éthique De Kant Et éthique Utilitariste

l’audit social et d’enseignants-chercheurs désireux de mettre en commun leurs expériences pour approfondir le concept d’audit social, en définir le cadre de référence, et veiller à une mise en œuvre cohérente de ces pratiques dans le respect d’une éthique professionnelle, l’IAS démontre en 2006 sa vitalité et sa capacité à poursuivre et à amplifier le projet de ses fondateurs. L’audit social sort de sa marginalité. Les entreprises sont plus nombreuses à s’engager dans des audits non plus de conformité

la contradiction faite homme, la question se retourne : pouvonsnous seulement résorber la tension, et cesser ainsi d’être en conflit avec nous-mêmes ? De la contradiction des appétits au conflit de nos facultés, de la solution posée par l’exigence éthique à la persistance du scandale, tel sera alors le chemin problématique que nous nous proposons d’emprunter. I. De la contradiction des désirs en nous au conflit avec soi-même Lorsque, dans le Gorgias, Calliclès reproche à Socrate de « toujours dire

socialement désirables. Et c’est toujours à ces trois aspects que mène l’interprétation, but en quelque sorte de toute démarche méthodologique. Comment apprécier sa valeur ou sa validité (question axiologique, pragmatique, téléologique et politico-éthique) ? Cette perspective répond à la question « pourquoi ? » et ouvre le champ d’appréciation de la validité de l’attitude adoptée dans la réponse à la question méthodologique et à celle des valeurs associées suivant la réponse apportée à la question

hippocratique : « Quand crainte (phobos) et abattement (dysthymie) durent longtemps, cela a un rapport avec la bile noire »2, celle-ci donnant son nom à la mélancolie. Or c'est d'abord dans cette tradition médicale et philosophique que se situent Schiller et Kant. C'est surtout elle qui met en relation de façon tout à fait explicite l'héroïsme et la mélancolie. 1. Mélancolie et héroïsme de la pensée Selon un traité attribué à Aristote, et traditionnellement désigné sous le titre Le Problème XXX, 1, qui a

Biologie/Physique/Chimie Psychologie/Sociologie Une telle distinction entre les sciences de la nature et sciences de l’esprit (e n allemand, Geisteswissenschaften et Naturwissenschaften) a été défendue par Dilthey (18331911)38, mais l’on trouvait déjà chez Kant l’idée qu’il existe différents règnes : le règne de la nature et le règne de la liberté ; et chez Descartes l’idée que l’esprit est d’une nature différente de la matière. L’idée générale est qu’il il n’est pas possible de traiter les sujets humains

de la nature humaine qui caractérise Machiavel comme Thucydide. Avec Machiavel, nous avançons dans une conception amorale de la politique. Pour lui, la politique et la morale sont deux domaines distincts de l’activité humaine. Ces domaines ont des éthiques distinctes : l’éthique caractéristique de la morale qui concerne le bien, le salut des âmes (morale religieuse) ; en politique, c’est l’éthique de la fin qui justifie les moyens. Il y a d’un côté l’éthique des fins dernières et de l’autre côté l’éthique

matérialistes de son temps lui ont reproché à l’image d’un Hobbes par exemple. Cependant, c’est indiscutablement Kant qui a apporté la critique la plus intéressante du cogito cartésien en insistant sur le saut logique qui consiste à passer de la pensée à l’existence. Pour Kant, Descartes a bien prouvé l’existence d’une pensée, mais pas celle d’un support de cette pensée qu’on appelle « je ». Implicitement Kant a déjà annoncé la critique freudienne du cogito, Freud subsituant le ça pense au je pense. 3)

en premier lieu le corps objet de la connaissance scientifique, mais le corps vécu : notre conception de l'être est une abstraction de notre rythme physiologique. Toute connaissance, comme Kant l'avait déjà établi avant Nietzsche, doit prendre pour point de départ la sensibilité. Mais, au contraire de Kant, Nietzsche tient, comme Arthur Schopenhauer, que les formes de notre appréhension de l'existence relèvent en premier lieu de notre organisation physiologique (et de ses fonctions : nutrition

Nietzsche en premier lieu le corps objet de la connaissance scientifique, mais le corps vécu : notre conception de l'être est une abstraction de notre rythme physiologique. Toute connaissance, comme Kant l'avait déjà établi avant Nietzsche, doit prendre pour point de départ la sensibilité. Mais, au contraire de Kant, Nietzsche tient, comme Arthur Schopenhauer, que les formes de notre appréhension de l'existence relèvent en premier lieu de notre organisation physiologique (et de ses fonctions : nutrition

Athéisme 1L’athéisme n’est pas que celui qui nie l’existence de Dieu. C’est une partie de la définition de l’athéisme mais elle ne regroupe pas toutes les questions. L’athéisme est une position attachée à des thèses philosophiques. L’âge classique regroupe différentes définitions de l’athéisme. Ralph Cudworth dans un traité de 1678, distingue quatre formes d’athéisme :- hylopathien. Ceux qui pensent que la matière sent. La matière inerte produit les formes.Anaximandre. Thèse en opposition avec la