éthique Kant Clonage

indifférence vis-à-vis du corps et de ses douleurs, n'apportant ainsi que peu d'aide dans les débats contemporains relatifs à la bioéthique [3]. La philosophie kantienne[modifier] Article détaillé : Philosophie pratique de Kant. La dignité, telle que conceptualisée par Kant dans la Critique de la raison pratique, est accordée à tout homme en tant qu'être raisonnable. On cite souvent à cet égard la maxime kantienne de traiter toujours autrui comme fin et non simplement comme moyen [B], qui selon

processus de la vie, il s’avérera du même coup possible de transformer le vivant. C’est ce à quoi nous assistons aujourd’hui avec les OGM, la fécondation in vitro et toutes les inquiétudes soulevées par la possibilité du clonage. Le sujet engageait donc assez clairement des enjeux éthiques (du type : sera-t-il possible un jour de choisir sur catalogue les caractères précis de nos enfants ?). Problème : Pour savoir si la science pouvait s’emparer des mécanismes de la vie, il fallait déjà chercher ce

vis-à-vis du corps et de ses douleurs, n'apportant ainsi que peu d'aide dans les débats contemporains relatifs à la bioéthique3. Philosophie kantienne[modifier | modifier le code] Article détaillé : Philosophie pratique de Kant. La dignité, telle que conceptualisée par Kant dans la Critique de la raison pratique, est accordée à tout homme en tant qu'être raisonnable. On cite souvent à cet égard la maxime kantienne de traiter toujours autrui comme fin et non simplement comme moyen6, qui selon Schulman

Article d’Ethique Pierre Yves Gouverneur Peter Descombe Lorsque nous avons eu à déterminer le thème de notre article d’éthique. Nous avons tout d’abord voulu aborder un sujet relativement polémique. Notre choix c’est rapidement porté sur le clonage, car il ne soulève pas seulement des interrogations sociales et économiques, mais aussi des problématiques politiques. Tout au long de ce sujet, nous avons tenté d’expliquer l’ambiguïté entre la procréation et la reproduction artificielle d’un

et qu’un choix raisonnable soit rationnel, soit prouvable. Ex : rationnel mais déraisonnable : le clonage, la bombe atomique… La raison, comme conduite réglée de la pensée, peut à la fois visée des objets pratiques, moraux, et des objets théoriques, scientifiques dont la preuve est exigible, ou peut être demandée. Cette distinction raison-rationnel, et raison-raisonnable est distinguée par E. Kant, entre : * Raison pure : qui vient de la connaissance * Raison pratique : qui renvoie à la morale

une visée quiest le simple bien-être des personnes. Il y a longtemps que nous savons pratiquer des opérations de chirurgie esthétique. Nous trouverions aussi quelques réconforts psychologiques en tirant partie de certaines techniques avancées de clonages. Je pourrais me présenter devant les spécialistes et leur demander de me préparer un clone de Boby, mon chien, parce qu’il se fait vieux et qu’à sa mort, je ne me sentirais plus seul avec sa copie conforme. Ou bien cloner grand-père pour le garder

Pourquoi la démarche scientifique ne serait-elle pas apte à rendre compte de ce qu’est réellement le vivant ? Est-il possible de tout comprendre grâce à l’épistémologie des sciences du vivant ? Et cette réduction serait-elle acceptable d’un point de vue éthique ? *** Une connaissance scientifique du vivant peut être possible si elle est composée d’expérimentations faites pour expliquer son fonctionnement mécanique. C’est-à-dire que chaque partie du corps d’un vivant, chaque mouvement de celui-ci pourront

artificielle des femmes postménopausées. (cours sur la matière et l’esprit) - le clonage - les o.g.m. - la modification de certaines cartes génétiques VII°/ Critique de la technique Aux XX ème siècle, les critiques sur la technique ont été virulantes, et pourtant n’est-ce pas plutôt l’utilisation des progrès techniques qu’il faudrait encadrer d’un point de vue politique et ethique plutôt que de condamner la technique ? Heidegger (XX ème) montrera dans son texte intitulé

Or, il est impossible de faire de même avec les hommes, excepté le cas des clones où se pose une question éthique : si l'homme est unique, pourquoi vouloir faire disparaître cette singularité ? Cette avancée scientifique ne replace t-elle pas l'homme au rang de chose ? L'utilisation du clonage n'est elle pas la preuve que finalement l'homme est attaché au matérialisme ? Car, dans le clonage, on ne se soucie pas de l'esprit ou de la conscience mais du corps. Ainsi, la matière est placée au premier

un respect supplémentaire à une personne. Puis c'est Sénèque, puis les penseurs chrétiens (origines chrétiennes) qui ont donné à cette dignité un sens ontologique : cette dignité est partagée par tous et ne se perd jamais. Enfin les réflexions de Kant (très cité en bioéthique), qui avec son impératif catégorique va développer une théorie de la dignité « agis de telle sorte que tu traites l'humanité toujours en même temps comme une fin et jamais seulement comme un moyen » la personne n'a pas de