épicure Et La Conscience

manifester de façons très différentes. Ainsi, selon Freud (L’interprétation des rêves), elles se traduisent souvent par des manifestations de l’inconscient (comme les rêves, les lapsus, etc.). Cependant, sous quelque forme et avec quelque degré de conscience que ce soit, chacun en vient toujours à se demander « Que puis-je savoir ? Que dois-je faire ? Que m’est-il permis d’espérer ? ». De ce fait, il découle naturellement un penchant à la philosophie chez l’Homme : en effet, elle est la discipline communément

est l’unique preuve que l’Homme ne va pas se contenter que de vivre contrairement à l’animal, mais aussi d’exister. C’est pour cela que Descartes dans Le Discours de la méthode a écrit: «Je pense donc je suis, je suis donc j’existe.». En outre, la conscience de l’Homme ne sert pas uniquement à exposer un jugement (bien ou mal) sur ce qui l’entoure, mais aussi à prouver son existence en créant, en laissant un trace de sa vie sur terre. Si la culture constitue la nature humaine, nous pouvons dire que

bonheur est une aspiration que tous recherchent, et qu’on ne peut maitriser. De plus, Epicure associe le bonheur au plaisir. Mais ces deux termes peuvent être contradictoires. En effet, le premier est un état durable de satisfaction, tandis que le deuxième, quant à lui, est éphémère. Ainsi, le bonheur serait la somme de tous les instants de plaisir. Mais certains problèmes peuvent nuire au bonheur, d’après Epicure qui a trouvé des solutions à ceux-ci pour la peur de la mort, il affirme que l’on ne

sensible a un appétit insatiable. Le propre du désir sensible est de changer sans cesse d’objet et de ne jamais être satisfaire (ex : Don Juan). Le désir sensible vise insatiablement les objets du plaisir que fait rayonner le monde sensible. Il est conscience d’être manque mais il ignore que la nature des objets qu’il recherche ne pourra jamais le remplir. "Aucune possession sensible ne saurait satisfaire le désir humain". Aussi Platon le compare (dans le "Gorgias") à un tonneau percé (mythe infernal

l’analyse de l’expérience du désir et démontre le caractère insatiable et inassouvissable du désir. C’est sur cette analyse que repose la thèse qui est présentée, développée et illustrée dans la deuxième partie de l’extrait (de « Tant que notre conscience » jusqu’à « Tantale éternellement altéré »). Schopenhauer commence par poser une équivalence entre vouloir, besoin, privation, souffrance. Vouloir dans le texte est entièrement synonyme de désirer. Qu’est-ce que désirer ? C’est manquer de quelque

d’apporter satisfactionet plaisir. Epicure constate que le plasir récherche par tous est l’lélemnt essentiel de la vie heureuse. Conforme à la nature humaine il procure un critère parfait de tous les choix que nous avons à faire. Il réside dans la sensation qui nous met en rapport avec le monde. C’est la règle qui nous fait choisir. Ce bien inné et personnel car chacun est juge de ce qui lui convient. « Le plaisir est notre bine principal et inné » écrit épicure dans la lettre à Ménécée. L’homme

les imaginons maintenant. Mais, le moment venu, elles ne seront plus puisque nous ne serons plus là pour les vivre. En fait, ce qui nous hante, c’est la perspective de notre anéantissement total, du corps et de l’âme. Et qui donc sera là? Qui aura conscience de n’être plus? Si nous avons peur, c’est que nous n’osons pas regarder la mort en face. Est-il légitime d’avoir peur de l’inconnue? Oui! Mais qu’est-ce que craindre la mort, sinon se prétendre en possession d’un savoir que l’on n’a point? La mort

dynamique Cf. Epicure «La hiérarchisation des désirs » Naturels → nécessaire → bonheur → amitié → corps → sexualité → vie → besoins primaires → matériel Bonheur : santé du corps et atracie (= absence de trouble) de l’âme. Spécialité de l’épicurisme : assimilation entre le plaisir et le bonheur. L’épicurisme est un hédonisme : le plaisir est le plus grand bien de l’homme. Pour Epicure, le plaisir

hédoniste La morale épicurienne fait du plaisir le début et la fin du bonheur.  « Nous disons que le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse .Tout plaisir est un bien, cependant il ne faut pas rechercher tout plaisir »Epicure. Cependant, Epicure affirme dans la lettre à Ménécé que l’homme doit s’employer à rechercher le plaisir pour être heureux mais ne doit pas en faire sa visée ultime. Cette coïncidence entre la recherche du bonheur et celle du plaisir suppose au préalable une

définition philosophique la plus répandue est "l'état dont on ne revient pas, ce n'est pas une définition scientifique car il n'y en a aucune preuve, c'est une définition "philosophique" ou plutôt dogmatique La fin de tout , du corps et du principe de conscience; terrorisés par la mort religieuse, avec son alternative entre l'éternité de jouissance du Ciel ou les souffrances sans fin de l'Enfer, les philosophes matérialistes du dix-huitième siècle, scientistes du dix-neuvième, marxistes du vingtième ont