époux Barbier 15 Janvier 1968

de prérogatives de puissance publique [CE Sect. 13 janvier 1961, Magnier] Exemple: codes déontologiques édictés par les ordres professionnels, règlements des fédérations sportives... Concernant les SPIC le principe reste que les règlements édictés sont des normes de droit privé. Exception: acte réglementaire relève du droit public si les mesures prises se rattachent à l'organisation du service public exploité [TC 15 janvier 1968, époux Barbier]. Conclusion Les titulaires du pouvoir réglementaire

certains cas du droit privé lorsqu’une Administration gère des activités de droit public (TC, 22 janvier 1921, société commerciale de l’ouest africain). A l’inverse, le juge administratif connait les litiges qui soulèvent le fonctionnement des organismes privés chargés de la mise en œuvre des service public (TC, 15 janvier 1968, Compagnie Air France c. Epoux Barbier). C’est donc la jurisprudence du tribunal des conflits qui permet de déterminer le champ d’application du droit

conduite des relations internationales de la France » et peut donc échapper à tout contrôle juridictionnel. Portée : Lorsque France reprend essai nucléaire CE estime que acte de gouvernement in-susceptible de recours. TC 15 janvier 1968, l’arrêt Compagnie Air France c/ Époux Barbier Relève le caractère réglementaire de certaines dispositions prises par des services publics industriels et commerciaux. Cet arrêt est la « quintessence » de la jurisprudence administrative ! (Delvolvé) Faits : Un règlement

responsabilite) NB : JA toujours competent pour annulation et reformation d'AA (CE, 1987, conseil de la concurrence) - autonomie non absolue : application du cciv par JA + rapprochement sur certains aspects de droit de la responsabilite (CE, 1918, epoux Lemonnier, CE, 1947, Cie generale des eux et dame veuve Aubry, CE, 1961, Ministre des TP c. consorts Letisserand) - liaison entre competence et fond pas toujours absolue = dissociation possible (CE, 1956, Tresor public c. Giry ici JJ competent avec

concilier ces exigences (droit de grève et principe de continuité du service public). CE, 1980, Bonjean Le principe de continuité du service public est un principe fondamental. B) Le principe de mutabilité du service public CE, 10 janvier 1902, Compagnie nouvelle du gaz de Deville-lès-Rouen Le principe de mutabilité du service public repose sur l’idée que le service public doit être capable de s’adapter à l’évolution des besoins du public, aux nouvelles exigences de l’intérêt général

largement les rapports internationaux de la France, échappent au contrôle de tout juge (CE 19 février 1875 Prince Napoléon). Récemment le Conseil d’État a restreint le domaine de l’acte de gouvernement par le recours à la théorie de l’acte détachable (CE 15 octobre 1993 colonie royale de Hong-Kong). Les actes de gestion privée Les décisions non réglementaires relatives à la gestion du domaine privé (CE 23 juillet 1931 Dame Grand d’Esnon) ne sont pas des actes administratifs, de même que les décisions non

« Taxation d’office » : le Conseil constitutionnel consacre le caractère constitutionnel du principe d’égalité devant la loi (consacré par la DDHC) et sanctionne une disposition législative introduisant une discrimination entre contribuables. DC, 15 janvier 1975, « Interruption volontaire de grossesse » : le Conseil constitutionnel considère qu’il ne lui appartient pas, aux termes de la Constitution, d’apprécier la conformité d’une loi par rapport à un traité (en l’espèce, la CEDH) pour plusieurs motifs :

critère matériel, donc compétence au juge administratif. TC, 15 janvier 1968, Epoux Barbier Air France : personne moral de droit privé investie d’une mission de service public (prérogatives de puissances publiques). Le règlement intérieur à un caractère particulier car il est validé par le Ministre et en son sein, on retrouve une exorbitance (= prérogatives de puissances publiques). Donc compétence au juge administratif. TC, 23 janvier 2006, France Telecom c./ TPE Dans le domaine des travaux publics

PIWNICA, MOLINIE ; SCP DIDIER, PINET ; SCP LYON-CAEN, FABIANI, THIRIEZ, avocat(s)       lecture du jeudi 11 février 2010   REPUBLIQUE FRANCAISE   AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS         Vu, 1°) sous le n° 324233, la requête, enregistrée le 19 janvier 2009 au secrétariat du contentieux du Conseil d’Etat, présentée pour Mme Nicole U, demeurant ..., M. Jack N, demeurant ..., M. François O, demeurant ..., Mme Marie-France E, demeurant ..., M. Michel F, demeurant ..., Mme Eliane K, demeurant ..., M

dans l’ouvrage “Fédération national de la libre pensée" Dans ce commentaire nous analyserons l'arrêt du Conseil d’Etat, Madame Borvo, datant du 11 février 2010, décision numéro 324233. En l'espèce le ministre de la culture et de la communication, le 15 décembre 2008 a demandé par le biais d’un courrier adressé au PDG de France télévisions , de ne plus commercialiser les espaces publicitaires entre 20h et 6h sur les chaînes dont il est responsable. Le 16 décembre 2008 le conseil d’administration de