux espérances et aux craintes continuelles qu’il fait naître, tant que nous sommes sujets du vouloir, il n’y a pour nous ni bonheur durable, ni repos »(l.9-12)

finalité de notre existence, mais Schopenhauer refuse de lui affecter une fin. Schopenhauer est conscient de cette contradiction, mais faut-il pour autant s'en contenter comme il le fait. II – Il ne faut pas confondre désirs naturels et désirs vains : Épicure. Si nos désirs sont, tout comme ceux d'Alexandre le Grand, des désirs irréalisables, il ne fait pas de doute qu'ils soient menaçant pour nous, et ne puissent nous promettre, comme à Alexandre, seulement la possibilité d'une frustration. Mais c'est