éthique De Kant Et éthique Utilitariste

dépendance matérielle et mentale dans lequel on commence sa vie et de construire le sens qu’il entend donner à son existence. En cela, toute éducation bien comprise est une éducation à la liberté et un appel à « sortir de l’état de minorité » (que Kant définit en 1784, dans Réponse à la question : qu’estce que les Lumières ?, comme « l’incapacité de se servir de son propre entendement sans la direction d’autrui »), non pas certes pour s’arroger le droit de faire n’importe quoi mais pour permettre

Grand qui deviendra maître de la Grèce quelques années plus tard et aidera Aristote dans la création du lycée avec les péripatéticiens. - démarche ouvertement analytique accompagnée de jugement de valeur ; vision normative - ouvrage : "Politique", "Ethique à Nicomaque" (son fils) - il s'intéresse à l'évolution des Etats, discute les institutions = sociologie politique/ # avec Platon : il a les pieds sur terre ; l'organisation doit prendre en compte la nature de l'homme. → d'où propriété privée et famille

qu’il avait transgressé par son péché, en suivant sa volonté propre » ; cf. aussi In IV Sent., dist. 15, q. 1, a. 4. Pour une approche formelle développée, voir Pierre WATTE, Structures philosophiques du péché originel, S. Augustin, S. Thomas, Kant, « Recherches et synthèses : section de dogme, 5 », Gembloux, Duculot, 1974, p. 81-89 ; Benoit- Dominique DE LA SOUJEOLE, « Faute et peine : quelques précisions théologiques », dans La Faute, la peine et le pardon, Actes du XVe colloque national

offertes par la criminalistique et à la criminologie. Ces philosophies pénales restent fondées sur des a priori, sur les rapports entre les individus et son milieu car la science ne résout rien, elle ne fait que déplacer le problème, la question éthique reste posée. La politique criminelle : C’est l’ensemble des procédés susceptibles d’être employés par l’Etat pour lutter de manière rationnelle contre la délinquance. La politique criminelle s’appuie sur deux piliers: le droit pénal qui est

(positive ou négative), de don et de contre-don, que se forment ou se déforment les identités. Nourri par toute une série de recherches empiriques, ce livre propose un véritable paradigme alternatif à celui de la science économique et de la sociologie utilitariste. Au lieu de postuler que nous sommes tous des homo œconomicus, qui ne songent qu'à prendre et à garder, il risque l'hypothèse inverse : Ne serions-nous pas plutôt du genre homo donator, plus enclins à donner qu'à recevoir ? Du coup, plutôt que

d'apprentissage face à l'interdépendance  Doux commerce → coopération économique différenciée  Harmonie des intérêts nationaux → institutionnalisation de la sécurité collective C/ Grands courants 1. Libéralisme républicain Paix et démocratie: Kant, Projet de paix perpétuelle (1795). Réponse à la question de recherche: c'est la démocratie qui mène à une pacification des relations internationales:  Constitution républicaine de l'Etat: la Constitution suppose le consentement des citoyens

type démocratique. Les hommes sont libres dans la société civile parce que c’est eux qui concourent à la formation de la Loi, de la volonté générale. • La nature humaine, fondement des droits de l’homme : la philosophie des Lumières de Montesquieu à Kant La philosophie des Lumières c’est le nom qu’on donne aux grands auteurs philosophies du 18ème siècle. Ici, pour s’en tenir aux auteurs français, on peut citer deux grands auteurs : Montesquieu et Voltaire. Montesquieu estime qu’il faut faire confiance

la consommation de moyens n‟a pas été excessive eu égard aux résultats obtenus (contrôle d‟efficience) ». Cette définition de la notion de contrôle privilégie l‟aspect coût qui relève de la rationalité économique toutefois elle ignore les aspects éthique et démocratique dans l‟évaluation de l‟efficience organisationnelle. Cette vision efficiente des organisations ne correspond pas toujours à la réalité. La question est donc de savoir si ce contrôle est bien adaptée à « bonne» gouvernance des associations

Nouveau Testament codifie beaucoup moins la vie humaine que ne le faisait l’Ancien. Pour appliquer ses préceptes, le chrétien a besoin d’une conception correcte de la nature humaine, de la liberté, de la conscience, du jugement moral et de la décision éthique... Le recours aux sciences de la nature est aussi justifié, mais il ne doit pas faire oublier la nécessité d’une réflexion typiquement philosophique, critique et à visée universelle. Il en va de même pour l’ouverture aux sagesses des autres cultures

système d’homéostasie interne et sous l’influence d’un ensemble de circonstances externes qui comprennent non seulement les entités et les événements avec lesquels l’organisme interagit nécessairement, mais aussi les conventions sociales et les règles éthiques. » Ainsi, pour Damasio, les émotions sont nécessairement associés aux raisonnements de manière consciente ou non. « Agissant à un niveau conscient, les états somatiques (ou leurs simulations) peuvent marquer positivement ou négativement les conséquences