Cornelius Castoriadis

fait compos€e d'auteurs britanniques [2] Parmi les th€oriciens, historiens, €conomistes, militants, ayant analys€ l'URSS comme capitaliste : Anton Pannekoek, Herman Gorter, Ante Ciliga, Simone Weil, Guy Debord, Otto R—hle, Maximilien Rubel, Cornelius Castoriadis, Rudolf Rocker, Claude Lefort, Ren€ Lefeuvre, Karl Korsch, Alain Guillerm, Daniel Gu€rin, Mansoor Hekmat, etc. [3] R€forme sociale ou r€volution ? (http:/ / www. marxists. org/ francais/ luxembur/ works/ 1898/ r_ou_r1_4. html) (1898) [4] 1726

convertir ce patient à une manière de vivre plus saine, mais craint également de devoir avouer son impuissance. Ces sentiments sont souvent très vite teintés d’une certaine hargne contre ce patient qui ne veut rien entendre [13]. Le philosophe Cornélius Castoriadis a d’ailleurs parfaitement résumé cette situation en définissant le « fallace capitale » comme suit : « Nos normes sont le bien ; le bien, c’est nos normes ; leurs normes ne sont pas les nôtres ; donc leurs normes ne sont pas le bien » [13]

grecs la politique va actualiser concrétiser grâce à la cité et à son fonctionnement les potentialités humaines. La politique a pour finalité le bien vivre de chaque individu (ne concerne pas le confort) mais concerne un bien vivre moral, la vertu. Castoriadis, philosophe décédé en 1997 et d'origine grecque a décrit la polis grecque « la polis grecque et la création de la démocratie (citation 16). La politique artefact des modernes. L'élément déterminant de l'inflexion politique des modernes

mourez mais moi, qui assiste à ces morts, je suis donc encore vivant. Pour le moment. {Mort} « La démocratie est le régime de la réflexivité collective et de la liberté autolimitée. » Cornelius CASTORIADIS (1922-1997) 705 © Groupe Eyrolles Le concept clé de la philosophie politique de Castoriadis est l’autonomie, c’est-à-dire que la liberté du citoyen adhère aux principes de la démocratie parce qu’il les a réfléchis, pensés et critiqués. Dès lors, le citoyen est capable de mettre

Dictionnaire des œuvres politiques, Paris, PUF, édition augmentée, 2001 * Monique Canto-Sperber, « Les paradoxes de la vertu : remarques sur la philosophie morale de Platon », in Problèmes de la morale antique (recueil), 1993, pp. 59-74 * Cornelius Castoriadis, Sur le Politique de Platon, Paris, Le Seuil, 1999 * M. Dixsaut (éd.), avec la collaboration de F. Teisserenc, Études sur la République, 2 vols., Paris, Vrin, 2006 * Michel-Pierre, Edmond, Le philosophe-roi : Platon et la politique

Dictionnaire des œuvres politiques, Paris, PUF, édition augmentée, 2001. Monique Canto-Sperber, « Les paradoxes de la vertu : remarques sur la philosophie morale de Platon », in Problèmes de la morale antique (recueil), 1993, pp. 59-74 Cornelius Castoriadis, Sur le Politique de Platon, Paris, Le Seuil, 1999. M. Dixsaut (éd.), avec la collaboration de F. Teisserenc, Études sur la République, 2 vols., Paris, Vrin, 2006. A. Macé, Platon, Philosophie de l'agir et du pâtir, Academia Verlag, 2006

stagiaires de bénéficier d’un emploi et d’accéder à la formation d’AMP. Lieu : CFE – 23 rue des Ateliers – 91350 GRIGNY Renseignements communiqués sur demande. 29 « L’homme est cet animal fou dont la folie a inventé la raison. » Cornelius CASTORIADIS 30 IV PSYCHANALYSE Introduction à l’œuvre de Freud Quel travail social voulons-nous ? Enjeux et réalité L’autisme Comment accompagner ? De l’enfant à la mère… A la mère et l’enfant Position pédagogique et histoire personnelle ou le

Hannah Arendt, La crise de la culture, Gaston Bachelard, La formation de l’esprit scientifique, VRIN - La psychanalyse du feu Bernadette Bensaude-Vincent, L’opinion publique et la science, Les empêcheurs de penser en rond. Cornelius Castoriadis, L’institution imaginaire de la société, Paris, Mary Douglas, Natural Symbols, Routledge, 1996 Denis Duclos, Entre esprit et corprs. La culture contre le suicide collectif. Jean Duvignaud, La genèse des passions dans la vie sociale, Paris

Pisier, Dictionnaire des œuvres politiques, Paris, PUF, édition augmentée, 2001. Monique Canto-Sperber, « Les paradoxes de la vertu : remarques sur la philosophie morale de Platon », in Problèmes de la morale antique (recueil), 1993, p. 59-74. Cornelius Castoriadis, Sur le Politique de Platon, Paris, Le Seuil, 1999. M. Dixsaut (éd.), avec la collaboration de F. Teisserenc, Études sur la République, 2 vols., Paris, Vrin, 2006. A. Macé, Platon, Philosophie de l'agir et du pâtir, Academia Verlag, 2006. Michel-Pierre

hommes, le degré de développement de la production, du commerce et de la consommation qui déterminent l’organisation sociale et, au-delà, l’État politique, expression officielle de la société civile. Le philosophe et psychanalyste français Cornelius Castoriadis (1922-1997), professeur à l’École des Hautes Études en Sciences sociales Synthèse de l’introduction (2) (Paris) a confronté et distingué le projet politique idéal avec la réalité des régimes politiques, liant lui aussi société, institutions