épicure These

sécurité, amour, liberté,- ils sont heureux ! Ne sont-ils, comme Rousseau l'avait lui-même observé scientifiquement chez son Emile imaginaire, de parfaits monuments de félicité ? Or la vie naturelle comble ces besoins ! Comme l’a montré le divin Epicure dans sa non moins divine et pourtant humaine lettre à Ménécée, il suffit d’avoir très peu, juste de quoi apaiser les douleurs du corps et combler les désirs naturels (de l'eau, de l'air, des fruits, des amis et un Iphone) pour que naisse très facilement

désirs. Calliclès invite à l'action pour satisfaire tous ses désirs ce qui suppose prise de risques, courage et intelligence. -les obstacles au bonheur: L'accès au bonheur est inégal en raison de l'inégalité de nos capacités naturelles >> thèse polémique car elle oppose une minorité/majorité (différence quantitative) et masse/élite (différence qualitative). Le bonheur ne serait donc accessible qu'à une élite. L'incapacité de la masse s'exprime par l'instauration de règles et de lois (normes

* Pour Epicure, l’absence de la souffrance et la présence du plaisir doivent orienter notre recherche du bonheur. Seuls certains désirs sont nécessaires au bonheur et méritent d’être satisfaits, ceux qui sont naturels et nécessaires à la santé du corps et à la tranquillité de l’âme. Peut-on vivre sans désirer ? Le désir est l’essence de l’homme * Le désir peut certes conduire à la souffrance mais le condamner reviendrait peut être à nier l’humanité de l’homme. La thèse de Spinoza

secteurs de la vie, la science y compris. b. L’instrumentalisation de la science pour des fins purement humaines et humanistes. 2. Le plein épanouissement de l’humain. a. La primauté des plaisirs humains.  Aristote et la fonction poétique  Epicure et sa morale b. La poursuite des fins vitalistes.  L’élan vital nietzschéen  L’utilitarisme benthamien à l’échelle humanitaire CONCLUSION Au début de notre analyse, la question centrale était axée sur le fondement du développement social

introduit et pose la thèse, le second qui la développe et le troisième qui la reprend à partir d'un exemple. On pouvait donc assez simplement se contenter d'un plan linéaire. Il était aussi envisageable d'opter pour un plan thématique, par exemple dans un premier temps développer la définition et la description données ici par Popper du déterminisme physique, et dans un deuxième temps ses implications et donc la critique qu'il en fait. Premier paragraphe. Popper pose sa thèse: le déterminisme physique

singulier ne peut conjuguer « mourir » qu’au futur » (La mort). Parce qu’elle ne peut faire l’objet d’aucune expérience, la mort est impensable par excellence. La mort serait donc une sorte de « point hors sensation » dont la reconnaissance, selon Epicure (Lettre à Ménécée), permettrait d’exorciser l’angoisse humaine qui oppresse en mettant les hommes face à leur mort inévitable. L’angoisse empêche les hommes de se faire à l’idée de leur mort. La position empiriste d’Epicure pour qui « tout bien et

à un moment donné de sa vie, aurait une succession de plaisirs qui lui permettraient d’atteindre ce but fixé. Il doit pour cela chasser l’ennui par des plaisirs simples, reconductibles et modérés selon sa propre conscience. C’est Epicure qui démontre le mieux cette thèse dans sa Lettre à Mécénée. L’homme doit savoir profiter de sa vie en chassant l’ennui à l’aide de plaisirs modérés et appréciés de lui- même. C’est ce qu’il appellera « panem et circenses ». Le bonheur se trouve dans cette succession

qui affirment que désirer c'est souffrir et la satisfaction qu'apporte le désir est seulement la diminution et la disparition de la douleur donc ce n'est qu'un plaisir négatif. Les autres philosophes, Aristote mais surtout Rousseau ont soutenu la thèse que la plus grande souffrance serait de ne plus rien désirer ; et que le désir en lui-même est ce qui est le plus agréable. "Malheur à qui n'a plus rien à désirer. " Rousseau Le désir est-il toujours un manque, a-t-il toujours pour condition une

« Nos facultés de bonheur sont limitées par notre construction. » et le malheur est beaucoup plus facile à atteindre. Ceci amène ensuite à analyser la thèse d’Alain dans Propos qui lui défend sa thèse comme quoi le bonheur n’est pas à rechercher. Alors l’homme serait-il finalement fait pour être malheureux ? Freud commence par affirmer la thèse précédente en justifiant pourquoi les hommes aspirent tant à être heureux et le rester éternellement (1er paragraphe). Dans le deuxième paragraphe il détermine

d’extinction du désir (Nirvana). Cf. Les sagesses orientales et les formes d’ascétisme Cf. La critique chrétienne de la concupiscence et du désir comme péché (St Paul) 2/ La classification rationnelle des désirs et non leur rejet systématique Cf. Epicure : le quadruple remède. Voir le cours. 3/ La raison ne commande ni de s’abandonner à tous ses désirs, ni de les assouvir tous, mais de chercher le moyen de vivre en accord avec notre nature pour affirmer la puissance d’exister présente en chaque